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Grippe d'oiseau comme bio-arme

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    Grippe d'oiseau comme bio-arme <!--10 min-->

    Traduction machine l?g?rement corrig?e!

    <!-- headline one : start --> <!-- headline one : end --> <!-- show image if available --> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr></tr> <tr> </tr> <tr> </tr> <tr valign="bottom"> <td width="330">
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    Les r?glements, qui couvrent des vaccins pour tout de la fi?vre de dengue au virus d'Ebola, ont soulev? l'inqui?tude au sein du m?dical et des communaut?s scientifiques. -- PHOTO : AFP


    </td></tr> </tbody></table> <!-- START OF : div id="storytext"-->
    JAKARTA - QUAND le ministre de sant? de l'Indon?sie a arr?t? d'envoyer des virus de grippe d'oiseau ? un laboratoire de recherche aux USA dans la crainte queWashington pourrait les employer pour faire les armes biologiques, le secr?taire de d?fense Robert se met ? rire et appelle cela la ? la chose la plus ? la noix ? il avait jamais entendu.

    Pourtant profond?ment ? l'int?rieur des 86 pages du suppl?ment aux r?glements d'exportation des Etats-Unis il est une phrase simple qui barre des exportations des USA les vaccins pour la grippe d'oiseau aviaire et des douzaines d'autres virus ? cinq pays indiqu?s comme ? commanditaires d'?tat de terrorisme. ?
    La raison : Craignez qu'ils soient employ?s pour la guerre biologique.

    Dans le cadre de cette politique peu connue, la Cor?e du Nord, l'Iran, le Cuba, la Syrie et le Soudan peuvent ne pas passer les vaccins ? moins qu'elles fassent une demande pour les permis sp?ciaux d'exportation, qui seraient donn?s ou refus? selon la discr?tion et la synchronisation des USA trois de ces nations - Iran, le Cuba et le Soudan - soyez sujet ?galement ? une interdiction de tous les vaccins universels humains de grippe en tant qu'?l?ment d'un embargo g?n?ral des USA.

    Les r?glements, qui couvrent des vaccins pour tout de la fi?vre de dengue au virus d'Ebola, ont soulev? l'inqui?tude au sein du m?dical et des communaut?s scientifiques.
    Bien qu'ils aient ?t? tranquillement mis en place davantage qu'il y a une d?cennie, ils pourraient maintenant ?tre plus appropri?s en raison des soucis r?cents concernant la grippe d'oiseau.

    Les fonctionnaires du d?partement des USA des services de la sant? et des affaires sociales et des centres pour le contr?le des maladies et l'emp?chement ont d?clar? qu'ils n'avaient pas conscience de ces politiques jusqu'au mois dernier entr?e en contact par Associated Press ? l'alarme et en priv? exprim?e.

    Ils ne semblent ? aucun raisonnable scientifique ?, ont dit Peter Palese, Pr?sident du service de microbiologie ? l'?cole de M?decine de mont Sina? ? New York. Il a dit le vaccin de grippe d'oiseau, par exemple, peut ?tre employ? pour contenir des manifestations dans la volaille avant qu'elles subissent une mutation ? une forme ?cartent plus facilement entre les personnes.
    ? Plus de vaccins utilis?s l?, meilleur c'est, ? il a dit.
    ? C'est une question de se prot?ger, vraiment, ainsi le virus de grippe d'oiseau ne prend pas la prise dans ces pays et ne se propage pas. ?

    Secr?taire auxiliaire Christopher Wall de commerce des USA a refus? d'?laborer sur la menace pr?cise constitu?e par des vaccins pour des poulets atteints de l'influenza aviaire, ? moins que pour indiquer il y ait ? les probl?mes de s?curit? valides qu'ils ? ne tombent pas dans les mains fausses ?.

    ? L?gitimez la sant? publique et la recherche scientifique n'est pas compromise par ces commandes, ? il a dit.
    Mais quelques experts disent que l'id?e d'employer des vaccins pour des bio armes est forc?e, et ce dans une urgence de sant?, il est peu claire ? quelle rapidit? les autorit?s pourraient couper ? travers le de service pour obtenir les vaccins distribu?s.

    Dans des circonstances normales cela prendrait au moins six semaines pour approuver des permis d'exportation pour n'importe quel vaccin sur la liste, a dit M. Thomas Monath, qui a autrefois dirig? un groupe consultatif de CIA sur des mani?res de parer des attaques biologiques. Toutes telles d?cisions suivraient des n?gociations ? ? un niveau tr?s ?lev? ? du gouvernement.

    Cela pourrait le rendre plus dur pour contenir une manifestation de grippe d'oiseau parmi des poulets en Cor?e du Nord par exemple, qui est dans la r?gion le plus durement a frapp? par le virus. Le Soudan et l'Iran ont d?j? enregistr? des cas du virus dans la volaille et la Syrie est entour?e par les pays affect?s.
    Le Cuba, comme toutes les nations, est vuln?rable parce que la maladie est fournie par les oiseaux migrateurs.

