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C. difficile

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  • #31
    C. Difficile

    COMIT? DE CRISE POUR LA C. DIFFICILE
    Par Nathalie Nolin (Le Mirabel, Saint-J?r?me)
    24 f?vrier 2007

    L'h?pital r?gional de Saint-J?r?me a mis en place un comit? de crise et des mesures d'urgence pour contrer la p?riode d'?closion de C. difficile qui s?vit en ce moment.

    ?L'h?pital sera d?sinfect? au complet au cours des prochains jours pour ?viter la propagation de la C. difficile?, a fait savoir la directrice des communications de l'h?pital, Ysabelle Lusignan. Il s'agit d'une mesure extraordinaire puisque la route de nettoyage pr?voit normalement un nettoyage en profondeur par section, et en rotation, ce qui fait que l'h?pital dans sa totalit? n'est d?sinfect? qu'une fois par ann?e.

    La direction de l'h?pital et le comit? de crise, qui se r?unissent tous les jours, ont jug? n?cessaire ce nettoyage ? l'eau de Javel. Les consignes d'hygi?ne ont ?t? r?p?t?es la semaine derni?re ? tout le personnel et on a demand? leur vigilance.

    Tous les visiteurs sont aussi accueillis, ? l'entr?e des d?partements, par un garde de s?curit? qui leur demande de se laver les mains avec le produit d?sinfectant.

    Les cas de C. difficile sont plac?s ensemble dans des chambres situ?es sur deux ?tages soit au 3e et au 5e. D'autres patients non contamin?s cohabitent toutefois avec eux dans le m?me d?partement.

    Inqui?tudes
    L'h?pital re?oit plusieurs appels d'individus qui se demandent s'ils devraient se rendre ? l'h?pital pour subir leur op?ration ou examen. ?Je leur dis qu'ils n'ont qu'? suivre les consignes de se laver les mains en entrant et en sortant de l'h?pital, explique Mme Lusignan.

    Il ne faut pas oublier que nous tous, le personnel, les secr?taires, on travaille ici tous les jours et on n'est pas malades.?

    ?Mais je peux vous dire que l'h?pital prend ?a tr?s au s?rieux?, a-t-elle pr?cis?.

    Par ailleurs, la direction de l'h?pital ne donnera plus de chiffres sur le nombre de cas atteints, qui varie ? tous les jours et n'est comptabilis? qu'une fois par mois. ?On est toujours en situation d'?closion et ?a peut prendre de 3 ? 4 semaines avant que ?a ne se r?sorbe.?

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    • #32
      C. Difficile

      ENQU?TE PUBLIQUE DU CORONER SUR LA C. DIFFICILE
      Les proches d'une victime boulevers?s

      Par Denis B?langer (L'Oeil r?gional)
      24 f?vrier 2007

      La derni?re semaine a ?t? des plus bouleversantes pour les proches de Marie-Andr?e Dorion de Bel?il, la huiti?me personne d?c?d?e en raison de la bact?rie C. Difficile au Centre hospitalier Honor?-Mercier. Les t?moignages livr?s lors des premiers jours de l'enqu?te publique ont fait ?tat de n?gligence et de lacunes graves ? l'h?pital. Des r?v?lations qui ont soulev? la col?re de la s?ur et du conjoint de la victime, Sylvie Dorion et Pierre Leclerc.

      Les deux r?sidants de Bel?il ont assist? aux trois journ?es d'audience qui ont lieu cette semaine au palais de justice de Saint-Hyacinthe. Au terme de la s?ance de mercredi, ils se sont dits d?sol?s de qu'ils ont appris. "C'est r?voltant d'apprendre que les chambres n'?taient pas toujours d?sinfect?es. Il a ?t? aussi dur pour moi d'apprendre de la bouche du directeur de l'?quipe de pr?vention des infections que le cas de ma s?ur ?tait le plus path?tique", a d?clar? ? L'?il R?gional, Sylvie Dorion.

      Cette derni?re raconte que Marie-Andr?e Dorion s'est pr?sent?e pour une premi?re fois ? Honor?-Mercier en juillet 2006 pour soigner une verticulite aux intestins. "Les m?decins lui ont dit qu'elle pourrait combattre la verticulite avec des antibiotiques. Ma s?ur a toutefois d? se pr?senter ? l'h?pital pour une deuxi?me fois au cours de l'?t?. C'est ? ce moment-l? qu'elle aurait ?t? infect?e par la C. difficile."

      D'apr?s la femme, Marie-Andr?e Dorion a appris la terrible nouvelle vers le 10 septembre. "Ils l'ont laiss? sortir de l'h?pital en ?tant conscients qu'elle ?tait infect?e. Elle aurait pu contaminer des gens. De plus, nous n'avons jamais vu le d?pliant qui contenait des renseignements sur la bact?rie."

