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Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

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  • Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

    Lacunes dans les préparatifs mondiaux contre une pandémie de grippe, selon l'ONU

    Il y a 11 heures

    NEW YORK (AFP) — La plupart des pays ont conçu des plans d'action contre une éventuelle pandémie de grippe chez l'homme mais ces plans, insuffisamment testés, laissent craindre la possibilité d'un échec une fois la pandémie déclenchée, affirme un rapport de l'ONU publié mardi.

    Ce constat, combiné à une récente étude de la Banque mondiale selon laquelle le coût économique d'une pandémie planétaire pourrait atteindre 3.000 milliards de dollars, constitue une source de préoccupation, selon l'ONU.

    Selon ce rapport annuel, une pandémie modérée pourrait tuer environ 1,4 million de personnes à travers le monde, tandis que le bilan d'une épidémie majeure pourrait atteindre 70 millions de morts.

    "Considérant que l'état de préparation du monde à une pandémie était quasi-nulle il y a trois ans, le niveau actuel d'alerte et d'action représente un succès majeur", affirme David Nabarro, le coordinateur de la lutte contre la grippe à l'ONU, coauteur du rapport.

    "Mais davantage doit être fait pour assurer que nous sommes prêts à affronter une crise mondiale de ce type", ajoute-t-il.

    M. Nabarro souligne notamment "la nécessité que les pays coordonnent mieux leurs efforts pour assurer une continuité de fonctionnement de leurs systèmes économiques, sociaux et politiques, et bien sûr de santé, en cas de pandémie de grippe".

    Le rapport note en effet que les plans de réponse des Etats sont surtout concentrés sur les systèmes de santé. Or une pandémie aurait un impact sur tous les aspects de la vie quotidienne, du ramassage des ordures ménagères aux transports en commun, aux services communaux, à la banque et au commerce.

    Le rapport est publié à la veille d'une conférence ministérielle internationale prévue du 24 au 26 octobre à Charm-el-Cheikh (Egypte).

    Cette conférence est co-parrainée par le gouvernement égyptien et par le Partenariat international de lutte contre la grippe aviaire et pandémique (Ipapi) et la Commission européenne.

    Elle doit faire le point des progrès effectués et permettre de coordonner les futurs efforts pour améliorer les capacités d'action contre une éventuelle pandémie de grippe.

    Le monde est confronté depuis cinq ans à des cas inquiétants de grippe aviaire, causée par le virus très pathogène H5N1 qui pourrait muter en une forme transmissible facilement et rapidement entre humains.

    Aucun pays n'a fait état depuis le début de l'année de nouvelles infections de volailles par le virus H5N1, contre quatre pendant la même période l'an dernier, indique le rapport.

    Dans une conférence de presse, M. Nabarro a indiqué qu'à ce jour, le virus de la grippe aviaire n'était plus endémique que dans deux pays: l'Indonésie et l'Egypte. Il refait surface de manière épisodique au Pakistan, dans certaines régions de Chine et d'Inde, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam, au Bangladesh et en Corée du Sud.

    Jusqu'à présent, 245 personnes sont mortes de la grippe aviaire dans le monde depuis l'apparition de la maladie.
    "Le rythme des infections sporadiques et des décès chez l'homme causés par le virus H5N1 a ralenti, avec 28 morts confirmées en 2008 contre 59 en 2007, mais la menace d'une pandémie de grippe chez l'homme demeure", a dit M. Nabarro.




  • #2
    Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

    Birdflu a refoulé, menace universelle reste : L'ONU

    Traduction machine

    Wed le 22 octobre 2008, GMT de 4:40
    <INPUT id=CurrentSize type=hidden value=13 name=CurrentSize>


    Par Patrick Worsnip

    Les NATIONS UNIES (Reuters) - efforts internationaux ont refoul&#233; la diffusion de la grippe d'oiseau cette ann&#233;e mais le risque de millions globaux d'un massacre de grippe de pand&#233;mie est aussi grand que jamais, la banque du Nations Unies et mondiale a rendu compte mardi.

    La plupart des pays ont maintenant des plans pour combattre une pand&#233;mie, mais plusieurs des plans sont d&#233;fectueux, ont dit le rapport, publi&#233; avant qu'une conf&#233;rence de grippe d'oiseau devant &#234;tre occup&#233; par des ministres d'environ 60 pays dans le Sharm el-Sheikh, Egypte, du vendredi du dimanche.

    Le rapport, quatri&#232;me d'une s&#233;rie puisqu'une alarme de grippe d'oiseau a balay&#233; le globe il y a trois ans, suivie une nouvelle &#233;valuation de banque mondiale qu'une pand&#233;mie grave de grippe pourrait co&#251;ter &#224; $3 trillions et &#224; r&#233;sultat en presque 5 pour cent de baisse dans le produit int&#233;rieur brut du monde.

    Le virus fortement pathog&#232;ne de grippe d'oiseau H5N1 est end&#233;mique dans la volaille dans les r&#233;gions de l'Asie, mais les experts craignent qu'elle subisse une mutation dans une forme qui est facilement pass&#233;e de l'homme &#224; homme, suscitant une pand&#233;mie semblable &#224; trois autres en si&#232;cle pass&#233;.

    L'U.N. - Le rapport de banque mondiale a indiqu&#233; qu'en neuf premiers mois de cette ann&#233;e aucun pays n'a &#233;t&#233; nouvellement atteint de la grippe d'oiseau fortement pathog&#232;ne, compar&#233;e &#224; quatre dans la premi&#232;re moiti&#233; de 2007. Juste 20 pays avaient &#233;prouv&#233; des manifestations jusqu'ici cette ann&#233;e, compar&#233;e &#224; 25 l'ann&#233;e derni&#232;re.

    Depuis 2003 en retard, l&#224; ont &#233;t&#233; 387 cas des humains attrapant la maladie des oiseaux, desquels 245 sont morts en Asie, en Afrique et Europe. Parmi ceux, il y a eu seulement 36 cas humains cette ann&#233;e, dont 28 ont prouv&#233; mortel.
    &#171; Ce virus particulier, H5N1, est une menace beaucoup plus douce maintenant qu'elle &#233;tait en septembre 2005, &#187; le coordonnateur David Nabarro de grippe d'U.N. a dit une conf&#233;rence de nouvelles.

    MENACE UNIVERSELLE SANS CHANGEMENT

    Le rapport a ajout&#233; que H5N1 &#171; activement circulait toujours parmi la volaille dans un certain nombre de points n&#233;vralgiques &#187; et a &#233;t&#233; retranch&#233; en Indon&#233;sie et en Egypte. Il a r&#233;clam&#233; la vigilance continue et l'investissement mondial pour combattre la maladie, &#233;nonciation, &#171; la menace d'une grippe de pand&#233;mie demeure sans changement. &#187;
    Presque tous les 148 pays qui ont fourni des donn&#233;es pour le rapport ont des plans d'urgence en place &#224; traiter une pand&#233;mie, les auteurs ont dit.