    M. Kumanan Wilson, dont la recherche ? l'universit? de Toronto se concentre sur l'?laboration de la politique dans les secteurs de la protection sanitaire, a dit qu'il serait ironique si le virus de grippe d'oiseau mutait dans une forme plus dangereuse dans un de ces pays.
    ? Qui constituerait une menace beaucoup plus grave pour le public que le risque th?orique que le vaccin pourrait ?tre employ? pour la guerre biologique, ? il a dit.

    Le danger de l'utilisation de guerre biologique d?pend du virus ou des bact?ries sp?cifique. Mais la plupart des experts conviennent que des vaccins de grippe d'oiseau ne peuvent pas ?tre g?n?tiquement chang?s pour cr?er des armes parce qu'ils contiennent un virus inactiv? qui ne peut pas ?tre ressuscit?.

    Il est ?galement peu probable ils serait employ? pour cr?er une contrainte r?sistante du virus en tant qu'?l?ment des efforts de limiter les d?gats dans les stocks globaux de volaille. Si les ?tats ennemis voulaient faire cela, ils pourraient faire leurs propres vaccins ou se tourner vers un pays moins hostile comme la Chine, a dit M. Ian Ramshaw, un expert sur l'immunologie vaccinique et biosecurity ? l'universit? nationale australienne ? Canberra.
    ? Je peux penser sans raison scientifique comment une organisation de terroriste pourrait employer un tel vaccin pour l'intention malveillante, ? il ai dit. ? Je pense personnellement que c'est une attitude plut?t idiote et les USA vont probablement par dessus bord comme ils ont dans le pass? avec plusieurs de ses initiatives de bio-terrorisme. ?
    En attendant, les expets en bio?thique indiquent que limiter des vaccins pourrait ?galement soulever des questions morales de si quelques pays devraient ?tre ni?s en raison des d?cisions bas?es sur la politique ext?rieure.
    Ils ont dit que les contr?les des exportations semblent contradictoires, comme la Libye, l'Irak et deux douzaines d'autres pays suspect?s par les USA de avoir des programmes d'armes biologiques ne font pas face ? des restrictions ? l'exportation des vaccins de volaille.

    ? S'il y a vraiment une menace grave, pour ?tre conform?s nous devrions r?gler plus fortement qui a acc?s au vaccin, ? avons dit M. Michael Selgelid, co auteur du livre la consid?ration morale et philosophique du dilemme ? double utilisation en sciences biologiques.

    ? Il y a les acteurs malveillants aux USA juste comme il pourrait y avoir dans tous ces autres pays, ? il a dit.
    Les politiques ont ?t? au commencement mises en place parmi des craintes de biosecurity au milieu des ann?es 90 et alors soutenu apr?s les attaques septembre de 11, 2001 et anthrax suivant marquent avec des lettres des envois. Les vaccins sont parmi une longue liste d'autres articles barr?s aux ?tats voyou au-dessus des craintes qu'ils pourraient ?tre employ?s pour faire des armes de la destruction massive, de la technologie et des produits chimiques aux microbes pathog?nes dangereux.

    La grippe d'oiseau a tu? plus de 240 personnes ? travers le monde depuis 2003, presque moiti? d'entre elles en Indon?sie.
    Le ministre de sant? de l'Indon?sie Siti Fadilah Supari a attir? la premi?re fois l'attention r?pandue quand elle a boycott? le virus lors des 50 ans de l'organisation mondiale de la sant? partageant le syst?me l'ann?e derni?re, dire les entreprises pharmaceutiques avaient l'habitude des virus des pays en voie de d?veloppement sans leur connaissance pour faire les vaccins chers.

    Elle a depuis r?clam? la cr?ation d'une r?serve globale des drogues ou d'autres formes d'avantage-partage. -- AP



  • #2
    Re: Grippe d'oiseau comme bio-arme

    Sans passer par la traduction machine !!!