      Marie-Andr?e Dorion a ?t? admise de nouveau ? Honor?-Mercier le 20 septembre. Elle est d?c?d?e le 25 ? l'?ge de 59 ans. Elle ?tait m?re de deux enfants et grand-m?re de trois petits-enfants.

      Sylvie Dorion et Pierre Leclerc estiment qu'il est encore trop t?t pour jeter le bl?me sur une personne en particulier. Ils ont n?anmoins h?te d'entendre le t?moignage de l'ancien directeur du Centre de sant? et de services sociaux (CSSS) Richelieu-Yamaska, Denis Blanchard, qui devrait compara?tre devant la coroner Catherine Rudel-Tessier la semaine prochaine. Rappelons que M. Blanchard a demand? ? ?tre relev? de ses fonctions au lendemain de l'annonce de la tenue d'une enqu?te publique

      "Lors d'un point de presse, M. Blanchard a dit qu'il fallait oublier le pass? et se tourner vers l'avenir. Ces propos m'ont choqu?e, je ne peux pas oublier ma s?ur, elle me manque. Nous ?tions toujours ensemble", a ajout? Mme Dorion.

      Cette derni?re a indiqu? qu'elle ou son beau-fr?re t?moignerait ?ventuellement devant la coroner. Les audiences se poursuivront la semaine prochaine, au moins jusqu'? mercredi. Outre Denis Blanchard, l'actuel directeur g?n?ral par int?rim du CSSS Richelieu-Yamaska, Mario Larivi?re, devrait figurer sur la liste des t?moins.

      Lacunes et n?gligence
      Durant la journ?e de mercredi, Luc Pellerin, membre de l'?quipe de pr?vention des infections a fait d'int?ressantes r?v?lations. Il a d'ailleurs affirm? que c'est le d?c?s de Marie-Andr?e Dorion qui a sonn? l'alarme. Il ?tait en vacances au moment du d?c?s.

      ? son retour au travail, M. Pellerin a fait un rapport sur les nombreuses lacunes observ?es. Il avait notamment constat? que les chambres n'?taient pas d?sinfect?es quotidiennement. Luc Pellerin a ?galement avanc? que c'est une s?rie de lacunes qui expliquent que certains d?c?s soient survenus.

      La veille du t?moignage de M. Pellerin, la Dre Anne Vibien, microbiologiste-infectiologue ? Honor?-Mercier a critiqu? la fa?on de faire de Denis Blanchard. Mme Vibien a parl? de manque de ressources, manque de leadership et de coupures dans le personnel d'entretien.

      Le Dr Michel Poisson, microbiologiste au Centre hospitalier de l'Universit? de Montr?al et le Dr Alain Poirier, directeur national de la sant? publique au minist?re de la Sant? et des Services sociaux, ont ?galement t?moign?.

      Depuis le 21 juillet, 38 cas de C. difficile ont ?t? d?clar?s et 14 d?c?s sont survenus au Centre hospitalier Honor?-Mercier. Pr?sentement, aucun patient n'est infect? par la bact?rie. La fin de l'?closion de la bact?rie a ?t? annonc?e le 16 janvier.

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      • #33
        C. Difficile

        L'H?PITAL DE VERDUN FONCTIONNE NORMALEMENT
        23 f?vrier 2007 (Corus Nouvelles r?gionales)

        Le Centre de sant? et des services sociaux du Sud-Ouest-Verdun d?sire informer la population que la situation fonctionne normalement ? l'H?pital de Verdun. Les visites sont permises partout et sans restriction.

        L'H?pital soigne pr?sentement 18 patients aux prises avec la bact?rie C. difficile. Par mesure de pr?vention, tous ces patients ont ?t? isol?s dans une aile du 4e ?tage. Les visites sont permises aupr?s de ceux-ci, ? raison de deux visiteurs ? la fois par patient. Les visiteurs doivent porter des v?tements de protection avant d'entrer dans les chambres de cette unit?.

        Tous les visiteurs sont pri?s de se laver les mains avec le gel alcoolis? en entrant et en sortant de l'H?pital.

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        • #34
          C. Difficile

          .
          SAINTE-CROIX *: LA C. DIFFICILE N'EST PAS EN ÉCLOSION
          27 février 2007, par Caroline Lepage (L'Express)

          Depuis la dernière période qui a débuté le 4 février, quatre patients ont été victimes de la bactérie C. difficile à l’hôpital Sainte-Croix.

          Selon Jacinthe Desjardins, directrice des soins infirmiers au Centre de santé et de services sociaux (CSSS) Drummond, le centre hospitalier ne se trouve pas en situation d’éclosion.

          D’après les dernières informations communiquées par l’hôpital, lundi après-midi, aucun patient ne devait non plus être placé en isolement.

          Au cours de la période précédente, s’étant déroulée du 7 janvier au 3 février, le taux d’incidence s’élevait à 25,9. Ceci constitue de meilleurs résultats comparativement à ceux enregistrés au cours des mêmes dates en 2005 et 2006.