    Mais beaucoup de plans &#233;taient &#171; pas l&#233;galement ou logistiquement faisable &#187; et des le&#231;ons des simulations n'avait pas &#233;t&#233; tir&#233; dessus pour mettre &#224; jour des plans, ils ont dit. Des autorit&#233;s dans les pays riches mieux ont &#233;t&#233; pr&#233;par&#233;es que dans les pays pauvres, elles ont ajout&#233;.

    &#171; Nous nous inqui&#233;tons que plusieurs de ces plans toujours en juste proportion n'aient pas &#233;t&#233; examin&#233;s pour voir si elles seront quand la pand&#233;mie commence r&#233;ellement, &#187; Nabarro valide ont dit.

    &#171; Il n'est pas assez juste avoir &#233;crit un plan et avoir tout le monde se d&#233;connecter l&#224;-dessus, vous doivent le v&#233;rifier, l'examiner et &#233;galement s'assurer que cela fonctionne. &#187;

    Nabarro a &#233;galement indiqu&#233; que tandis que le foyer avait &#233;t&#233; sur H5N1, &#171; n'importe quel virus de grippe pourrait causer une pand&#233;mie et nous juste ne pouvons pas dire pour certain quand la prochaine pand&#233;mie viendra. &#187;
    La banque mondiale a estim&#233; que plus de 70 millions de personnes pourraient mourir dans le monde entier dans une pand&#233;mie grave. Selon un site Web d'Universit&#233; de Stanford, 20 million &#224; 40 millions de personnes sont morts dans la soi-disant grippe de pand&#233;mie espagnole de grippe en 1918 et 1919.

    Dans sa derni&#232;re &#233;tude, une mise &#224; jour de septembre d'un rapport a &#233;dit&#233; la premi&#232;re fois il y a deux ans, la banque mondiale a soulev&#233; le co&#251;t d'une telle pand&#233;mie &#224; plus de $3 trillions de $1.5 trillions &#224; $2 trillions et PIB mondial dit pourraient chuter par 4.8 pour cent.



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    • #3
      Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

      <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=570 border=0><TBODY><TR><TD class=arial13 align=middle colSpan=3 height=50>Un expert onusien appelle &#224; davantage de pr&#233;parations contre une pand&#233;mie de grippe </TD></TR><TR><TD align=middle bgColor=#000000 colSpan=3></TD></TR><TR><TD align=middle colSpan=3></TD></TR><TR bgColor=#c0d4fe><TD class=arial12 align=middle width=188 height=20></TD><TD class=arial12 align=middle width=224 height=20>2008-10-22 13:28:02 </TD><TD class=arial12 align=middle width=188 height=20></TD></TR></TBODY></TABLE>
      NEW YORK (Nations Unies), 22 octobre (Xinhua) -- Un expert de haut rang des Nations Unies a appel&#233; mardi &#224; une pr&#233;paration plus pouss&#233;e en pr&#233;vision d'une pand&#233;mie de grippe malgr&#233; une plus importante sensibilisation sur la grippe aviaire.

      Lors d'un point de presse &#224; New York, en r&#233;ponse &#224; une question sur la grippe aviaire et l'avancement des pr&#233;paratifs, le coordinateur de l'ONU du syst&#232;me contre la grippe David Nabarro a fait savoir que de nombreux pays se pr&#233;parent &#224; faire face &#224; une pand&#233;mie de grippe, mais que beaucoup de ces dispositifs n'avaient pas &#233;t&#233; test&#233;s de fa&#231;on ad&#233;quate.

      "Quand l'on se pr&#233;pare &#224; faire face &#224; un &#233;v&#233;nement extraordinaire comme une pand&#233;mie de grippe, il ne suffit pas d'&#233;laborer un plan et d'avoir la signature de tout le monde sur le papier", a estim&#233; M. Nabarro. "Il faut le v&#233;rifier, le tester et s'assurer qu'il marche avant de le r&#233;viser selon les r&#233;sultats de simulations", a-t-il poursuivi.

      Citant les statistiques contenues dans son rapport, M. Nabarro a fait remarquer que selon les documents disponibles, 53&#37; des gouvernements affirment avoir test&#233; leurs plans ces 12 derniers mois, mais que seul un quart d'entre eux dit les avoir test&#233;s &#224; tous les niveaux du gouvernement.
      Les pr&#233;paratifs sont vitaux, et ne sont pas excessivement co&#251;teux, sans quoi le syst&#232;me mondial subirait un choc de grande envergure sur le plan &#233;conomique, social et politique, a rench&#233;ri le coordinateur des Nations Unies. "Nous voulons &#234;tre s&#251;rs que les pr&#233;paratifs soient assur&#233;s, et de mani&#232;re ad&#233;quate", a-t-il soulign&#233;.

      A cette occasion, il a estim&#233; que la menace d'une grippe aviaire plane toujours comme cela a &#233;t&#233; le cas il y a trois ou quatre ans.
      Selon le dernier rapport r&#233;dig&#233; conjointement par le coordinateur de l'ONU du syst&#232;me contre la grippe et la Banque mondiale, 245 personnes sont mortes de la grippe aviaire jusqu'ici, alors que le rythme des infections humaines sporadiques et le nombre de morts li&#233;s au virus H5N1 diminuent depuis l'an pass&#233;, avec 28 morts confirm&#233;s en 2008 contre 59 en 2007.

      Le rapport fera l'objet d'un examen des participants de la Conf&#233;rence minist&#233;rielle internationale sur la grippe aviaire et pand&#233;mique pr&#233;vue &#224; Charm El-Cheikh, en Egypte, fin octobre.

      Plus de 60 ministres de la Sant&#233; et de l'Agriculture, ou d'autres secteurs, y sont attendus, a affirm&#233; M. Nabarro.



      http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-10/22/content_745408.htm

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      • #4
        Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

        Personne n'est pr?t contre une pand?mie de grippe

        Cano?
        22 octobre 2008

        <table style="margin: 0pt 0pt 0pt 20px;" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="160"><tbody><tr><td></td></tr><tr><td>


        </td></tr></tbody></table>
        Un nouveau rapport de l?ONU est tomb? mardi comme un pav? dans la marre. Bien que la plupart de pays aient con?u des plans d?action pour faire face ? une ?ventuelle pand?mie de grippe, ceux-ci n?ont pas ?t? test?s suffisamment, ce qui laisse craindre, avance l?ONU, qu?ils soient inefficaces.

        Dans un rapport publi? mardi, l?ONU indique qu?? l?heure actuelle, ?53 % des pays ont annonc? avoir test? leurs plans et seulement 38 % disent avoir tenu compte des le?ons apprises au moment du test?.

        ? trois jours de la sixi?me Conf?rence minist?rielle internationale sur la grippe aviaire qui se tiendra du 24 au 26 octobre 2008 ? Charm el-Cheikh en ?gypte, le Dr David Nabarro, qui a fait pour l?ONU le point sur l??tat de la menace d?une pand?mie, a insist? sur le fait qu??une bonne pr?paration est d?autant plus indispensable que le co?t ?conomique d?une ?pid?mie pourrait ?tre pharaonique?, a-t-il averti.

