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?l?ments de contexte concernant la situation en Somalie

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  • ?l?ments de contexte concernant la situation en Somalie

    Publi? le 19/11/2008 ? 14:35 La piraterie d?passe la Somalie, assure son Premier ministre


    Le Premier ministre somalien Nour Hassan Hussein estime que la piraterie au large des c?tes de son pays participe d'un ph?nom?ne international qui va au-del? de la r?gion de la Corne de l'Afrique.



    Selon le Premier ministre somalien Nour Hassan Hussein, la piraterie au large des c?tes de son pays participe d'un ph?nom?ne international qui va au-del? de la r?gion de la Corne de l'Afrique. "Nous sommes d?sol?s, mais ce probl?me de piraterie n'est pas cantonn? seulement ? la Somalie; il affecte l'ensemble de la r?gion, il affecte le monde", a-t-il d?clar? dans une interview ? Reuters. (Reuters/Antony Njuguna)



    Le d?tournement sans pr?c?dent samedi au large du Kenya d'un p?trolier g?ant transportant deux millions de barils de brut saoudien destin? aux Etats-Unis a sem? la consternation dans la communaut? internationale et laisse entrevoir une nouvelle flamb?e des cours des mati?res premi?res.
    Ce d?tournement et trois autres depuis sont intervenus en d?pit du d?ploiement dans cette r?gion d'une armada de l'Otan, de b?timents de guerre de pays europ?ens et de navires de la marine russe.

    Dans une interview ? l'agence Reuters, Hussein estime que les patrouilles maritimes internationales ne suffiront pas ? ?radiquer le ph?nom?ne de la piraterie et assure que celui-ci n'est pas cantonn? ? la Somalie.

    "Nous sommes d?sol?s, mais ce probl?me de piraterie n'est pas cantonn? seulement ? la Somalie; il affecte l'ensemble de la r?gion, il affecte le monde."

    Selon les experts, les pirates ont montr? qu'ils pouvaient frapper sur une large ?tendue maritime puisque la zone de leurs agissements d?passe plus d'un million de km2.

    "Les op?rations navales ? elles seules ne sont pas suffisantes, car les pirates disposent d'un r?seau, ce qui veut dire un r?seau op?rationnel ce qui veut dire en mer, ? terre et aussi parfois ? l'?tranger", affirme-t-il.

    "UN PROBL?ME COMMUN"

    "Je crois que tout cela est li? ? d'autres organisations. Je ne pense pas qu'il s'agisse purement et simplement de piraterie somalienne.
    "Il y a des groupes criminels, assur?ment, du moins c'est une hypoth?se. Mais, bien s?r, on y verra plus clair dans les mois qui viennent."

    Un certain nombre d'experts de la r?gion n'excluent pas que les pirates somaliens b?n?ficient de l'aide de hors-la-loi y?m?nites et nig?rians et que les butins - notamment les ran?ons obtenues des armateurs des bateaux d?tourn?s - finissent entre les mains de groupes "terroristes" internationaux.

    C'est pourquoi ils estiment que, en plus de d?p?cher des navires de guerre dans la r?gion, la communaut? internationale devrait se pencher sur les r?seaux financiers susceptibles de recycler les dizaines de millions de dollars de ran?on per?us rien que cette ann?e.

    Hussein fait valoir que son fragile gouvernement f?d?ral de transition somalien n'a pas les moyens de s'attaquer au ph?nom?ne et il r?clame ? la communaut? internationale qui le soutient une aide pour mettre sur pied une garde-c?tes digne de ce nom.

    De source diplomatique, on estime que seule une solution politique en Somalie, o? le gouvernement lutte contre une insurrection islamiste croissante, pourra ? terme permettre d'?radiquer le probl?me.

    Hussein reconna?t le r?le dans cette situation de l'h?ritage de plus d'une d?cennie de guerre civile en Somalie, marqu?e par l'absence d'?tat de droit, l'omnipotence des chefs de guerre et la pauvret?.

    "Nous sommes tr?s satisfaits de constater que le probl?me de la piraterie est devenu un probl?me commun et que des efforts communs sont d?ploy?s pour y faire face. Nous jouerons bien s?r notre r?le, mais nos moyens sont tr?s limit?s", ajoute-t-il.