          Mme Desjardins a donc noté une amélioration malgré, selon elle, un taux d’incidence toujours trop élevé.

          * L'Hôpital Sainte-Croix est l'une des installations du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) Drummond, qui gère également le CLSC Drummond et le CHSLD Coeur-du-Québec.

          Last edited by Lyro; February 28, 2007, 11:52 PM. Reason: Ajout de la date de publication et du nom de l'éditeur.
          Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s)
          Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)

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          • #35
            C. Difficile

            <table align="left" width="170"> <tbody><tr> <td> </td> <td


            </td> </tr> </tbody></table>

            L'H?PITAL DE RIMOUSKI (Province de Qu?bec, Canada) CONSACRE DES EFORTS SANS PR?C?DENT ? LA "C. DIFFICILE"

            27 f?vrier 2007 - Par Pierre Michaud

            Alors que s'amorce l'enqu?te sur 16 d?c?s possiblement attribuables ? la bact?rie C difficile, ? Saint-Hyacinthe, l'H?pital r?gional de Rimouski met de l'avant des mesures exceptionnelles pour contrer cette infection.




            <table align="left" width="170"> <tbody><tr> <td> </td> <td


            </td> </tr> </tbody></table>

            Le directeur g?n?ral, Raymond Coulombe
            Photos LE JOURNAL Pierre Michaud

            Le Journal de Qu?bec signalait r?cemment que l'H?pital de Rimouski peut ?tre consid?r? ? risque. Le quotidien pr?cise que cette bact?rie touche des milliers de personnes chaque ann?e, au Qu?bec, dont 6% en d?c?dent. Sur une ?chelle de 0 ? 25, du meilleur au pire, Rimouski obtient un score de 12,9 qui le place au 29e rang des 31 h?pitaux interm?diaires (100 ? 249 lits). L'unit? de mesure repr?sente le nombre de cas de C difficile par 10 000 jours/pr?sence d'hospitalisation.


            <table align="left" width="170"> <tbody><tr> <td> </td> <td


            </td> </tr> </tbody></table>

            ?Nous utilisons des produits plus costauds pour la d?contamination; 115,000$ ont ?t? investis pour ajouter des toilettes; 25,000$ pour la client?le du centre d'h?bergement; 420,000$ ? l'achat de laveurs-d?contaminateurs.

            Un second poste d'infirmi?re pr?ventionniste a ?t? cr?? et un troisi?me le sera bient?t et une somme de 50 000$ doit ?tre ajout?e bient?t pour du mat?riel r?serv? aux patients.

            Enfin, la formation du personnel est en r?vision? ajoute M. Coulombe, pr?cisant que la population a aussi un r?le ? jouer en respectant les mesures d'hygi?ne.




            Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s)
            Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)

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            • #36
              C. Difficile

              L'?pid?mie se r?pand...

              ***

              Bact?rie C. difficile
              LA SOUCHE DU QU?BEC RETROUV?E EN ONTARIO

              28 f?vrier 2007 (LCN, d'apr?s Presse canadienne)

              La bact?rie C. difficile de la m?me souche virulente que celle qui a fait 2000 morts au Qu?bec depuis 2003 a ?t? formellement identifi?e dans un h?pital de la r?gion de Toronto.



              Cet ?tablissement est aux prises avec plus d'une douzaine de cas.

              Une repr?sentante du Trillium Health Centre ? Mississauga, o? 14 patients ont re?u un diagnostic de C. difficile, a confirm? qu'un des quatre patients d?c?d?s r?cemment ?tait porteur de la m?me souche de la bact?rie mortelle qui a ravag? des h?pitaux du Qu?bec.

              Le centre en a eu la confirmation apr?s avoir envoy? des ?chantillons ? Winnipeg pour des tests de d?pistage.

              Les victimes ?taient principalement des patients ?g?s et malades.

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              • #37
                C. Difficile

                Joli jeu de mot dans le titre!

                ***

                C. difficile ? l'h?pital de Saint-Hyacinthe
                LE DG S'EN LAVE LES MAINS

                28 f?vrier 2007 (Soci?t? Radio-Canada | Nouvelles)

                Le directeur g?n?ral de l'h?pital Honor?-Mercier de Saint-Hyacinthe, Denis Blanchard, soutient avoir ?t? inform? de l'?closion d'une ?pid?mie de C. difficile dans son ?tablissement apr?s le onzi?me d?c?s. M. Blanchard a t?moign? mercredi ? l'enqu?te de la coroner Catherine Rudel-Tessier.


                Denis Blanchard (archives, SRC)

                Mis au fait de la situation, il affirme avoir r?alis? que les mesures d'hygi?nes ?taient d?ficientes le 11 octobre 2006. Il a ?galement indiqu? qu'il n'?tait pas en fonction lorsque quatre postes ont ?t? abolis dans les secteurs de la salubrit? et de l'entretien.

