Ruptures de stock de médicaments : une épidémie qui menace
<TABLE style="BORDER-BOTTOM: #e6e6e6 1px solid; BORDER-TOP: #e6e6e6 1px solid" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%"><TBODY><TR><TD class=date>Publié le 27/07/2011 </TD><TD align=right></TD></TR></TBODY></TABLE>
JIM.fr est réservé aux professionnels de santé. Ces derniers doivent être identifiés comme tels pour accéder à l’ensemble des pages du site. A titre exceptionnel, cette rubrique est accessible sans login et mot de passe. Toutefois, sur ces pages Pro et Société, les lecteurs non logués ne seront pas exposés à des publicités pharmaceutiques et devront s’identifier pour accéder aux autres rubriques médicales du site JIM.fr.
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Montréal, le mercredi 27 juillet 2011 – Au printemps, l’Académie de pharmacie (française) s’est penchée sur l’impact de la mondialisation des moyens de production sur la fabrication et la disponibilité des médicaments. Elle a observé que les multiples délocalisations dans ce secteur contribuaient à favoriser les ruptures de stocks. Un chiffre avait notamment été avancé pour illustrer ce phénomène : entre le premier semestre 2009 et le premier semestre 2011, le nombre d’alertes émanant de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) évoquant un risque de rupture de stock est passé de deux à trente et un.
D’une cinquantaine de ruptures de stocks en 2008 à plus de 200 en 2010
Cette situation n’est pas propre à la France et notre pays serait même encore relativement épargné si l’on en juge par les difficultés auxquelles sont confrontés les pharmaciens du Québec. Ici, les ruptures de stock n’ont cessé de se multiplier au cours des dernières années passant de cinquante-six en 2008 à 80 en 2009 avant d’atteindre 207 signalements par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) en 2010. Si le début de l’année 2011 ne laisse pas présager de nouvelle explosion, il n’est nullement marqué par une décélération puisque 110 cas de rupture de stock ont déjà été répertoriés.
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Montréal, le mercredi 27 juillet 2011 – Au printemps, l’Académie de pharmacie (française) s’est penchée sur l’impact de la mondialisation des moyens de production sur la fabrication et la disponibilité des médicaments. Elle a observé que les multiples délocalisations dans ce secteur contribuaient à favoriser les ruptures de stocks. Un chiffre avait notamment été avancé pour illustrer ce phénomène : entre le premier semestre 2009 et le premier semestre 2011, le nombre d’alertes émanant de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) évoquant un risque de rupture de stock est passé de deux à trente et un.
D’une cinquantaine de ruptures de stocks en 2008 à plus de 200 en 2010
Cette situation n’est pas propre à la France et notre pays serait même encore relativement épargné si l’on en juge par les difficultés auxquelles sont confrontés les pharmaciens du Québec. Ici, les ruptures de stock n’ont cessé de se multiplier au cours des dernières années passant de cinquante-six en 2008 à 80 en 2009 avant d’atteindre 207 signalements par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) en 2010. Si le début de l’année 2011 ne laisse pas présager de nouvelle explosion, il n’est nullement marqué par une décélération puisque 110 cas de rupture de stock ont déjà été répertoriés.
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