        Le Dr David Nabarro estime cependant que le monde g?re mieux le virus qu?en 2005. En soulignant que les pays devraient accepter de partager leurs informations ouvertement et rapidement, il a toutefois laiss? entrevoir qu?? ce chapitre, les interactions entre les pays sont un peu tendues.

        ?Certains sont r?ticents ? partager leurs informations, d?autres ont tendance, en cas de contamination, ? bl?mer leurs voisins. Il est imp?ratif que, dans ce cadre, la confiance s??tablisse entre les pays?, a-t-il soulign?.


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        • #5
          Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

          Les ministres ont invit&#233; &#224; repenser la r&#233;ponse $2 milliards globale aux maladies infectieuses

          Traduction machine


          Comme premier plan globalement coordonn&#233; pour la sant&#233; la plus grave de la plan&#232;te les menaces est hach&#233;es par des ministres du gouvernement de partout dans le monde ce week-end, un nouveau rapport ont vis&#233; un plan de 10 points pour cette approche nouvelle et g&#233;n&#233;ralis&#233;e aux maladies infectieuses telles que la grippe aviaire.

          Les Ministres de la Sant&#233; et l'agriculture formuleront un plan global pour pr&#233;parer pour, et r&#233;pondent, &#224; la menace de la grippe aviaire et d'autres maladies infectieuses naissantes &#224; la conf&#233;rence des ministres internationale sur la grippe aviaire et universelle dans Sharm El Sheikh, Egypte (les 24-26 octobre). Le plan - a appel&#233; l'un monde, une initiative de sant&#233; - objectifs pour une int&#233;gration sans pr&#233;c&#233;dent d'animal, d'humain et d'issues de sant&#233; d'&#233;cosyst&#232;me pour combattre la menace du virus de grippe aviaire, H5N1.

          Un nouveau rapport par professeur Ian Scoones et Paul que Forster des &#201;TAPES d'ESRC centrent &#224; l'institut du R-U des &#233;tudes de d&#233;veloppement pr&#233;sente 10 recommandations principales pour un monde, une sant&#233;, bas&#233;e sur l'analyse de l'exp&#233;rience acquise de la r&#233;ponse internationale massive de $2bn &#224; la grippe aviaire au cours des cinq derni&#232;res ann&#233;es, et pendant ce temps 245 personnes sont mortes.

          Selon le rapport - la r&#233;ponse internationale &#224; l'influenza aviaire fortement pathog&#232;ne : La Science, politique et politique - les ministres doivent repenser des id&#233;es courantes afin de r&#233;aliser un plan international efficace, &#233;quitable et r&#233;silient de r&#233;ponse aux maladies naissantes.

          Les recommandations incluent repenser la surveillance de la maladie, red&#233;finissant la s&#233;curit&#233; de sant&#233;, les nouvelles r&#233;ponses &#224; l'incertitude et l'ignorance, soulignant l'acc&#232;s et les capitaux propres aussi bien que des questions d'architecture et de gouvernement d'organisation.

          &#171; L'un monde, une initiative de sant&#233; est un d&#233;part radical aux approches sectorielles conventionnelles &#224; la sant&#233;. C'est essentiel, mais des pr&#233;senux beaucoup de d&#233;fis. Nous avons identifi&#233; 10 d&#233;fis pour la mani&#232;re en avant, et ministres de recommander de repenser plut&#244;t que remballent leurs mesures. Une sant&#233; du monde un doit &#234;tre plus que le &#171; vieux vin dans camarade d'identification de nouvelles bouteilles &#187;, &#187; a dit professeur Ian Scoones, et codirecteur des &#201;TAPES d'ESRC centrez.

          Pendant la derni&#232;re d&#233;cennie, le virus de grippe aviaire, H5N1, a &#233;cart&#233; &#224; travers la majeure partie de l'Asie et l'Europe et les r&#233;gions de l'Afrique. Dans quelques pays - comprenant l'Indon&#233;sie, la Chine, le Vietnam, le Bangladesh, le Nig&#233;ria et l'Egypte - la maladie est devenue end&#233;mique. Bien que les 245 d&#233;c&#232;s aient &#233;t&#233; rapport&#233;es depuis 2003 l&#224; n'ait &#233;t&#233;, jusqu'ici, aucune pand&#233;mie humaine. Mais quelque part, une certaine heure, une nouvelle maladie infectieuse naissante aura des impacts importants, donn&#233;s des &#233;cologie de la maladie et des mod&#232;les changeants d'urbanisation et de changement climatique.

          Une r&#233;ponse internationale importante, soutenue pr&#232;s au-dessus de $2bn d'argent public, a affect&#233; les vies et les entreprises des millions. Des march&#233;s des campagnes de vaccination ont &#233;t&#233; restructur&#233;s, de surveillances et de volaille mises en application, et plus de deux milliards d'oiseaux sont morts ou cueilli. Simultan&#233;ment l'investissement substantiel a &#233;t&#233; r&#233;alis&#233; dans des syst&#232;mes de sant&#233; animale d'humain et et des drogues et des vaccins se d&#233;veloppants.

          Dans beaucoup de pays des plans universels d'&#233;ventualit&#233; et d'&#233;tat de pr&#233;paration ont &#233;t&#233; con&#231;us. Pourtant la coordination au niveau de pays s'est av&#233;r&#233;e vouloir ; les rivalit&#233;s entre les professions et les organismes persistent ; et le placement et les capacit&#233;s pour des r&#233;ponses globales efficaces et &#233;quitables &#224; une pand&#233;mie demeurent faibles.
          Les th&#232;mes trait&#233;s dans ce rapport sont explor&#233;s en tant qu'&#233;l&#233;ment d'un projet sur des r&#233;ponses de politique d'influenza aviaire au Cambodge, en Indon&#233;sie, en Tha&#239;lande et au Vietnam, en collaboration avec l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture de l'ONU. Ils sont centraux au programme de recherche du centre d'&#201;TAPES d'ESRC sur l'&#233;cologie, la politique, la politique et les voies &#224; la durabilit&#233;.

          As the first globally co-ordinated plan for the planet's gravest health threats is hatched by government ministers from around the world this weekend, a new report sets out a 10-point plan for this new, globalised approach to infectious diseases such as avian flu.

          Comment


          • #6
            Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

            Traduction automatique

            Grippe universelle un risque s?rieux

            24 octobre 2008

            Une manifestation universelle de grippe demeure une probabilit?, plut?t qu'une possibilit? ? distance.

            <!-- -->
            Dans un avertissement adress? au commencement aux directeurs des services sociaux adultes de soin mais des messages de transport pour la communaut? sociale de soin de totalit?, professeur Lindsey Davies, directeur national d'?tat de pr?paration universel de grippe, a dit : ? Du plus petit fournisseur de soin ? la plus grande autorit? locale et des aides de soin ? la maison aux membres ?lus, chacun a un r?le essentiel ? jouer en aidant le soin social pour ?tre des parties fondamentales de la r?ponse du pays ? la pand?mie. ?