                M. Blanchard a demand? d'?tre relev? de ses fonctions pendant l'enqu?te de la coroner.

                Une situation alarmante depuis 2005

                Le t?moignage de M. Blanchard tranche avec celui de la Dre Anne Vibien qui a affirm? au coroner, la semaine derni?re, avoir pr?venu la direction de l'h?pital d?s janvier 2005 des risques li?s ? des mesures de d?sinfection inad?quates. La microbiologiste avait tent? sans succ?s de convaincre les administrateurs d'embaucher plus de personnel pour s'assurer de la salubrit? des locaux et de l'?quipement m?dical.

                Un rapport interne pr?par? par les responsables de la pr?vention et du contr?le des infections de l'?tablissement, et dont Radio-Canada avait obtenu copie en octobre dernier, soulignait notamment des manquements graves dans les mesures d'hygi?ne et d'entretien, ce qui aurait contribu? ? la propagation de la bact?rie.

                La crise du C. difficile a co?t? la vie ? 16 personnes ? l'h?pital Honor?-Mercier en 2006. Au Qu?bec, 2000 personnes en sont mortes depuis 2003.

                La bact?rie du Qu?bec identifi?e en Ontario

                Au m?me moment, un h?pital de Mississauga, dans la r?gion de Toronto, confirme qu'au moins un patient d?c?d? ?tait infect? par la souche de C. difficile qui a s?vi au Qu?bec.

                L'h?pital Trillium rapporte 14 cas d'infection, parmi lesquels quatre d?c?s sont survenus. Les malades ont ?t? mis en isolement, et les chambres ont ?t? rigoureusement nettoy?es.

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                • #38
                  C. difficile

                  C. DIFFICILE: LA FAMILLE MARTIN MET FIN AUX PROC&#201;DURES CONTRE LE CHRTR
                  Par Nancy Massicotte (Le Nouvelliste)

                  Trois-Rivi&#232;res -- La famille de Richard Martin, cet homme de 84 ans d&#233;c&#233;d&#233; apr&#232;s avoir contract&#233; la bact&#233;rie C. Difficile au CHRTR, a finalement d&#233;cid&#233; de mettre un terme aux proc&#233;dures visant &#224; faire la lumi&#232;re sur cette affaire.


                  Le CHRTR

                  Rappelons que M. Martin avait d&#233;velopp&#233; les sympt&#244;mes du C. Difficile apr&#232;s une hospitalisation entre le 31 octobre et le 9 novembre 2006 au CHRTR. Trois jours plus tard, il avait &#233;t&#233; r&#233;admis &#224; l'h&#244;pital pour soigner la bact&#233;rie.

                  Or, il serait demeur&#233; trois jours sur une civi&#232;re &#224; l'urgence, m&#234;me s'il &#233;tait infect&#233; par cette bact&#233;rie. Il est d&#233;c&#233;d&#233; le 19 novembre. Il &#233;tait &#233;galement atteint de l'ERV.

                  Le fils de M. Martin, Georges Martin, avait tout d'abord r&#233;clam&#233; une enqu&#234;te publique du minist&#232;re de la Sant&#233; et des Services sociaux sur les circonstances du d&#233;c&#232;s. Or, il avait ensuite d&#233;cid&#233; de se plier aux proc&#233;dures recommand&#233;es par le CHRTR et de loger une plainte aupr&#232;s de la Commissaire locale aux plaintes.

                  Cette plainte a donc &#233;t&#233; port&#233;e en bonne et due forme en d&#233;cembre 2006, soit pr&#232;s d'un mois apr&#232;s le d&#233;c&#232;s de Richard Martin. Le 5 janvier dernier, le CHRTR a fait parvenir sa r&#233;ponse &#224; la famille. Celle-ci contient les r&#233;sultats de l'enqu&#234;te men&#233;e par la Commissaire locale aux plaintes et &#224; la qualit&#233; des services et par un m&#233;decin examinateur.

                  "Le CHRTR d&#233;ment toutes mes accusations et se lave les mains. On m'&#233;crit qu'il n'y aurait pas eu de cas de C. Difficile du 2 au 6 novembre dans le secteur o&#249; mon p&#232;re a &#233;t&#233; hospitalis&#233; une premi&#232;re fois pour une insuffisance cardiaque et de l'eau sur les poumons. Il semblerait qu'il y avait uniquement des cas de SRAM. Cette r&#233;ponse est loin de me satisfaire mais je m'attendais &#224; pareils d&#233;mentis. Le CHRTR ne pense qu'&#224; sauver sa r&#233;putation et non pas au bien-&#234;tre des patients. Tout cela d&#233;note un manque flagrant de transparence", a indiqu&#233; hier M. Martin.