    Version fran?aise Marc Delteil

  • #2
    L'ONU appelle ? l'?lection pr?sidentielle ? temps en Somalie

    <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=570 border=0><TBODY><TR><TD class=arial13 align=middle colSpan=3 height=50>L'ONU appelle ? l'?lection pr?sidentielle ? temps en Somalie </TD></TR><TR><TD align=middle bgColor=#000000 colSpan=3></TD></TR><TR><TD align=middle colSpan=3></TD></TR><TR bgColor=#c0d4fe><TD class=arial12 align=middle width=188 height=20> </TD><TD class=arial12 align=middle width=224 height=20>2009-01-14 13:47:15 </TD><TD class=arial12 align=middle width=188 height=20> </TD></TR></TBODY></TABLE>

    <TABLE cellSpacing=3 cellPadding=0 width=570 bgColor=#f7f7f7 border=0><TBODY><TR><TD><TABLE width=540 align=center><TBODY><TR><TD>


    NEW YORK (Nations Unies), 14 janvier (Xinhua) -- L'envoy? sp?cial des Nations unies pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah, a appel? mardi les factions locales ? acc?l?rer l'?lection d'un nouveau pr?sident, car les troupes ?thiopiennes se retirent de Mogadiscio deux ans apr?s leur entr?e dans le pays pour soutenir le gouvernement somalien contre l'insurrection accrue.

    "Aujourd'hui, la Somalie a besoin et m?rite un gouvernement efficace et repr?sentatif avec une participation vari?e, provenant en particulier de la nouvelle g?n?ration de jeunes hommes et femmes qui ne sont pas salis par la violence pass?e, la corruption et les loyaut?s claniques excessives", a d?clar? l'envoy? sp?cial, sur fonds de crainte que le pays, qui lutte contre l'insurrection islamique et une piraterie rampante, pourrait sombrer dans le chaos apr?s le retrait des troupes ?thiopiennes.

    "Ce gouvernement d'unit? devra ?tre capable de g?rer la situation s?curitaire apr?s le retrait des troupes ?thiopiennes, en ?troite coop?ration avec les forces de s?curit? conjointes somaliennes et les troupes de l'AMISOM (Mission de maintien de la paix de l'Union africaine en Somalie) et nous esp?rons, qu'il repr?sentera une future Somalie pacifique", a-t-il indiqu?.

    L'actuel Parlement de transition a d?j? approuv? le principe de l'?largissement de la l?gislature et de la cr?ation d'un gouvernement de coalition, la r?union de l'assembl?e divis?e, pour que le Parlement ?largi puisse ?lire un nouveau pr?sident vers la fin du mois.

    M. Ould-Abdallah a aussi appel? ? une fin du conflit et au d?ploiement d'une force de stabilisation internationale dans la Somalie troubl?e.

    La Somalie, qui n'a pas de gouvernement national en fonction depuis 1991, est en proie ? des conflits et des souffrances humanitaires depuis des d?cennies. L'instabilit? continue, coupl?e ? la s?cheresse, aux prix ?lev?s des vivres et ? l'effondrement de la monnaie locale ont d?grad? la mauvaise situation humanitaire ces derniers mois.

    Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) estime qu'au total 3,25 millions de personnes, soit 43% de la population totale de la Somalie, ont besoin d'assistance humanitaire, et qu'environ 25% de la population souffre de malnutrition aigu?.
    Le PAM (programme alimentaire mondial) nourrit actuellement plus de 1,5 million de Somaliens chaque mois et a envoy? quelque 260.000 tonnes de vivres ? ce pays pauvre en 2008.
    </TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR></TBODY></TABLE>

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    • #3
      Somalie: l'ex-Premier ministre Ali Mohamed Gedi candidat ? la pr?sidence

      Somalie: l'ex-Premier ministre Ali Mohamed Gedi candidat ? la pr?sidence

      Il y a 2 heures

      <TABLE id=ss cellSpacing=0><TBODY><TR><TD colSpan=3>
      </TD></TR><TR><TD id=ss-caption colSpan=3>Le pr?sident somalien Abdullahi Ahmed Yusuf (gauche) et le Premier ministre de l'?poque Ali Mohammed Gedi ? Mogadiscio le 1er d?cembre 2004
      </TD></TR></TBODY></TABLE>

      NAIROBI (AFP) ? L'ancien Premier ministre somalien Ali Mohamed Gedi a annonc? dimanche qu'il ?tait candidat au poste de pr?sident du pays, laiss? vacant par la d?mission le mois dernier d'Abdullahi Yusuf Ahmed.

      "La Somalie fait face ? une dure r?alit? ? laquelle seul un dirigeant d?termin? peut faire face", a d?clar? M. Gedi ? des centaines de partisans dans un h?tel de Nairobi, la capitale du Kenya.

      "Je ne suis pas le seul ? pouvoir g?rer les crises actuelles mais je suis celui qui a le plus d'exp?rience pour le faire. Je veux promouvoir la paix et l'harmonie", a-t-il ajout?.

      Le parlement somalien doit ?lire d'ici la fin du mois un pr?sident en remplacement de M. Yusuf, qui a d?missionn? fin d?cembre au terme d'un bras de fer institutionnel de plusieurs mois avec son Premier ministre Nur Hassan Hussein.

      Jeudi, ce dernier avait annonc? qu'il serait candidat ? la pr?sidence du pays, en guerre civile depuis 1991.