            Le conseil de professeur Lindsey's vient dans un article intitul? ? pas si, mais quand? ? en journal ADASS le futur a ?dit? le 17 octobre 2008.
            On l'a calcul?, indique l'article, que dans ? un sc?nario raisonnable de pire cas ?, 50% de la population serait affect?, avec jusqu'? 750.000 morts sur une p?riode de 15 semaines.

            Pr?voyant davantage de conseil du d?partement de la sant? ? ?diter sous peu, professeur Lindsey conseille toutes les agences de v?rifier ce que les arrangements sont en place pour faire face ? une pand?mie, pour s'assurer que des directeurs et le personnel sont bien donn?s des instructions, pour assigner des responsabilit?s claires d'action, d'encourager l'utilisation appropri?e des tissus et de hand-washing, et de coop?rer avec des ?quipes de premier soins, des confiances de sant? et des dirigeants de planification de secours pour r?aliser l'?tat de pr?paration maximum.

            Jef Smith

            Comment


            • #7
              Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

              L'Europe mal pr?par?e ? une pand?mie grippale



              La menace est d'une ampleur consid?rable. En fonction du degr? de virulence du nouvel agent pathog?ne, une pand?mie grippale causerait, selon l'ONU, de 1,4 million ? 70 millions de morts. Et la Banque mondiale estime que son impact ?conomique pourrait s'?lever ? 3 000 milliards de dollars.
              Depuis pr?s de cinq ans, cette menace n'est plus tenue comme une simple hypoth?se par les responsables sanitaires. Elle est renforc?e par l'?mergence de l'actuelle ?pizootie de grippe aviaire due au virus H5N1 qui s'est transmise ? l'homme. Pour autant, aucun expert n'est en mesure de dire quand et o? une telle pand?mie surviendra, si elle survient.
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              <!--/tpl:contenu/element/ensemble/tpl-esi_sur_le_meme_sujet.html.php--><!--/lyt:lyt-vide.html.php--> <!-- --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Section Total Ex Time Netto Ex Time #Calls Percentage --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- fire Helper_Crypt::uncryptFromConfiguration 0.00030112266540527 0.00030112266540527 1 0.54% db query 0.0094850063323975 0.0094850063323975 2 17.16% db open 0.00092887878417969 0.00015687942504883 1 1.68% Rosae_Model_Abstract::dispatchRawResultInObjects 0.0043139457702637 0.0043139457702637 1 7.81% Rosae_Model_Abstract::dig 0.00012993812561035 0.00012993812561035 1 0.24% fire Class_Cache_CatalogueManager::interfacePluginAddOb jectRegistry 0.001183032989502 0.001183032989502 33 2.14% Lemonde_Www_Controller_Element_Ensemble_FilterIter ator::accept 0.00088095664978027 0.00047540664672852 8 1.59% actionAfficherEsi 0.027037858963013 0.010992527008057 1 48.92% fire Helper_Tag::interfacePluginProcessTags 9.2983245849609E-5 9.2983245849609E-5 1 0.17% fire Class_Cache_CatalogueManager::interfacePluginCallT oHeapWriter 0.0048470497131348 0.0048470497131348 1 8.77% render layout 0.0051240921020508 0.00018405914306641 1 9.27% Global 0.0552659034729 0.023103952407837 1 100.00% --><!--/inc:/abonnes/element/ensemble/afficher_esi/1114074.html-->
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              A l'initiative de l'Organisation mondiale de la sant? (OMS) et au nom du principe de pr?caution, de nombreux pays ont ?labor? des plans nationaux visant ? organiser au plus vite une s?rie d'actions collectives pr?ventives et curatives ? mettre en oeuvre d?s l'apparition des premiers cas. O? en est-on ? "Consid?rant que l'?tat de pr?paration du monde ? une pand?mie ?tait quasi nul il y a trois ans, le niveau actuel d'alerte et d'action repr?sente un succ?s majeur", a d?clar?, le 21 octobre ? New York, David Nabarro, coordinateur de la lutte contre la grippe ? l'ONU, ? l'occasion d'un rapport sur ce th?me. "Toutefois, a-t-il ajout?, davantage doit ?tre fait pour assurer que nous sommes pr?ts ? affronter une crise mondiale de ce type."
              ABSENCE DE COORDINATION
              La principale faille tient ? l'absence de coordination entre les pays quant aux mesures qui devront imp?rativement ?tre prises pour assurer une continuit? des activit?s sanitaires mais aussi ?conomiques, sociales, administratives et politiques. Le rapport de l'ONU observe que la plupart des plans de r?ponse nationaux sont, pour l'essentiel, centr?s sur les r?ponses sanitaires, et ce alors qu'une pand?mie aurait un impact majeur sur tous les aspects de la vie quotidienne pouvant conduire ? des ph?nom?nes de panique collective.
              L'Europe n'?chappe pas ? ces critiques, comme l'a montr? une s?rie de pr?sentations faites, vendredi 31 octobre ? Paris, dans le cadre des premi?res journ?es europ?ennes de la jeune Ecole des hautes ?tudes de sant? publique (EHESP). "Au vu d'une (...) ?valuation de la r?activit? des plans nationaux de lutte, force est de constater que la situation dans l'Union europ?enne (UE) est tr?s h?t?rog?ne", observe Didier Houssin, d?l?gu? interminist?riel fran?ais en charge de ce dossier. En vertu du principe de subsidiarit? pour ce qui concerne la sant? publique, le Centre europ?en du contr?le des maladies, cr?? en 2004 et bas? ? Stockholm, ne peut d'ailleurs que d?velopper des actions de conseil et de soutien aux Etats membres qui le souhaitent.
              Selon Richard Coker (London School of Hygiene and Tropical Medicine), seul un tiers des pays de l'UE ont ?labor? des strat?gies pr?cises visant ? assurer un suivi des activit?s socio-?conomiques en cas de pand?mie. Des disparit?s consid?rables existent entre les pays sur des questions aussi centrales que le d?pistage aux fronti?res, les restrictions ? l'entr?e sur le territoire aux personnes venant de pays infect?s ou l'usage (prophylactique ou curatif) des stocks nationaux de m?dicaments antiviraux. "M?me si nous progressons, la v?rit? est que nous ne sommes pas pr?ts", estime M. Coker.
              Autre incoh?rence majeure, d?nonc?e celle-l? par Antoine Flahaut, directeur de l'EHESP : l'absence de constitution de stocks massifs d'antibiotiques et de vaccins sp?cifiques puisqu'il appara?t aujourd'hui que la grande majorit? des millions de victimes de la grippe espagnole de 1918 est morte non pas d'une infection virale, mais de surinfections bact?riennes pour lesquelles n'existaient pas, alors, de r?ponses pr?ventives ou th?rapeutiques.
              Jean-Yves Nau

              Article paru dans l'?dition du 04.11.08.