                  Il pourrait contester cette d&#233;cision en portant sa cause notamment devant le Protecteur des citoyens mais il refuse d'aller plus loin. "J'ai trop de rage et de col&#232;re en moi. Je m'attaque &#224; un gros syst&#232;me et je n'ai pas le go&#251;t d'y perdre toutes mes &#233;nergies", a-t-il ajout&#233;.

                  Du c&#244;t&#233; du CHRTR, on a refus&#233; de commenter la d&#233;cision qui a &#233;t&#233; rendue dans l'affaire de Richard Martin, voire m&#234;me de la pr&#233;ciser, sous pr&#233;texte qu'il s'agit d'un dossier confidentiel.

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                  • #39
                    C. difficile

                    SIX CAS DE BACT?RIE C. DIFFICILE ONT ?T? D?COUVERTS ? L'H?PITAL DE MAGOG
                    Par Claude Plante (La Tribune)
                    28 f?vrier 2007

                    Sherbrooke -- La direction de l?h?pital de Magog a amplifi? les mesures de pr?vention ? la suite de la d?couverte de cas de la bact?rie C. difficile au cours des derniers jours.

                    Ces cas concernent six patients qui avaient hospitalis?s au centre de sant? Memphr?magog. Parmi eux, trois personnes seraient sur le point de retrouver la sant?.

                    On ne craint toutefois pas pour la vie des autres. Il s?agit d?une souche de la bact?rie moins virulente que celle observ?e dans d?autres h?pitaux.

                    La direction du centre hospitalier de la rue Saint-Patrice Est pr?voit que la situation sera revenue ? la normale d?ici quelques semaines.

                    Plus de d?tails dans La Tribune de jeudi.

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                    • #40
                      C. difficile

                      NOUVEAUX CAS DE C. DIFFICILE &#192; SAINT-HYACINTHE
                      1er mars 2007 (Cyberpresse, d'apr&#232;s Presse Canadienne)

                      Longueuil -- Une deuxi&#232;me &#233;closion &#224; la bact&#233;rie C. difficile a &#233;t&#233; recens&#233;e au Centre hospitalier Honor&#233;-Mercier de Saint-Hyacinthe.

                      Cinq nouveaux cas ont &#233;t&#233; enregistr&#233;s, qui affectent surtout des personnes &#226;g&#233;es. L'&#233;closion a &#233;t&#233; rapport&#233;e mercredi. Aucun de ces patients ne se trouve aux soins intensifs et l'un d'entre eux a m&#234;me re&#231;u son cong&#233;.

                      L'Agence de sant&#233; et de services sociaux de la Mont&#233;r&#233;gie a tenu &#224; rassurer la population dans un point de presse jeudi apr&#232;s-midi.

                      &#171;Nous avons une situation ici qui est certainement pr&#233;occupante aux yeux de la population, qui m&#233;rite d'&#234;tre inform&#233;e (...), a fait savoir le pr&#233;sident de l'Agence, Luc Boileau. Dans le contexte de l'enqu&#234;te du coroner, on ne souhaite pas commenter. Mais sur ce qui se passe (...) &#224; Saint-Hyacinthe, on ne veut surtout pas que les gens pensent que les choses sont en perte de contr&#244;le, ce n'est pas le cas, c'est fortement l'inverse.&#187;

                      Les autorit&#233;s assurent que des mesures tr&#232;s s&#233;v&#232;res de contr&#244;le ont &#233;t&#233; prises, en plus de celles d&#233;j&#224; en vigueur &#224; l'h&#244;pital.

                      Elles soulignent aussi que cette &#233;closion n'est pas une surprise, car en cette saison de gastro et influenza, l'utilisation intensive d'antibiotiques cr&#233;e les conditions id&#233;ales &#224; la prolif&#233;ration de C. difficile.

                      Une enqu&#234;te du coroner est actuellement en cours sur la premi&#232;re &#233;closion de la bact&#233;rie qui avait fait 16 victimes &#224; l'h&#244;pital Honor&#233;-Mercier, l'an dernier.

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                      • #41
                        C. difficile

                        C. DIFFICILE ? HONOR?-MERCIER: PHILIPPE COUILLARD S'EXPLIQUE MAL L'IGNORANCE DU DIRECTEUR G?N?RAL
                        2 mar 2007 (Info 690, d'apr?s 98,5 FM)

                        En entrevue au 98,5 FM ce matin, le ministre de la Sant? Philippe Couillard a avou? qu'il ?tait inexplicable que le directeur g?n?ral de l'h?pital Honor?-Mercier, Denis Blanchard, ait pris connaissance de la situation de crise apr?s le onzi?me d?c?s, comme il est venu l'affirmer cette semaine devant le coroner.

                        On peut l'?couter dans l'extrait audio.

                        Le ministre ajoute cependant que ce qui est important c'est d'?viter que ce genre de situation ne se reproduise.