      M. Gedi, 56 ans, a ?t? le premier chef du gouvernement f?d?ral de transition (TFG), mis en place fin 2004. Il a occup? ce poste de novembre 2004 ? octobre 2007. Il a d?missionn? apr?s une intense lutte de pouvoir avec M. Yusuf, qui a lui m?me quitt? le pouvoir fin d?cembre apr?s avoir, de son propre aveu, ?chou? ? ramener la paix.

      La Somalie est d?vast?e par plus de 18 ans de guerre civile. Elle est aussi plong?e dans une situation humanitaire catastrophique, avec pr?s de la moiti? de la population qui a besoin d'aide. Les c?tes de ce pays de la Corne de l'Afrique sont devenues une des principales zones de piraterie mondiale.

      Parmi les autres candidats d?clar?s au poste de pr?sident figurent aussi l'ancien maire de Mogadiscio, Adde Hassan Gabow, et Sheikh Sharif Sheikh Ahmed, chef des Tribunaux islamiques et de la branche mod?r?e du mouvement d'opposition de l'Alliance pour une nouvelle lib?ration de la Somalie (ARS).

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      • #4
        Chef islamiste ?lu pr?sident somalien

        <TABLE class=lan18 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="97%" align=center border=0><TBODY><TR><TD class=hei22 vAlign=bottom height=25>Chef islamiste ?lu pr?sident somalien
        </TD></TR><TR><TD bgColor=#ffffff height=4></TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width="50%" align=center border=0><TBODY><TR><TD height=8></TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width="97%" align=center border=0><TBODY><TR><TD width="48%">11:08de www.chinaview.cn 2009-01-31 : 25 </TD><TD class=hui12 align=middle width="26%"> </TD><TD class=hui12 align=middle width="12%"> Copie</TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width="80%" border=0><TBODY><TR><TD height=20></TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE class=lt14 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="97%" align=center border=0><TBODY><TR><TD class=lt14>


        <TABLE style="WIDTH: 176px; HEIGHT: 11px" height=11 cellSpacing=0 cellPadding=0 width=176 align=center border=0><TBODY><TR><TD style="FONT-SIZE: 12px"></TD></TR><TR><TD style="FONT-SIZE: 12px">
        Cheik Sharif cheik Ahmed, le chef islamiste mod?r? de la coalition d'opposition l'alliance pour la Re-lib?ration de la Somalie, vue ici en 2006, gagne la pr?sidence somalienne dans une voix parlementaire ? Djibouti samedi t?t. (Photo de Xinhua/AFP)
        Photo Gallery>>>
        </TD></TR></TBODY></TABLE>
        MOGADISCIO, 31 janvier (Xinhua) -- Cheik islamiste mod?r? Sharif cheik Ahmed du Chef a gagn? la pr?sidence somalienne dans une voix parlementaire ? Djibouti samedi t?t, pr?parant le terrain pour un gouvernement d'unit? nationale pour le klaxon d?chir? par la guerre de la nation de l'Afrique, des rapports atteignant ici dit.
        Cheik Sharif, qui dirige l'alliance pour la Re-lib?ration de la Somalie, a recueilli la majorit? de voix juste avant le 4:00 heure du matin (GMT 0100) pendant une voix d'?coulement en session du parlement.
        <TABLE style="WIDTH: 176px; HEIGHT: 11px" height=11 cellSpacing=0 cellPadding=0 width=176 align=center border=0><TBODY><TR><TD style="FONT-SIZE: 12px"></TD></TR><TR><TD style="FONT-SIZE: 12px">
        Cheik Sharif cheik Ahmed, le chef islamiste mod?r? de la coalition d'opposition l'alliance pour la Re-lib?ration de la Somalie, vue ici en 2006, gagne la pr?sidence somalienne dans une voix parlementaire ? Djibouti samedi t?t. (Photo de Xinhua/AFP)
        Photo Gallery>>>
        </TD></TR></TBODY></TABLE> Il a d?fait le barre de Maslah Mohamed Siad, un g?n?ral et le fils d'un ancien pr?sident, dans le deuxi?me tour de vote. Dans son mid-40s, cheik Sharif ?tait ?galement Pr?sident de l'union islamique de cours qui a conduit des seigneurs de la guerre par Mogadiscio et a couru le capital pendant six mois en 2006.

        </TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width="50%" align=center border=0><TBODY><TR><TD height=15></TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE class=hei12 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="90%" align=center border=0><TBODY><TR><TD align=right height=25>R?dacteur : Wang Guanqun </TD></TR></TBODY></TABLE>

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        • #5
          Les promesses du nouveau pr?sident somalien

          Les promesses du nouveau pr?sident

          par RFI

          Article publi? le 01/02/2009 Derni?re mise ? jour le 01/02/2009 ? 06:14 TU
          Quelques heures seulement apr?s son ?lection, le nouveau pr?sident somalien Cheikh Charif Cheikh Ahmed a pr?t? serment sur le Coran, samedi, ? Djibouti. L'islamiste qualifi? de mod?r?, ?lu dans la nuit de vendredi ? samedi par le Parlement, succ?de au pr?sident Yussuf, qui avait ?t? pouss? ? d?missionner fin d?cembre. Ag? de 45 ans, et ancien pr?sident de l'Union des tribunaux islamiques, le nouvel ?lu a promis de mettre fin au conflit en Somalie : ? Nous dirigerons le peuple avec honn?tet?, avec justice et nous lui rendrons ses droits ?.