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              • #8
                Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

                <table border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td> ? ?pid?mies : sommes-nous pr?ts ? ?

                La r?ponse du DGS : informer chaque citoyen et l?inviter ? se pr?parer






                Face au risque de pand?mie grippale, apr?s les professionnels de sant?, les institutions, les entreprises, l?heure est ? la mobilisation de chaque citoyen. Pour r?pondre ? toutes les questions, un guide pratique est aujourd?hui disponible sur le site grippeaviaire.gouv.fr. Une information dont le m?decin est le meilleur relais, comme l?explique le Pr Didier Houssin, directeur g?n?ral de la Sant? et D?l?gu? interminist?riel ? la lutte contre la grippe aviaire. Il est l?un des intervenants du colloque organis? par sanofi-aventis et ? le Quotidien ? ? l?occasion de l?exposition Epid?mik*.

                ? PENDANT DES SI?CLES, l?homme a subi les ?pid?mies en tant que fl?aux, dont on mesurait ensuite les d?g?ts, qu?il s?agisse de maladie, de d?c?s ou de bouleversement ?conomique ou social, rappelle le Pr Houssin. Nous assistons depuis peu ? une v?ritable rupture : essayer de se pr?parer, si ce n?est ? l??pid?mie inconnue, du moins ? une ?pid?mie suffisamment r?currente et dangereuse pour qu?il vaille la peine de la d?tecter le plus vite possible et d?organiser une r?action rapide et adapt?e. ? L?organisation de cette pr?paration rel?ve de la responsabilit? des ?tats, comme l?a d?ailleurs d?clar? l?OMS d?s 2004. ? Dans le cas de la grippe, le si?cle dernier a ?t? marqu? par trois pand?mies. Une nouvelle pand?mie nous attend. ?
                En France, le plan de pr?paration ? une pand?mie grippale a ?t? mis en place il y a trois ans et une nouvelle r?vision est en cours. Ce plan comporte diff?rents volets, explique le Pr Houssin. D?abord, bien entendu, la mise en ?uvre des moyens sanitaires appropri?s, avec la formation des professionnels de sant?, l?organisation des soins et la mise ? disposition de m?dicaments. Puis des dispositions concernant les transports, les entreprises, les institutions, les ?coles, en visant, dans la mesure du possible, la continuit? de l?activit? ?conomique. Les collectivit?s locales, mais aussi les entreprises, sont donc directement impliqu?es, et notamment les laboratoires pharmaceutiques, qui devront pouvoir poursuivre l?approvisionnement en m?dicaments et en vaccins.

                Un guide pratique sur Internet.

                Au-del? de l??tat, des institutions r?gionales et locales, des professionnels de sant?, chaque citoyen doit se sentir concern? et se pr?parer. C?est bien dans cet objectif qu?a ?t? con?ue l?exposition Epid?mik organis?e ? la Cit? des sciences, ? Paris. C?est aussi pourquoi un nouvel outil Internet, baptis? ? Guide pratique pour la vie quotidienne en pand?mie ?, a ?t? ?labor? en lien avec le service d?information du gouvernement et diff?rents professionnels. Ce guide est mis en ligne sur le site grippeaviaire.gouv.fr, o? figurent d?ores et d?j? de tr?s nombreuses informations et toutes les actualit?s concernant la situation ?pid?miologique, les recommandations, les conseils aux professionnels, aux entreprises et aux collectivit?s.
                Le guide r?pond aux questions que peut se poser chaque citoyen et comporte des fiches pratiques simples et didactiques sur les r?gles d?hygi?ne essentielles, la vie quotidienne en cas de pand?mie avec trois rubriques, ? Chez soi ?, ? ? l?ext?rieur ?, ? Au travail ?, et les conseils ? Si l?on est malade : se soigner, se prot?ger ?. Un outil dont l?acc?s sur Internet devrait ?tre largement diffus?, notamment par les m?decins.

                ? Dr MARINE JORAS

                * Dans ? le Quotidien ? du 28 novembre, la r?ponse de l?historien Patrick Zylberman.

                </td> </tr> <tr> <td>Le Quotidien du M?decin du : 01/12/2008




                </td> </tr> </tbody></table> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"><tbody><tr> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_TL.png); background-repeat: no-repeat;" width="7" height="7">
                </td> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_CT.png); background-repeat: repeat-x;" height="7">
                </td> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_TR.png); background-repeat: no-repeat;" width="7" height="7">
                </td> </tr> <tr> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_CL.png); background-repeat: repeat-y;">
                </td> <td> <table border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr> <td align="center">
                </td></tr></tbody></table>
                </td></tr></tbody></table>

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                • #9
                  Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

                  ?pid?mies : sommes-nous pr?ts?

                  L?industrie pharmaceutique joue un r?le de premier plan

                  Le colloque ? ?pid?mies : sommes-nous pr?ts ? ?, organis? par sanofi-aventis, avec ? le Quotidien ? ? l?occasion de l?exposition ?pid?mie, a permis de confronter diff?rentes r?ponses. Apr?s celles de Patrick Zylberman, Didier Houssin, Fran?oise Weber et Didier Tabuteau*, celle de Christian Lajoux, qui souligne le r?le de l?industrie pharmaceutique.

                  LES ?PID?MIES sont responsables de 18 millions de morts chaque ann?e dans le monde. Ce fl?au renvoie l?industrie pharmaceutique ? sa mission premi?re qui est de mettre au point et de produire des m?dicaments, notamment pour pr?venir et traiter les infections. Et, parce que les entreprises du m?dicament ont un r?le important ? jouer dans la pr?paration d?une crise sanitaire et sa gestion, sanofi-aventis a souhait? s?associer ? la Cit? des sciences, ? Paris pour mettre en ?uvre l?exposition ?pid?mie. ? Sanofi-aventis est l? dans la continuit? de sa mission puisque notre entreprise est le premier acteur mondial dans le domaine des vaccins et un des premiers au niveau international en antibioth?rapie et dans la lutte contre le paludisme ?, a soulign? Christian Lajoux, pr?sident-directeur g?n?ral de sanofi-aventis France.
                  ? La recherche et la production de m?dicaments sont notre c?ur de m?tier ; pour autant, nous sommes aussi une entreprise citoyenne qui doit apporter sa contribution aux autorit?s dans la lutte contre les ?pid?mies et la gestion des crises sanitaires qui leur sont li?es. Ainsi, depuis un certain temps, nous travaillons avec l?ensemble des autorit?s de sant?, afin de d?terminer ce qu?il faudra faire et ne pas faire en cas de survenue d?une ?pid?mie dans notre pays ?, a poursuivi Christian Lajoux. Cela concerne par exemple la question du stockage des m?dicaments, la mise ? disposition d?antibiotiques adapt?s en cas d?action de bioterrorisme ou les proc?dures pour d?marrer rapidement la production d?un nouveau vaccin. ? Il est clair que s?il y avait une pand?mie de type grippe aviaire, il nous faudrait ?tre en mesure produire tr?s vite des vaccins ; nous nous sommes pr?par?s ? cette ?ventualit? avec la mise en place de proc?dures sp?cifiques, a indiqu? Christian Lajoux. La fabrication de vaccins est une bataille permanente contre la montre. ?
                  ? Un autre aspect de la contribution d?une entreprise du m?dicament comme la notre ? la gestion d?une crise sanitaire est d?avoir pr?vu comment assurer la continuit? de nos m?tiers en cas d??pid?mie ?, a ajout? Christian Lajoux. Qui dit ?pid?mie sur le territoire dit ralentissement de l?activit?, mais aussi n?cessit? de continuer ? pouvoir fournir les m?dicaments indispensables. Sanofi-aventis en France, c?est 45 sites de recherche, de production, d?entrep?ts et de sites chimiques. ? En cas d??pid?mie nous nous trouverions dans une situation un peu particuli?re qu?il faudrait g?rer en accord avec les autorit?s. Depuis que la question du risque de pand?mie de grippe aviaire s?est pos?e, nous avons mis en place une m?thode en termes de mode op?ratoire, de d?finition des salari?s prioritaires, qui nous permettra de faire face. De nombreux ?l?ments tr?s concrets sont d?j? int?gr?s dans nos modes de fonctionnement. Et la France est plut?t en avance sur ces questions ?, s?est f?licit? Christian Lajoux, en soulignant la forte implication du Pr Didier Houssin ? la t?te de la direction g?n?rale de la Sant? dans le domaine des ?pid?mies et de la gestion des crises sanitaires.