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                          C. difficile

                          C. DIFFICILE S'INSTALLE ? DEMEURE ? L'H?PITAL HONOR?-MERCIER
                          Par Ricardo Codina (La Vie Rurale)
                          3 mars 2007

                          L?hebdo L??il r?gional de Beloeil tout comme les m?dias de la Mont?r?gie rapportent une deuxi?me ?closion de C.Difficile ? l?h?pital Honor?-Mercier. Cette ?closion a ?t? d?clar?e cette semaine lorsque cinq nouveaux cas furent diagnostiqu?s. Cette fois, la Direction de la sant? publique de la Mont?r?gie estime que la situation est moins grave que durant l?automne 16 personnes d?c?d?rent dans cette institution hospitali?re suite ? une grave ?closion de C. Difficile. ?closion qui semble avoir ?t? d?clar?e trop tardivement pour des raisons qui restent ? ?claircir.

                          Cette fois parmi les malades toujours infect?s, aucune de ces personnes n?est dans un ?tat critique. Sur les cinq, un malade a m?me re?u son cong? son ?tat ?tant stabilis? et normal. C?est la direction du Centre de sant? et des services sociaux (CSSS) Richelieu-Yamaska qui a sonn? l?alerte mercredi. "Toutes les mesures de s?curit? et d&apos;hygi?ne sp?ciales d?j? mises en place le demeureront jusqu&apos;? nouvel ordre. Nous en avons ajout? d&apos;autres depuis le d?but de cette nouvelle ?closion, a d?clar? en point de presse jeudi, le directeur g?n?ral par int?rim du CSSS Richelieu-Yamaska, Mario Larivi?re. Nous continuons ? assurer un suivi ?troit de la situation." Rapporte L??il r?gional dans son ?dition du 3 mars 2007.

                          On peut se poser la question ? savoir si C. Difficile n?est pas en train de s?installer ? demeure dans l?h?pital Honor?-Mercier. C?est en effet la deuxi?me ?closion de la super bact?rie dans cet ?tablissement en moins d?un an. La premi?re ?closion a pris fin le 16 janvier et en voil? une autre qui se d?clare fin f?vrier. La premi?re ?closion a-t-elle vraiment pris fin? La question se pose. "La C. difficile est une probl?matique qui fait maintenant partie du monde hospitalier. Il nous est impossible de le nier. Nous devons cependant prendre les moyens n?cessaires afin de r?duire les risques de propagation au minimum, a-t-elle soulign?. Nous n&apos;avons pas encore identifi? la souche de cette ?closion, nous devons effectuer des recherches en laboratoire afin de la rep?rer, ce qui prendra quelques semaines." A soulign? Mme Jocelyne Sauv?, directrice de la sant? publique du Centre de sant? et de services sociaux de la Mont?r?gie ? l?hebdo L??il r?gional de Beloeil.

                          Malgr? cette ?closion, il n?est pas plus risqu? de ce rendre ? l?h?pital Honor?-Mercier que dans tout autre ?tablissement hospitalier du Qu?bec o? courent d?autres virus, bact?ries, grippes, gastroent?rites et super bact?ries. Mais si vous n?avez qu?un ongle incarn?, ?vitez donc d?aller croupir ? l?h?pital.

                          Les m?mes mesures d?hygi?nes s?imposent partout car il ne faut pas ignorer qu?il y a un certain risque.

                          Il est ?tonnant durant la campagne ?lectorale provinciale de voir des politiciens se servir d??closions bact?riennes pour miner la cr?dibilit? d?un adversaire. Personne n?est responsable de l?apparition de la grippe pas plus que du C. Difficile. On ne peut que tenter au maximum de pr?venir mais pas d??radiquer. Certains politiciens en campagne devraient ?tre un peu mieux inform? sur le plan scientifique.

                          La seule chose qui peut ?tre reproch?e c?est ? la direction de l?H?pital Honor?-Mercier. Cette derni?re semble, je dis bien semble, avoir r?agi trop lentement ? la premi?re ?closion l?automne dernier. Ce cas grave est toujours sous enqu?te du coroner Catherine Rudel-Tessier pour d?terminer les causes de la catastrophe. Quelqu?un a manqu? ? ses responsabilit?s et devoirs. Qui? Nous le saurons bien assez t?t. Les travaux sont arr?t?s pour la semaine de rel?ches scolaire et vont reprendre le 12 mars 2007.

                          C. Difficile s?installe ? demeure ? Honor?-Mercier et ailleurs. C?est une super bact?rie avec qu?il faudra apprendre ? c?toyer et ? mieux ma?triser car semble ?tre l? pour rester.

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                          • #43
                            C. difficile

                            LA C. DIFFICILE PEUT CAUSER DE GRAVES SOUFFRANCES ET D?TRUIRE LA SANT?
                            Par Sheryl Ubelacker (? La Presse Canadienne)
                            5 mars 2007

                            Toronto -- La bact?rie C. difficile peut ?tre mortelle, mais peut aussi causer de graves souffrances et d?truire la sant? d'une personne autrefois bien portante.