          A Mogadiscio, des milliers d'habitants ont d?fil? en chantant et en brandissant le portrait du nouveau pr?sident.
          (Photo : Reuters)


          A peine ?lu Cheikh Charif Cheikh Ahmed a d?j? pris de nombreux engagements. Restaurer la paix dans un pays ravag? par la guerre depuis 18 ans est sa priorit?. Mais il a aussi promis de s'attaquer au probl?me de la piraterie et ? la confusion qui r?gne autour de l'islam ? pour r?pondre aux inqui?tudes de la communaut? internationale ?.

          A Mogadiscio, et dans plusieurs villes du pays, son ?lection a ?t? salu?e par des manifestations de joie. Des milliers d'habitants ont d?fil? en chantant et en brandissant son portrait ? la main.

          Convaincre

          La mission du nouveau pr?sident s'annonce cependant difficile. Pour rassembler les Somaliens, Cheikh Charif Cheikh Ahmed devra en priorit? convaincre les milices chebabs de d?poser les armes.

          Les relations qu'il entretenait il y a encore quelques mois avec les islamistes radicaux lui permettront peut-?tre de nouer le dialogue plus facilement avec ces mouvements de jeunes, partisans d'une ligne dure.
          Mais rien n'est gagn?, loin de l?. Le porte-parole des insurg?s a refus? de reconna?tre le nouveau pr?sident, ? ?lu au cours d'un scrutin qui n'a pas de valeur ?, selon lui. La veille du vote, les Chebabs avaient d?j? promis de relancer leur gu?rilla contre le nouveau pr?sident, quel que soit son nouveau visage.

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          • #6
            Derri?re les pirates, le naufrage de la Somalie

            International - Article paru
            le 16 avril 2009



            Monde
            Derri?re les pirates, le naufrage de la Somalie

            Golfe d?Aden . L?indiff?rence des grandes puissances au sort des populations locales est l?une des origines cl?s du ph?nom?ne.
            Les pirates somaliens ont plus que jamais le vent en poupe. La vague des captures de navires ne cesse de grossir depuis le d?but de l?ann?e malgr? le d?ploiement d?une vingtaine de b?timents de guerre dont huit op?rant dans le cadre de la mission europ?enne Atalante. Les nouveaux flibustiers ne semblent pas avoir ?t? ?chaud?s par les r?centes interventions des forces fran?aises et am?ricaines pour lib?rer l??quipage du Tanit et le capitaine am?ricain Richard Phillips. Hier, quatre bateaux ont ?t? attaqu?s en l?espace de 24 heures dans le golfe d?Aden et l?oc?an Indien. Au total, ce sont pas moins de 18 navires et pr?s de 300 otages qui sont aux mains de diff?rents groupes somaliens !

            ? Il n?y a pas de solution purement militaire. Aussi longtemps qu?existe cet immense nombre de gens pauvres et que les risques demeurent faibles, il est ? mon avis impossible de ma?triser la piraterie ? moins de faire quelque chose ? terre qui change l??quation pour ces enfants ?, a reconnu le secr?taire am?ricain ? la D?fense, Robert Gates, pr?cisant que les ravisseurs du capitaine Philipps avaient entre dix-sept et dix-neuf ans.
            Dans un entretien accord? aux ?chos en d?cembre, l?amiral Pierre-Fran?ois Forissier, chef d??tat-major de la marine, ne disait pas autre chose. ? Les marines ne peuvent traiter que des sympt?mes de cette maladie, dont les causes sont largement plus vastes et se situent ?galement ? terre ?, expliquait-il.

            Tous les experts sont du m?me avis. La piraterie ne cessera que lorsque la Somalie redeviendra un ?tat normal. Depuis 1991, date de la chute de Syad Barr?, ce pays est en d?liquescence. Deux r?gions, le Puntland et le Somaliland, se sont constitu?es en mini-?tats.

            Apr?s le fiasco de l?intervention militaire am?ricaine ? Mogadiscio en 1993, les grandes puissances ont laiss? s?installer le chaos. Les populations locales tentent de survivre au milieu des luttes de clans, des guerres de gangs et des milices islamistes. Un terreau prosp?re pour les nouveaux pirates, d?anciens p?cheurs reconvertis dans ce qui est devenu le plus lucratif business du pays. La piraterie aurait rapport? au moins 30 millions de dollars en 2008.