                  La bataille n?est jamais finie.

                  Enfin, expliquer ? chacun comment se comporter en cas d??pid?mie est un des points essentiels de la gestion d?une crise sanitaire. C?est l?objectif de l?exposition ?pid?mie : ? D?couvreurs et producteurs de m?dicaments, c?est aussi notre r?le de participer ? l?information des professionnels de sant? et ? la sensibilisation de l?ensemble de la population. ?
                  Au XX<sup>e</sup> si?cle, la v?ritable prise de conscience du risque li? ? une ?pid?mie que l?on ne saurait pas ma?triser a ?t? le sida dans les ann?es 1980 ; jusqu?? cette date, on pensait avoir enray? les grands fl?aux du pass? : peste, variole, tuberculose? ? Le HIV, le sras, le prion, la grippe aviaire nous ont d?montr? que la bataille contre les infections n??tait jamais finie et qu?il ne fallait pas baisser la garde, a soulign? Christian Lajoux. Le sida, le paludisme, la tuberculose font aujourd?hui des ravages dans le monde, et pas seulement dans les pays pauvres. Sanofi-aventis participe avec le Samu social ? la lutte contre la tuberculose chez les SDF. De plus, la multiplication des voyages et le d?veloppement des moyens modernes de transport permettent aux agents infectieux de circuler aussi vite que les voyageurs. ?
                  ? Les commissaires de l?exposition ?pid?mie ont trouv? le ton juste pour parler du risque ?pid?mique, en r?ussissant ? sensibiliser le public sans l?effrayer ?, a conclu Christian Lajoux.

                  ? Dr DENISE CARO

                  * ? Le Quotidien ? des 28 novembre, 1<sup>er</sup>, 8 et 10 d?cembre.

                  Le Quotidien du M?decin du : 11/12/2008


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                  • #10
                    Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

                    <table border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td> ?pid?mies, sommes-nous pr?ts ?

                    Le Dr G?rard Kouchner : les m?dias m?dicaux entre deux ?cueils

                    Infectiologue (il reste m?decin hospitalier ? la Piti?-Salp?tri?re), le Dr G?rard Kouchner dirige le groupe CMPMedica, qui ?dite des publications m?dicales professionnelles, parmi lesquelles ? le Quotidien ?. Il pr?side par ailleurs le SNPM (Syndicat national de la presse m?dicale). C?est lui qui, dans le cadre du colloque organis? par sanofi-aventis ? ?pid?mies, sommes-nous pr?ts ? ?*, a analys? le r?le tr?s sensible des m?dias, sur une ligne de cr?te : entre la tentation de la dramatisation et celle du ? wishful writing ?.

                    LE QUOTIDIEN DU M?DECIN - Comment d?finiriez-vous la responsabilit? des m?dias m?dicaux face aux menaces ?pid?miques ?

                    Dr G?RARD KOUCHNER - Nous, m?dias professionnels, nous exer?ons une responsabilit? sp?cifique, car c?est souvent en nous consultant que la plupart des journalistes de la presse grand public v?rifient leurs informations. Or, le niveau de technicit? qui nous caract?rise peut faire probl?me quand ce sont des professionnels non form?s qui nous lisent. Des erreurs d?interpr?tation sont d?autant plus ? craindre que l?imaginaire qui entoure les maladies infectieuses reste extraordinairement riche et anxiog?ne.

                    Depuis Pasteur, nous vivons pourtant dans une culture de la victoire remport?e sur l??pid?mie?

                    Certes, mais c?est ambivalent. Les angoisses peuvent surgir ? nouveau d?s que sont ?voqu?s des risques majeurs tels les fi?vres h?morragiques, la peste ou le sida. Sans aller jusqu?? d?clencher des paniques, les m?dias ont vite fait d?entretenir des conduites fortement anxiog?nes.
                    Il leur faut tenir le cap : rester aussi factuels que possible et, en m?me temps, rendre compte des pr?occupations des chercheurs et des mod?les qu?ils ?laborent pour ?valuer les risques ? venir.

                    Les scientifiques n?ont-ils pas aussi leurs sc?narios catastrophe ?

                    La question s?est pos?e ? propos de l??valuation d?une ?ventuelle pand?mie grippale. Si les chercheurs nous disent qu?avec H5N1, la France pourrait compter jusqu?? 10 millions de gripp?s et 6 millions de morts, c?est aux m?dias qu?il appartient de traduire ces pr?visions en termes mesur?s, pour appr?cier le pourcentage de risque.
                    D?aucuns d?noncent aujourd?hui un ph?nom?ne d?emballement scientifico-m?diatique. Mais ce n?est pas parce que l??pid?mie n?est pas survenue ? ce jour que le niveau de risque ne continue pas d??tre ?lev?. Inform?es par les ?pid?miologistes et les bact?riologistes, les autorit?s de sant? ont estim? de leur devoir, ? mon sens ? juste titre, d?agir aupr?s des professionnels ainsi que du public. Les premiers ont ?t? alert?s et des formations leur ont ?t? dispens?es pour que leur pratique, en cas de survenue ?pid?mique, soit aussi efficace que possible ; le public a, quant ? lui, fait l?objet de campagnes de sensibilisation et d?information. Qui pourrait reprocher aujourd?hui ? nos gouvernants d?avoir surr?agi ? Que n?aurait-on dit, en cas d??pid?mie, si aucun programme de lutte n?avait ?t? lanc? ?

