lundi 06 avril 2009
Cinq navigateurs bretons aux mains des pirates somaliens
Le Tanit est parti de Vannes en juillet. : Ouest-France
Le retour du temps calme dans le golfe d’Oman et dans l’océan Indien contribue à la reprise des actes de piraterie. Au cours du week-end, cinq bateaux, français, britannique, taïwanais, allemand et yéménite, ont été capturés par des pirates somaliens. Parmi eux, le voilier Tanit, parti de Vannes le 26 juillet 2008 avec cinq Bretons : un couple, leur fils et deux équipiers.
Le Tanit, un voilier français a été capturé, samedi, par des pirates somaliens dans l'océan Indien. A son bord, un couple partie de Vannes et son fils de 3 ans, ainsi que deux équipiers ; ils tentaient de se rendre aux Seychelles.
Hier soir, le voilier faisait route vers le Puntland (nord-est de la Somalie).
Dans ce secteur où les risques de piratage sont grands, les voiliers de tourisme voyagent le plus souvent en convois, pour tenter de diminuer les risques, mais ce n'était pas le cas pour le Tanit. Deux autres voiliers français avaient été capturés par des pirates somaliens dans cette même zone en 2008.
Cinq navigateurs bretons aux mains des pirates somaliens
Le Tanit est parti de Vannes en juillet. : Ouest-France
Le retour du temps calme dans le golfe d’Oman et dans l’océan Indien contribue à la reprise des actes de piraterie. Au cours du week-end, cinq bateaux, français, britannique, taïwanais, allemand et yéménite, ont été capturés par des pirates somaliens. Parmi eux, le voilier Tanit, parti de Vannes le 26 juillet 2008 avec cinq Bretons : un couple, leur fils et deux équipiers.
Le Tanit, un voilier français a été capturé, samedi, par des pirates somaliens dans l'océan Indien. A son bord, un couple partie de Vannes et son fils de 3 ans, ainsi que deux équipiers ; ils tentaient de se rendre aux Seychelles.
Hier soir, le voilier faisait route vers le Puntland (nord-est de la Somalie).
Dans ce secteur où les risques de piratage sont grands, les voiliers de tourisme voyagent le plus souvent en convois, pour tenter de diminuer les risques, mais ce n'était pas le cas pour le Tanit. Deux autres voiliers français avaient été capturés par des pirates somaliens dans cette même zone en 2008.
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