            Selon le premier ministre somalien Omar Abdirachid Ali Charmarke les vraies causes de la piraterie sont la vacance de l??tat, le manque de services publics de base et le fort ch?mage des jeunes. Il a aussi ajout? que la communaut? internationale devrait lutter contre la p?che ill?gale et l?abandon de d?chets toxiques dans les eaux somaliennes, deux raisons mises en avant par certains pirates pour justifier leurs actions.

            L?envoy? sp?cial de l?Onu pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah, a de nouvel appel? hier la communaut? internationale ? s?occuper du sort de la Somalie : ? Le lien entre s?curit?, politique et d?veloppement doit ? pr?sent ?tre effectivement pris en compte ?. Sans bou?e de sauvetage, la Somalie ne remontera pas ? la surface. Et les pirates continueront de surfer sur la vague de leurs succ?s.

            Damien Roustel

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            • #7
              ?l?ments de contexte soncernant la situation en Somalie

              Somalie: le Parlement vote l'instauration de la charia

              18.04.09 | 10h54


              e Parlement de transition somalien a approuv? samedi ? l'unanimit? ? Mogadiscio le projet de loi du gouvernement instaurant la loi coranique (charia) dans le pays, en guerre civile depuis 1991, a d?clar? ? l'AFP le vice-pr?sident du Parlement, Osman Elmi Boqore.

              International, Economie, Environnement … La référence, partout, tout le temps.

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              • #8
                La piraterie, &quot;partie ?merg?e du probl?me&quot; somalien, selon un ministre italien

                La piraterie, "partie ?merg?e du probl?me" somalien, selon un ministre italien

                Il y a 12 heures

                <TABLE style="WIDTH: 1px"><TBODY><TR><TD colSpan=2>
                </TD></TR><TR><TD colSpan=2>Le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini (d) et le Premier ministre somalien Omar Abdirashid Sharmarke, le 9 juin 2009 ? Rome

                </TD></TR></TBODY></TABLE>

                ROME (AFP) ? La piraterie est "une partie du probl?me" somalien et ne constitue que "la partie ?merg?e de l'iceberg", a estim? mardi le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini en ouvrant ? Rome une r?union de deux jours du Groupe international de contact pour la Somalie.

                "La piraterie n'est qu'une partie du probl?me, que la partie ?merg?e de l'iceberg. Les causes profondes de la piraterie viennent des crises politique, ?conomique et sociale sur ce territoire, pas en mer", a d?clar? M. Frattini lors d'une conf?rence de presse.

                Il a estim? que la piraterie "est un crime qui a atteint une ampleur intol?rable" et qu'elle constituait tout comme "le terrorisme, l'immigration clandestine et le trafic d'?tres humains, une menace pour la s?curit? des personnes, et en fin de compte pour la s?curit? europ?enne".

                Selon Ecoterra International, une ONG environnementale surveillant les activit?s maritimes ill?gales dans la r?gion, les pirates somaliens ont effectu? 126 attaques en 2009, dont 44 captures de navires.

                Pr?s de 40 pays et organisations internationales participent ? la quinzi?me r?union de ce Groupe de contact sur la Somalie, form? en 2005.

                Le Premier ministre somalien Omar Abdirashid Sharmarke participe ? la r?union. Le pr?sident Cheikh Sharif Ahmed, qui devait faire le d?placement ? Rome, a finalement renonc? en raison de la situation ? Mogadiscio, en proie ? d'intenses combats entre milices pro-gouvernementales et insurg?s islamistes.

                Le ministre italien des Affaires ?trang?res a estim? que les efforts devaient se concentrer sur "la crise humanitaire, la reconstruction de l'?conomie somalienne" et qu'il fallait "proposer du travail aux jeunes et offrir ? tous la perspective que la situation peut changer", a-t-il ajout?.

                "L'Italie est aux c?t?s de la Somalie", son ancienne colonie de 1889 ? 1941, "non seulement pour des raisons historiques mais aussi parce qu'il est inacceptable d'abandonner des millions de personnes ? leur sort fait de guerre et de violence", a tenu ? souligner Franco Frattini.

                Il a jug? qu'il y avait "des ?l?ments pour un optimisme prudent, malgr? les r?centes explosions de violence que certains observateurs consid?rent comme une r?action de ceux qui s'opposent au processus de paix".
                "Des milliards de dollars ont ?t? d?pens?s ces dix derni?res ann?es et la crise est toujours l?", a pour sa part d?plor? le pr?sident du Groupe de contact, le Mauritanien Ahmedou Ould-Abdallah.

                La pr?sence de la force internationale charg?e de traquer les pirates en mer constitue "un signe de solidarit? et fait que la piraterie devient plus difficile et plus co?teuse", a-t-il soulign?, ajoutant qu'en "aidant la Somalie ? combattre la piraterie on aidait aussi le Kenya, l'Ouganda, le Burundi, le Rwanda et le sud du Soudan".