                    Quelle doit ?tre dans ce cas la fonction des m?dias ? Doivent-ils se contenter de relayer la parole officielle ? Ou faut-il qu?ils exercent un r?le de critique ?

                    Nous avons donn? la parole aux experts, les m?mes qui avaient assur? l?information des pouvoirs publics. C??tait notre travail. Les autorit?s de sant? avaient adopt? des mesures de pr?caution en application aux avis des experts, cela nous obligeait ? donner ?cho aux annonces de ces scientifiques. Et comment n?aurions-nous pas accord? un minimum d?importance ? ces annonces alors m?me qu??taient lanc?s d?importants programmes de formation ? l?attention de nos lecteurs ? Cela dit, la confiance mise par le public dans les experts est aujourd?hui ?branl?e. Les contaminations sanguines, les ?pid?mies de sida et de chikungunya ne sont pas pour rien dans cette perte de cr?dit. Pour notre part, nous nous sommes appliqu?s ? relayer ces experts avec autant de circonspection que possible.

                    Hormis la dramatisation, quels ?cueils doivent encore ?viter les m?dias en mati?re d?information sur les ?pid?mies ?

                    Nous devons nous garder d?une autre surench?re, oppos?e au catastrophisme, celle du wishful writing, comme l?appellent les Am?ricains : inconsciemment, les journalistes c?dent ? la tentation de fournir ? leurs lecteurs les nouvelles qu?ils ont envie de lire. L?affaire Judas Folkman, du nom de ce chercheur du Children?s Hospital de Boston, p?re de l?angiogen?se, est ? m?diter : en mai 1998, le ? New York Times ? avait fait sa ? une ? sur ses travaux concernant l?endostatine, annon?ant que cette mol?cule gu?rissait le cancer en deux ans. La fr?n?sie s?empara de toute la plan?te m?dia en 24 heures. Les journalistes, emport?s par leur ?lan, avaient simplement oubli? de pr?ciser que les travaux de Folkman concernaient la souris et non l?homme.

                    Cela dit, la m?diatisation des risques ?pid?miques ne peut-elle pas quand m?me avoir des effets b?n?fiques ? Avec le sida, on a vu qu?elle permettait de mobiliser et l?opinion, et les politiques et les scientifiques.

                    Aussi vrai que de crier intempestivement au loup a des effets catastrophiques, ? l?inverse, la m?diatisation des alertes lanc?es par les associations sur le sida a pu jouer, ind?niablement, un r?le tr?s b?n?fique. Au d?but, le corps m?dical ?tait plut?t r?ticent pour imaginer l?ampleur de l??pid?mie. Le travail des m?dias, en relayant les lanceurs d?alertes, a donc ?t? b?n?fique. De m?me, lors de la canicule de l??t? 2003, un m?decin comme Patrick Pelloux a su jouer des m?dias pour sonner le tocsin. Cela nous rappelle combien les m?dias, y compris professionnels doivent ?tre ? l??coute de tous les signaux, pas seulement scientifiques, pour assurer leur r?le de vigie face aux ?pid?mies.

                    ? PROPOS RECUEILLIS PAR CHRISTIAN DELAHAYE

                    * ? l?occasion de l?exposition Epid?mik ? la Cit? des sciences. Sont ?galement intervenus : Patrick Zylberman, Didier Houssin, Fran?oise Weber, Didier Tabuteau et Christian Lajoux (? le Quotidien ? des 28 novembre, 1<sup>er</sup>, 8, 10 et 11 d?cembre.

                    </td> </tr> <tr> <td>Le Quotidien du M?decin du : 12/12/2008




                    </td> </tr> </tbody></table> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"><tbody><tr> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_TL.png); background-repeat: no-repeat;" width="7" height="7">
                    </td> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_CT.png); background-repeat: repeat-x;" height="7">
                    </td> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_TR.png); background-repeat: no-repeat;" width="7" height="7">
                    </td> </tr> <tr> <td style="background-image: url(/img/HP_BX3_CL.png); background-repeat: repeat-y;">
                    </td> <td> <table border="0" cellpadding="5" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr> <td align="center">
                    </td></tr></tbody></table>
                    </td></tr></tbody></table>

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                    • #11
                      La grippe aviaire est de retour en Asie

                      La grippe aviaire est de retour en Asie

                      Par Lesinfos, lundi 22 d?cembre 2008 ? 14:54 :: Sant? :: permalien #920

                      Depuis quelques semaines, la grippe aviaire refait parler d?elle. Elle est en effet pr?sente en Indon?sie, en Egypte, en Inde, en Chine et au Cambodge dans des ?levages de volailles ou chez des humains.


                      Deux jeunes indon?siennes ont contract? le virus de la grippe aviaire, le H5N1. L?une d?entre elle, une enfant de 2 ans, aurait succomb? ? la maladie apr?s avoir ?t? en contact avec des volailles lors d?un march? d?oiseaux vivants.


                      </PRE>Au Cambodge, un jeune homme de 19 ans a ?t? hospitalis? le 30 novembre dernier car il pr?sentait des sympt?mes de la grippe aviaire, c'est-?-dire de la fi?vre et des difficult?s respiratoires. Malgr? la confirmation de la pr?sence du virus, le jeune homme a surv?cu.

                      En Egypte, une jeune fille de 16 ans est morte lundi 15 d?cembre de la grippe aviaire. Malgr? un traitement au Tamiflu (m?dicament habituellement administr? pour les cas de grippe aviaire), l?adolescente est d?c?d?e. Elle est la 23?me personne dans le pays ? succomber ? la maladie. Les victimes sont en majorit? des femmes et des enfants qui sont plus fr?quemment en contact avec les volailles.


                      En Chine et en Inde des milliers de volailles sont abattues par mesure de pr?caution, car elles sont soup?onn?es d??tre porteuses du virus H5N1. En tout, 250 personnes sont mortes de la maladie depuis son apparition en 2003, selon l?OMS. Le virus H5N1 se propage de l?animal ? l?homme, mais la communaut? scientifique craint la mutation du virus et la contamination de l?homme vers l?homme, ce qui pourrait engendrer une ?pid?mie mondiale aux cons?quences dramatiques.

                      Lire les recommandations de l'OMS

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                      • #12
                        Grippe aviaire, la menace

                        <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=542 align=center bgColor=#f2f2f2 border=0><TBODY><TR><TD class=article_texte_petit bgColor=#cecece colSpan=3>par 1-L?Equipe AgoraVox </TD></TR><TR vAlign=top><TD class=article_texte_petit width=250> lundi 22 d?cembre 2008</TD></TR></TBODY></TABLE>

                        Grippe aviaire, la menace

                        <TABLE class=article_texte width="93%" align=center border=0><TBODY><TR><TD vAlign=top><!-- -->L?institut de veille sanitaire (InVS) vient de mettre ? jour sa ? d?finition de cas humain possible de grippe aviaire H5N1 ?. La menace se pr?cise en Extr?me orient o? plusieurs pays ont proc?d? ? des abattages cons?quents de volailles.