                            Photo: Photos.com

                            Une femme de la r?gion de Toronto a t?moign? du calvaire de sa m?re apr?s avoir appris la semaine derni?re qu'une douzaine de patients avaient ?t? touch?s par cette bact?rie nosocomiale dans un h?pital de la r?gion de Toronto. Quatre d'entre eux sont morts. Une enqu?te publique est en cours au Qu?bec relativement ? une ?closion qui a caus? plusieurs morts ? l'h?pital Honor?-Mercier, ? Saint-Hyacinthe.

                            Sarah, qui a demand? de ne pas r?v?ler son nom de famille, a racont? que sa m?re de 84 ans avait ?t? admise dans un ?tablissement de Hamilton pour une infection de la vessie l'automne dernier. Elle a par la suite contract? la bact?rie, qui n'a pas ?t? d?tect?e avant de recevoir son cong?, apr?s le traitement de son infection avec des antibiotiques. Or, les antibiotiques d?truisent les "bonnes bact?ries" dans le c?lon, ce qui permet ? la Clostridium difficile de se propager.

                            En l'espace d'une semaine, sa m?re, autrefois pleine de vie, est devenue "incroyablement malade" et a d? ?tre r?admise: elle ne mangeait plus, dormait beaucoup, souffrait beaucoup du bas de l'abdomen et ?tait affect?e par une tr?s vilaine diarrh?e.

                            Sarah a relat? que sa m?re ne demandait qu'? mourir, ? tel point que les m?decins l'ont admise dans une aile psychiatrique, o? son ?tat a continu? de se d?t?riorer. Selon sa fille, elle avait perdu 25 livres et ?tait devenue un squelette qui avait la p?leur de la mort. Apr?s trois mois de soins, elle s'est r?tablie, mais elle n'est plus autonome et ne peut plus vivre dans sa copropri?t?. Elle est d?sormais dans un centre d'h?bergement.

                            Un mari a aussi d?taill? le cas de sa conjointe, Myriam, dont le nom v?ritable ne peut ?tre r?v?l?. Elle ?tait soign?e aux antibiotiques pour une pneumonie contract?e pendant son traitement de chimioth?rapie pour un cancer du sein.

                            De retour ? domicile, son ?tat s'est d?grad? en raison d'une diarrh?e s?v?re. Elle a ?t? r?admise dans une unit? d'isolement et a d? ?tre branch?e ? l'alimentation ? l'oxyg?ne, car son abdomen se remplissait de liquide et elle ne pouvait plus respirer. Apr?s avoir ?t? envoy?e en oncologie, elle est revenue en isolement, quand les autorit?s ont r?alis? le danger pour les autres patients.

                            Elle est demeur?e trois semaines et demie ? l'h?pital et a perdu 30 livres. Elle a mis des semaines ? s'en remettre. Selon elle, les services d'entretien des h?pitaux sont insuffisants et elle pr?f?rerait rester hors des ?tablissements, en d?pit du professionnalisme du personnel soignant.

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                              ?closion de C. difficile - L'h?pital de Saint-Hyacinthe bl?m?

                              ?closion de C. difficile - L'h?pital de Saint-Hyacinthe bl?m?
                              http://www.radio-canada.ca/nouvelles...sier-DSP.shtml

                              La responsabilit? des ?closions de bact?rie C. difficile revient d'abord et avant tout aux institutions, soutient la directrice de la Sant? publique de la Mont?r?gie, la Dre Jocelyne Sauv?.

                              Cette derni?re t?moignait mardi dans le cadre de l'enqu?te de la coroner Catherine Rudel-Tessier, qui doit faire la lumi?re sur la mort de 16 patients infect?s par la bact?rie C. difficile entre mai et novembre 2006 ? l'h?pital Honor?-Mercier de Saint-Hyacinthe.

                              Chaque ?tablissement a la responsabilit?, lorsqu'il y a une ?closion de la bact?rie C. difficile, de prendre des mesures sans d?lai et de signaler la situation ? la direction de la sant? publique, a d?clar? la Dre Sauv?.

                              Selon elle, le signalement d'une ?closion ne transf?re pas la responsabilit? vers la DSP. L'?tablissement de sant? est logiquement beaucoup plus en mesure de savoir ce qui se passe dans ses ?tages qu'une direction administrative r?gionale.

                              La DSP tenue dans l'ignorance
                              La Dre Sauv? soutient n'avoir ?t? mise au courant de l'?closion ? l'h?pital Honor?-Mercier que le 26 octobre 2006. La situation n'y semblait toujours pas hors de contr?le ? ce moment, selon les informations qu'elle obtenait de l'?tablissement.