                Concernant le remorqueur italien Buccaneer et ses 16 membres d'?quipage, aux mains de pirates somaliens depuis le 11 avril, Franco Frattini a r?affirm? son opposition ? toute "op?ration arm?e pour le lib?rer", jugeant que "la n?gociation politique" avec les autorit?s locales ?tait la seule voie possible.

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                • #9
                  Somalie: le ministre de la S?curit? nationale tu? dans une explosion

                  Somalie: le ministre de la S?curit? nationale tu? dans une explosion

                  il y a 1 heure

                  MOGADISCIO, Somalie ? Le ministre somalien de la S?curit? nationale a ?t? tu? dans une explosion dans une ville de l'ouest du pays, a annonc? le ministre somalien de l'Information. Le pr?sident somalien a accus? Al-Qa?da.

                  Farhan Ali Mohammud s'est refus? ? donner des pr?cisions sur la mort de son coll?gue de la S?curit? nationale Omar Hashi Aden.

                  Mohamed Nur, qui a assist? ? l'explosion ? Belet Weyne, a d?clar? avoir vu une petite voiture s'approcher de l'entr?e de l'h?tel Medina avant de foncer vers le cort?ge de v?hicules qui quittait l'h?tel et d'exploser.
                  Belet Weyne est la capitale de la r?gion centrale d'Hiran. Elle est situ?e pr?s de la fronti?re avec l'Ethiopie.

                  Le mois dernier, une flamb?e de violence dans Mogadiscio avait fait au moins 200 morts alors que les insurg?s islamistes continuent d'affronter les forces gouvernementales et leurs alli?s.

                  La Somalie n'a aucun gouvernement central effectif depuis pr?s de vingt ans. Cette absence de pouvoir a laiss? la voie libre au piratage et fait du large des c?tes somaliennes l'un des endroits les plus dangereux de la plan?te.

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                  • #10
                    Contexte: Enfants-soldats en Somalie - Le recrutement devient syst?matique

                    <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=440 border=0><TBODY><TR><TD colSpan=2 height=30><TABLE class=fondBlanc cellSpacing=0 cellPadding=0 width=980 align=center border=0><TBODY><TR vAlign=top><TD></TD><TD colSpan=3><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=770 border=0><TBODY><TR><TD></TD><TD class=legende></TD></TR><TR><TD colSpan=2 height=10></TD></TR><TR><TD class=surTitreUne colSpan=2>Enfants-soldats en Somalie</TD></TR><TR><TD class=titreUne colSpan=2>Le recrutement devient syst?matique</TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR></TBODY></TABLE> Publi? le : 18.06.2009 | 11h55

                    <TABLE class=fondBlanc cellSpacing=0 cellPadding=0 width=980 align=center border=0><TBODY><TR vAlign=top><TD></TD><TD><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=440 border=0><TBODY><TR><TD class=chapeauActualite colSpan=2>Du haut de ses 13 ans et fort de ses deux ann?es d'entra?nement, Hussein Abdi, Kalachnikov en bandouli?re, se bat ? Mogadiscio comme de nombreux autres enfants-soldats, un ph?nom?ne d?j? ancien mais qui prend une ampleur in?gal?e.</TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR></TBODY></TABLE>
                    <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 align=center border=0><TBODY><TR><TD></TD></TR><TR><TD class=legende>Des adolescents combattant au sein des forces islamistes ? Mogadiscio. (Photo : AFP)</TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR><TR vAlign=top><TD><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=40 border=0><TBODY><TR vAlign=top><TD></TD></TR><TR><TD></TD></TR><TR><TD></TD></TR><TR><TD></TD></TR><TR><TD vAlign=top></TD></TR><TR><TD></TD></TR><TR><TD></TD></TR></TBODY></TABLE></TD><TD class=corpsActualite id=Corps>"Je crois que les braves meurent jeunes, donc il n'y a pas d'?ge pour ?tre un soldat de Dieu", explique l'adolescent, abrit? derri?re des sacs de sable du quartier de Tarbunka, une position qu'il d?fend pour l'une des principales milices islamistes radicales de Somalie, Hezb Al-Islamiya.

                    "C'est ce que mes amis et moi avons choisi, sans y ?tre forc?s, et je suis heureux d'?tre l?", affirme Hussein. Une position si clairement ?nonc?e qu'elle sonne faux.

                    L'enr?lement d'enfants-soldats n'est certes pas le nouvel avatar d'une guerre civile d?but?e en 1991 mais le ph?nom?ne inqui?te de par son ampleur et surtout son caract?re d?sormais syst?matique.

                    Toutes les parties au conflit actuel, des milices islamistes radicales au gouvernement soutenu par la communaut? internationale, sont impliqu?es dans le recrutement de mineurs, selon le Fonds des nations unies pour l'enfance (Unicef).