    Vaccin aviaire: les Etats-Unis redoutent une guerre biologique

    Il y a 17 heures
    DJAKARTA ? Lorsque l'Indon?sie a cess? d'envoyer des virus de la grippe aviaire ? un laboratoire de recherche am?ricain de peur qu'ils ne servent ? la fabrication d'armes biologiques, Washington s'est moqu?. Un document officiel am?ricain montre pourtant que les Etats-Unis interdisent l'exportation de vaccins contre la grippe aviaire et de dizaines d'autres virus vers cinq pays accus?s de "soutenir le terrorisme".
    Ce document confidentiel de 87 pages sur les r?gles d'exportation des Etats-Unis pr?cise que la Cor?e du Nord, l'Iran, Cuba, la Syrie et le Soudan ne pourront obtenir ces vaccins qu'en demandant des licences d'exportation sp?ciales, que les Etats-Unis d?cideront de leur accorder ou non. L'Iran, Cuba et le Soudan font en outre l'objet d'une interdiction concernant tous les vaccins contre l'?pid?mie de grippe humaine, dans le cadre d'un embargo am?ricain g?n?ral.
    Ces r?gles, qui prennent en compte tous les vaccins, de la dengue ? Ebola, ?taient pass?es inaper?ues pendant plus de dix ans, des responsables du minist?re de la Sant? ainsi que les Centres de pr?vention et de contr?le des maladies (CDC) affirmant m?me qu'ils en ignoraient tout jusqu'? ce que l'Associated Press les contacte le mois dernier. Les communaut?s m?dicale et scientifique s'en sont souci?es r?cemment, ? la lumi?re des inqui?tudes concernant la grippe aviaire, qui a tu? plus de 240 personnes dans le monde depuis 2003, dont pr?s de la moiti? en Indon?sie.
    "Cela n'a scientifiquement aucun sens", s'insurge Peter Palese, pr?sident du service de microbiologie ? l'?cole de m?decine de l'h?pital Mount Sina? de New York. Selon lui, le vaccin contre la grippe aviaire peut servir par exemple pour contenir une ?pid?mie touchant la volaille avant que le virus ne mute en une forme transmissible d'homme ? homme. "Plus il y a de vaccins en circulation, mieux c'est", ajoute-t-il. "Il s'agit de nous prot?ger, en emp?chant le virus aviaire de s'installer dans ces pays et de se propager."
    Christopher Wall, secr?taire-adjoint au Commerce, a refus? de pr?ciser quelles menaces repr?senteraient ces vaccins destin?s ? la volaille infect?s par la grippe aviaire. Mais d'apr?s lui "il existe des raisons de s?curit? valables de se soucier (...) de ce que ces vaccins ne tombent pas entre n'importe quelles mains". "La sant? publique et la recherche scientifique l?gitimes ne souffrent pas de ces contr?les", a-t-il assur?.
    Mais certains experts estiment, eux, que l'id?e d'utiliser des vaccins ? des fins de guerre bact?riologique est tir?e par les cheveux. ils soulignent que, en cas d'urgence sanitaire, on ignore combien de temps les autorit?s mettront ? simplifier les d?marches administratives pour que les vaccins soient distribu?s.
    En temps normal, il faudrait au moins six semaines pour approuver toutes les licences d'exportation pour n'importe lequel des vaccins figurant sur la liste, avance Thomas Monath, qui a dirig? un groupe consultatif de la CIA sur la lutte contre les attaques biologiques. Et ces d?cisions n?cessiteraient au pr?alable des n?gociations gouvernementales "? un tr?s haut niveau", ajoute-t-il.
    Cela pourrait accro?tre la difficult? ? contenir une ?pid?mie de grippe aviaire survenant, par exemple, dans un ?levage de poulets en Cor?e du Nord, la r?gion la plus gravement touch?e par le virus. Le Soudan et l'Iran ont d?j? signal? des cas chez des volailles, et la Syrie est entour?e de pays touch?s. Cuba, comme d'autres nations, est vuln?rable, la maladie ?tant transmise par les oiseaux migrateurs.
    Pour Kumanan Wilson de l'Universit? de Toronto, qui m?ne des recherches sur les politiques de protection sanitaire, souligne que l'ironie serait de voir le virus de la grippe aviaire muter en une forme plus dangereuse dans l'un de ces pays. "Cela repr?senterait une menace bien plus grave pour la population que le risque th?orique de l'utilisation du vaccin ? des fins de guerre biologique", explique-t-il.
    Le danger de la guerre biologique d?pend du virus ou de la bact?rie utilis?s. Mais la plupart des experts s'accordent ? dire que les vaccins contre la grippe aviaire ne peuvent ?tre g?n?tiquement modifi?s pour cr?er des armes, car ils contiennent un virus inactiv? qui ne peut pas ?tre ressuscit?.
    Il est aussi tr?s improbable qu'ils servent ? la cr?ation de souches virales r?sistantes susceptibles de d?cimer les ?levages. Des Etats qui voudraient arriver ? cette fin pourraient fabriquer leur propre vaccins ou se tourner vers un pays moins hostile, comme la Chine, estime Ian Ramshaw, expert en immunologie vaccinale et en bios?curit? ? l'Universit? nationale d'Australie ? Canberra.
    De leur c?t?, les sp?cialistes de bio?thique notent que paradoxalement, des pays comme la Libye ou l'Irak, soup?onn?s par les Etats-Unis de d?velopper des armes bact?riologiques, ne figurent pas sur la liste. Et de se demander s'il est moral de refuser des vaccins pr?cieux ? certains pays pour des raisons de politique ?trang?re.


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