                        ? Une personne pr?sentant un syndrome respiratoire aigu b?nin ou mod?r? (fi?vre>38? C et toux et/ou dyspn?e) devient un cas possible si dans les 7 jours avant le d?but de ses signes : elle a eu des contacts prolong?s, r?p?t?s et ? moins d?un m?tre avec des oiseaux d??levage ou de compagnie vivants ou morts, elle a eu un contact direct avec des oiseaux sauvages vivants ou morts dans une zone ou un pays infect?s par le virus H5N1 (tableaux A, B et C), elle a eu des contacts tr?s proches et r?p?t?s avec un cas humain confirm? de grippe H5N1 ou elle a eu une exposition professionnelle avec des pr?l?vements biologiques, d?origine animale ou humaine, infect?s ou pr?sum?s infect?s par le virus H5N1 ?.

                        D?apr?s l?OMS la grippe aviaire serait actuellement en progression. La Chine vient d?abattre plus de 300000 volailles tandis que 80000 autres volailles ont ?t? abattues ? Hong Kong. A Taiwan les autorit?s ont fait abattre 18000 poulets. Le Japon vient de bloquer les importations de volailles de ce pays.

                        La grippe aviaire, un probl?me de sant? publique mondiale.</TD></TR></TBODY></TABLE>

                        L'institut de veille sanitaire (InVS) vient de mettre à jour sa « définition de cas humain possible de grippe aviaire H5N1 ». La menace se (...)

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                        • #13
                          Re: Sommes nous bien ou pas bien pr?par?s...?

                          Les USA seulement ? moiti? pr?ts pour la pand?mie de grippe - rapport

                          Traduction machine

                          Par Maggie Fox, r?dacteur de sant? et de la Science

                          Les ?tats d'USA ont accompli le progr?s en stockant des drogues et la pr?paration pour vacciner des personnes en cas de pand?mie de grippe mais sont lointains derri?re dans les plans pour les mois suivants de la rupture, le gouvernement a dit jeudi.

                          Le rapport du d?partement de services de la sant? et des affaires sociales des USA montr? la plupart des ?tats responsables de maintenir des approvisionnements alimentaires ?taient en cas d'urgence pr?t, mais les plans de transport ont eu beaucoup de chemin ? faire. Les experts ont dit que la crise ?conomique rendrait seulement des choses plus mauvaises.

                          ? Elle s'est m?lang?e. Je vois le verre ? moiti? plein dans le sens que les questions importantes sont abord?es s?rieusement par les personnes s?rieuses, ? William Raub, qui avait aid? organisent l'?tat de pr?paration universel pour HHS, dit Reuters.

                          <!--pull quote --><table width="130" align="left" border="0" cellpadding="0" cellspacing="6"><tbody><tr><td class="pullquote">? le suspect du num?ro 1 est maintenant l'influenza H5N1 aviaire, ou la grippe d'oiseau</td></tr></tbody></table><!--pull quote end -->La plupart des experts en mati?re de sant? conviennent qu'une pand?mie de quelque chose, probablement grippe, est in?vitable et le gouvernement des USA avait pouss? des ?tats pour d?velopper des plans d'?tat de pr?paration.

                          Personne ne peuvent indiquer quand ou quelle maladie frapperont, mais le suspect du num?ro 1 est maintenant l'influenza H5N1 aviaire, ou la grippe d'oiseau, qui a infect? 394 personnes et tu? 248 d'entre eux depuis 2003.

                          Le virus n'infecte pas des personnes facilement maintenant mais continue ? sauter vers le haut en bandes d'oiseaux en Asie, Europe, le Moyen-Orient et en Afrique et pourrait subir une mutation dans une forme que les gens passent facilement ? un un autre.

                          ? La menace universelle est vraie et continuante, ind?pendamment de combien la perception de la menace peut cirer ou affaiblir avec le temps. Par cons?quent, si nous devons parer la prochaine pand?mie effectivement, nous devons pr?parer maintenant, ? a dit Raub.

                          Essai de survivre

                          <!--pull quote --><table width="130" align="left" border="0" cellpadding="0" cellspacing="6"><tbody><tr><td class="pullquote">? La menace universelle est vraie et continuation ?</td></tr></tbody></table><!--pull quote end -->Les 50 ?tats d'USA, cinq territoires et DC de Washington, obtenu de bonnes marques sur ?tre pr?t pour distribuer les drogues et les vaccins antiviraux. Plus de difficult?s ont tourn? vers le haut en pr?parant des secteurs tels que la 'capacit? de mont?e subite " - la capacit? d'un h?pital de s'inqui?ter d'un afflux soudain des patients malades ou bless?s.

                          ? La grande majorit? d'h?pitaux sont comme la grande majorit? d'autres ?l?ments - elles sont dans le secteur priv?, ? a dit Dr. Til Jolly, m?decin conseil de sous-chef au d?partement de la s?curit? de patrie.

                          ? Et les temps ?conomiques sont durs, ? tr?s suppl?mentaire.

                          Mike Osterholm, directeur des centres pour la recherche et la politique de maladie infectieuse ? l'universit? du Minnesota, a dit que la r?cession ?conomique endommageait d?j? des efforts d'?tat de pr?paration.

                          Les ? gens essayent juste de survivre et est-ce que demandant ? ce l'heure d'?tre de la pr?paration est pour une catastrophe ? ?, ? Osterholm a indiqu? dans une entrevue de t?l?phone.

                          L'association du directeur ex?cutif Dr. Paul Jarris d'?tat et d'agents de la Sant? territoriaux a indiqu? que n'importe quel progr?s ?tait compromis par des r?ductions du placement f?d?ral.

                          ? Le placement f?d?ral pour l'?tat et l'?tat de pr?paration universel territorial a fini en ao?t 2008, ? Jarris a indiqu? dans un rapport. En outre, le placement f?d?ral global pour des activit?s d'?tat de pr?paration a ?t? coup? par 25 pour cent depuis 2005. ?

                          Raub a indiqu? que le rapport avait ?t? envoy? ? tous les ?tats et a ?t? signifi? comme conseils.

                          Beaucoup d'?tats pensaient toujours en termes de ? incident ? dit-il au lieu de la planification pendant les mois de la rupture qui affecteraient tout le pays et monde.

                          Le rapport a indiqu? que les secteurs financ?s par les centres des USA pour le contr?le des maladies et l'emp?chement avaient fait leur meilleur, incluant dans la surveillance de la maladie et la pr?paration de laboratoire.

                          Mais l'outreach de la communaut? ?tait encore faible. ? La plupart des ?tats n'ont pas commenc? ? fonctionner avec des entreprises, secteurs scolaires, leaders spirituels ou avec d'autres organisations non gouvernementales dans la planification. Ce sont des associ?s critiques qui doivent ?tre inclus dans la planification universelle de grippe, ? le rapport ont dit. (?ditant par Philip Barbara) - Reuters


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