                    Le recours ? des enfants-soldats "n'est malheureusement pas nouveau en Somalie mais ce qui semble nouveau, c'est l'?tendue et le caract?re syst?matique de ces recrutements par toutes les parties", explique Isabella Castrogiovanni, sp?cialis?e ? l'Unicef sur la Somalie.

                    "Il y a semble-t-il une campagne d?lib?r?e et active de recrutement d'enfants", ajoute-t-elle.

                    Mohamed Abdulkadir Mursal, 15 ans, se bat pour l'arm?e gouvernementale. Son fr?re a d?j? p?ri au combat. "Je sais que ce n'est pas un travail ordinaire pour un enfant (...) mais je me moque du qu'en-dira-t-on car j'ai choisi de vivre et de mourir de cette fa?on", tranche le jeune homme.

                    Sur les 250.000 enfants-soldats recens?s par l'Unicef dans le monde, plusieurs milliers -on ignore le nombre exact- se battent en Somalie, pouss?s entre autres par la pauvret? et un tr?s faible taux de scolarisation.

                    Selon une ?tude ? para?tre de l'Unicef, l'enr?lement se d?roule dans les ?coles et les camps de d?plac?s o? s'entassent 1,3 million de civils ayant fui les combats.

                    De nombreux observateurs et groupes de d?fense des droits de l'Homme soup?onnent ?galement les milices de "faire leur march?" dans les camps de r?fugi?s des pays voisins, notamment au Kenya.

                    L'enr?lement n'est pas syst?matiquement forc?. Parfois "volontaire", il est le fruit d'un travail psychologique, offrant par exemple ? une recrue la possibilit? de venger la mort d'un parent.

                    Ainsi, Hussein Abdi a quitt? l'?cole en 2007 peu apr?s l'intervention de l'arm?e ?thiopienne en Somalie. Son oncle sera tu? dans des combats avec les troupes d'Addis Abeba: "c'est pourquoi j'ai pris les armes, pour combattre les soldats colonisateurs et leurs laquais" somaliens.

                    La t?te enserr?e d'un turban rouge, il avoue ne jamais s'?tre consid?r? comme un enfant-soldat: "Mais pourquoi pas? Apr?s tout, ce n'est pas un crime ? ma connaissance".

                    Le recrutement d'enfants constitue une violation de la convention internationale des droits de l'Enfant et le recours ? des mineurs de moins de 15 ans un crime de guerre.

                    Selon des enfants-soldats et des ONG, les futures recrues sont ?galement app?t?es avec la promesse de nourriture ou encore de r?compenses telles qu'une bicyclette.

                    "Nous ne recevons pas de salaires r?guliers du gouvernement mais lorsqu'il y a des combats, l'argent coule ? flot", d?crit Ali Yare, 13 ans : "du coup, on provoque parfois des combats en tirant sur nos adversaires".</TD></TR><TR><TD> </TD><TD> </TD></TR><TR><TD> </TD><TD class=auteur>Par AFP</TD></TR></TBODY></TABLE>

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                    • #11
                      Contexte: Face aux insurg?s, le gouvernement somalien appelle ses voisins ? l'aide

                      Contexte

                      Face aux insurg?s, le gouvernement somalien appelle ses voisins ? l'aide




                      AFP Photo: Le pr?sident du Parlement somalien a exhort? samedi les pays voisins ? 'd?ployer des troupes...

                      45 minutes


                      MOGADISCIO (AFP) - Le pr?sident du Parlement somalien a exhort? samedi les pays voisins ? "d?ployer des troupes en Somalie dans les 24 heures", dans un appel ? l'aide exceptionnel face ? l'avanc?e des islamistes radicaux qui menace la survie du gouvernement de transition.

                      Au m?me moment, des milliers d'habitants de Mogadiscio paniqu?s fuyaient, certains ? pied, le nord de la capitale.


                      "Le pouvoir du gouvernement a ?t? affaibli par les insurg?s; nous demandons aux pays voisins, soit le Kenya, Djibouti, l'Ethiopie et le Y?men, d'envoyer des troupes en Somalie dans les 24 heures", a d?clar? le pr?sident du Parlement, Aden Mohamed Nur, lors d'un point de presse ? Mogadiscio.


                      Cette d?claration intervient alors que les insurg?s ont intensifi? ces derniers jours leur offensive lanc?e le 7 mai contre le gouvernement du pr?sident Sheikh Sharif Ahmed, un islamiste mod?r? ?lu fin janvier.

                      "Nous sommes en ?tat d'urgence dans le pays car des combattants ?trangers de partout dans le monde sont en train de combattre le gouvernement", a-t-il dit.