                              Avouant que les quatre d?c?s constituaient une situation pr?occupante, elle a soutenu qu'elle croyait alors ? l'?closion d'une souche particuli?rement virulente de la bact?rie.

                              La situation lui est par contre apparue sous son v?ritable jour le 20 octobre 2006. Son ?quipe r?gionale a pris connaissance d'un rapport alarmant de l'?quipe de pr?vention des infections de l'h?pital remis ? l'administration de l'?tablissement, le 18 octobre. Elle a appris l'existence de ce rapport le 22 octobre en lisant un courriel.
                              C'est ? ce moment que la Dre Sauv? s'est dite ? tr?s inqui?te ? et qu'elle a per?u ? potentiellement une menace ? la sant? ? publique ? Honor?-Mercier. La Direction r?gionale de la sant? publique de la Mont?r?gie a pris les choses en main ? partir de ce moment.

                              Une responsabilit? partag?e?

                              L'avocat des familles des victimes, Me Jean-Pierre M?nard, r?fute cet avis.

                              Il soutient que la responsabilit? devrait ?tre partag?e entre la direction de l'?tablissement et la DSP. Me M?nard soutient que la ? catastrophe ? survenue ? l'h?pital Honor?-Mercier est le r?sultat d'un manque sur le plan de la pr?vention.

                              Pr?vus en fin de journ?e mardi, les t?moignages des familles des victimes ont ?t? report?s ? mercredi.

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                              • #45
                                Re: C. difficile

                                Le jeudi 28 ao?t 2008


                                C. difficile: les familles attaquent l'h?pital Honor?-Mercier

                                Ariane Lacoursi?re

                                La Presse

                                En 2006, une ?pid?mie de C. difficile a touch? 70 personnes et fait 16 morts ? l'h?pital Honor?-Mercier de Saint-Hyacinthe. Aujourd'hui, les familles des victimes partent en guerre contre l'?tablissement. Une demande de recours collectif a ?t? d?pos?e, hier, au palais de justice de Saint-Hyacinthe. Entre 70 et 100 personnes pourraient ?tre vis?es par ce recours.

                                <TABLE id=blocOutilsArticle cellSpacing=0 cellPadding=0 align=right border=0><TBODY><TR><TD><SCRIPT language=JavaScript> <!-- begin ad tag tile=16;sz=160x40; article--> document.write('<s'+'cr'+'ip'+'t langu'+'age="JavaScript" type="text/javascript" src="http://ad.doubleclick.net/adj/ocn4241.cyberpresse/CPACTUALITES;kw=;tile=16;sz=160x40;ord=' + pageid + '?"><\/script>'); <!-- End ad tag --> </SCRIPT><SCRIPT language=JavaScript src="http://ad.doubleclick.net/adj/ocn4241.cyberpresse/CPACTUALITES;kw=;tile=16;sz=160x40;ord=97160867656 8.6145?" type=text/javascript></SCRIPT> <NOSCRIPT></NOSCRIPT></TD></TR></TBODY></TABLE>
                                C'est ? la demande de la requ?rante Sylvie Dorion que l'avocat Jean-Pierre M?nard a entam? la proc?dure. Mme Dorion a perdu sa soeur en 2006 des suites du C. difficile.

                                Si Mme Dorion et d'autres familles ont d?cid? aujourd'hui de s'attaquer l'h?pital Honor?-Mercier, c'est que plusieurs estiment que les coupables ont ?t? ?pargn?s, explique Me M?nard. ?L'h?pital n'a offert aucune excuse et l'ancien directeur g?n?ral de l'?tablissement a m?me ?t? promu ? l'Agence de la sant? et des services sociaux de Laval?, affirme Me M?nard.

                                Les d?tails du recours collectif seront pr?sent?s aujourd'hui ? l'occasion d'une conf?rence de presse.


                                ?Manquements?


                                Chose certaine, Me M?nard compte utiliser l'enqu?te de la coroner Catherine Rudel-Tessier, publi?e l'an dernier, pour prouver que l'h?pital Honor?-Mercier a mal agi. Dans son rapport, Mme Rudel-Tessier ?crivait que cet ?tablissement avait n?glig? son entretien m?nager et est totalement ? bl?mer pour la crise du C. difficile. ?Il y a eu des manquements ? tous les niveaux et le coroner a s?rieusement bl?m? la direction de l'h?pital?, affirme Me M?nard.

                                Le recours collectif contre l'h?pital Honor?-Mercier pourraient inciter d'autres proches de victimes du C. difficile ? entamer une telle proc?dure. Apr?s tout, entre 600 et 700 personnes sont mortes au Qu?bec apr?s avoir contract? le C. difficile dans des h?pitaux entre 2005 et 2006.

                                Mais la loi emp?che ces familles de se regrouper et d'intenter un seul et unique recours. ?Une d?cision rendue en 2006 oblige ? ce qu'il y ait une demande pour chaque h?pital?, explique Me M?nard.

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