                      Il a aussi affirm? qu'"un commandant du (r?seau terroriste) Al-Qa?da d'origine pakistanaise" se trouvait actuellement "? la t?te des combats ? Mogadiscio", et qu'il ?tait "bas? dans le quartier de Sanna, pr?s du palais pr?sidentiel".


                      "Nous avons besoin des pays voisins afin qu'ils prot?gent l'existence de la Somalie", a-t-il implor?.


                      Les forces pro-gouvernementales m?nent depuis le 22 mai une contre-offensive qui a rencontr? de s?rieux revers.


                      Ces trois derniers jours, trois hauts responsables ont ?t? tu?s en Somalie dans une s?rie d'attaques, dont le ministre de la S?curit? int?rieure Omar Hashi Aden tu? jeudi dans un spectaculaire attentat suicide, revendiqu? par les islamistes radicaux des shebab, ? Beledweyne (300 km au nord de Mogadiscio).


                      Une force de paix de l'Union africaine (Amisom), compos?e de soldats ougandais et burundais, est d?ploy?e depuis mars 2007 essentiellement ? Mogadiscio, mais souffre d'un manque criant d'effectifs (4.300 hommes d?ploy?s sur les 8.000 pr?vus). Elle est la seule force ?trang?re d?ploy?e en Somalie.


                      L'Ethiopie ?tait intervenue fin 2006-d?but 2007 en Somalie pour soutenir le gouvernement somalien et chasser les islamistes du pouvoir ? Mogadiscio avec un mandat de l'Igad et un soutien de l'UA, mais ses troupes se sont retir?es de Somalie fin janvier.


                      D?but juin, Addis Abeba avait reconnu que "des missions de reconnaissance" ?taient men?es par son arm?e en territoire somalien.

                      Samedi matin, des milliers d'habitants de Mogadiscio fuyaient notamment le district de Karan, th??tre la veille de violents combats entre les forces pro-gouvernementales et les insurg?s islamistes.


                      Des tirs sporadiques ?taient entendus samedi dans ce quartier.

                      Il s'agit du plus grand d?placement de population hors de Mogadiscio depuis l'?lection en janvier ? la t?te du pays du pr?sident Ahmed.

                      "C'est le pire moment de notre existence. Je n'ai pas besoin de d?crire la situation ? Karan, regardez juste dans quelles conditions je fuis", a lanc? Mohamed Ali Osman, 23 ans, qui partait ? pied avec sa fillette de 18 mois sur le dos, tout en maintenant sur sa t?te un sac de farine de 20 kilos.


                      Ces habitants fuyaient principalement vers la localit? d'Afgoye (environ 20 km au sud de Mogadiscio) o? environ 400.000 d?plac?s s'entassent d?j? dans des conditions effroyables.


                      Depuis le 7 mai, les combats en Somalie ont fait environ 300 morts (civils et combattants). Selon l'ONU, plus de 122.000 personnes ont ?galement ?t? d?plac?es.

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                      • #12
                        Re: ?l?ments de contexte concernant la situation en Somalie

                        Somalie: le pr?sident revendique la victoire

                        <CITE class="byline vcard">Par Abdi Guled, The Associated Press | La Presse Canadienne ? <ABBR title=2011-03-08T03:23:32Z>lun. 7 mars 2011 22:23 HNE</ABBR></CITE>
                        <CITE class="byline vcard"><ABBR title=2011-03-08T03:23:32Z></ABBR></CITE>

                        <!-- START article --><!-- yog-5u -->
                        MOGADISCIO, Somalie - Le pr?sident somalien, Sheik Sharif Sheik Ahmed, a revendiqu?, lundi, la victoire contre les insurg?s islamistes, une information qui est cependant difficile ? confirmer.

                        Les forces alli?es avec le gouvernement ont pris le contr?le de deux villes situ?es pr?s de la fronti?re ?thiopienne au cours des derniers jours et lundi, des r?sidants ont affirm? que les insurg?s avaient abandonn? les villes d'Elwak et de Garbaharey. Les casques bleus de l'Union africaine et les soldats du gouvernement auraient ?galement arrach? aux insurg?s trois postes de contr?le cl?s apr?s d'importants combats dans la capitale somalienne de Mogadiscio.

                        Le pr?sident somalien, Sheik Sharif Sheik Ahmed, a affirm? aux journalistes lundi que le mouvement al Shabab ?tait sur le point de d?clarer forfait.
                        ?Nos victoires sont cons?cutives et nos troupes continuent de vaincre l'ennemi?, a dit le pr?sident, v?tu d'une veste militaire. Il a appel? ? ?l'?limination finale? d'al Shabab, affirmant que son gouvernement ?tait confiant que des changements positifs surviendraient rapidement et que l'ennemi avait d?j? grandement souffert.

                        Le gouvernement somalien est presque enti?rement d?pendant des donateurs ?trangers pour payer, ?quiper et fournir des munitions ? son arm?e, une force peu organis?e et soutenue par les casques bleus de l'Union africaine.

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