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Le niveau 6 d'alerte ne serait "pas la fin du monde" (Chan)

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  • Le niveau 6 d'alerte ne serait "pas la fin du monde" (Chan)

    Grippe porcine : l'OMS pr?te ? passer au niveau 6 de son alerte

    LEMONDE.FR avec Reuters et AFP | 04.05.09 | 11h27 ? Mis ? jour le 04.05.09 | 12h49

    L'Organisation mondiale de la sant? (OMS) va probablement porter son alerte pand?mique ? son degr? maximal face ? l'?pid?mie de grippe A (H1N1), d?clare sa directrice g?n?rale, lundi 6 mai, dans El Pais. L'OMS est actuellement en phase d'alerte 5, qui caract?rise une propagation interhumaine r?gionale.


    "Le niveau six ne signifie en aucune fa?on que nous sommes confront?s ? la fin du monde. Il est important de le souligner clairement, sinon, lorsque nous annoncerons que nous passons au niveau six, cela provoquera une panique inutile", pr?cise Margaret Chan. "Les virus de la grippe sont tr?s impr?visibles, tr?s trompeurs", ajoute-t-elle. "Nous ne devons pas tomber dans l'exc?s de confiance, nous ne devons pas laisser la possibilit? au H1N1 de se recombiner avec d'autres virus", poursuit-elle pour justifier le niveau d'alerte de l'OMS.

    Margaret Chan souligne que la stabilisation dans la propagation du virus de m?me que le nombre limit? de cas ne doivent pas conduire ? baisser la garde. L'h?misph?re sud, indique-t-elle, va entrer dans l'hiver austral, p?riode de l'ann?e propice aux grippes saisonni?res. "Nous devons ?tre tr?s prudents. Nul ne peut dire ce qui va se passer quand des pays de l'h?misph?re sud conna?tront des pics ?pid?miques de grippe (saisonni?re) et que cette nouvelle grippe arrivera", dit-elle.

    Le Mexique se dit sur le point de ma?triser l'?pid?mie, et aux Etats-Unis aussi, les autorit?s se montrent prudemment optimistes, tout en mettant en garde contre une seconde vague ? l'automne du virus sous une forme plus virulente.


  • #2
    Re: L'OMS pr?te ? passer au niveau 6 de son alerte

    Traduction automatique

    ENTREVUE : Alerte sanitaire MARGARET CHAN Directeur g?n?ral de l'Organisation Mondiale de la Sant?

    <!-- google_ad_section_start() -->? Les virus de la grippe sont trompeurs, il ne faut pas ?tre confiant ?



    <!-- google_ad_section_end() -->EMILIO de BENITO (ENVOY? SP?CIAL) - Gen?ve - 04/05/2009




    Margaret Chan, directora general de la OMS, en una rueda de prensa reciente.- AP


    ?nergique au moment de prendre des d?cisions, ce m?decin chinois porte les r?nes de l'activit? internationale qui doit contenir l'?pid?mie du nouveau virus de la grippe, qui est d?j? arriv?e ? 18 pays et elle s'approche au millier de d'infect?es. ? Dans un monde tellement reli?, nous savons qu'il va passer quelque chose, mais pas celui que ?, il signale.

    <!-- ***** Fin Presentacion ***** --><!-- ***** Entradilla ***** --><!-- google_ad_section_start() -->Attente au journaliste ? la porte de l'?l?vateur et le salue en rassemblant les mains et en inclinant la t?te. Est par peur ? la grippe porcine ? ? Non, il est qu'ainsi nous le faisons dans mon pays. En outre, les deux nous sommes sains, donc il n'y ait pas eu probl?me parce que nous nous donnerions la main, non ? ?. Margaret Chan porte trois ann?es ? l'avant de l'Organisation Mondiale de la Sant? (OMS), mais, souligne, ? 30 dans des sujets de sant? publique ?, ? Hong Kong, la ville o? il est n? il y a 61 ans, ? presque 62 ?, r?v?le.

    Ce n'est pas la premi?re fois qui Chan fait face ? des virus ?mergents de grippe. En 1997 a frein? en s?cheresse un bourgeon du H5N1, celui qui a ensuite r?apparu en 2003 au Vietnam et a ?t? ? l'origine de l'?pid?mie de grippe pr?parer qu'encore colea. ? J'ai d? prendre des d?cisions tr?s dures. C'?tait un nouveau virus et il a co?ncid? avec notre saison de grippe saisonni?re. Mais j'ai ordonn? le sacrifice de des million et ? moiti? d'oiseaux et n'ai pas laiss? qu'on m?lange les deux types de virus ?. Malgr? son activit? exp?ditive, qui lui a donn? de la renomm?e de personne dure - elle pr?f?re dire que connaissance s'est faite parce que le ne co?tait pas prendre des d?cisions, ce bourgeon je me solde 18 personnes malades, dont sont mortes six. ? Mais je l'ai contenu ?, il ajoute fi?re.

    La menace actuelle est diff?rente. Dans plein crise, et bien qu'ait ?t? hier un jour sans une grande nouveaut? dans l'?volution mondiale du bourgeon, Chan il re?oit ? EL PA?S dans son bureau de l'OMS, dans l'embl?matique b?timent de Gen?ve, peu concouru ?tant dimanche. Le directeur g?n?ral r?vise la situation et l'activit? des autorit?s sanitaires mondiales devant cette nouvelle ?pid?mie.

    Question. La Suisse a d?j? confirm? un cas de grippe H1N1 dans des hommes. Quelques personnes dans l'a?roport utilisaient mascarillas celle-ci demain, mais n'ai pas vu aucune qui les porte dans le si?ge de l'OMS. A donn? un certain ordre ? ce sujet ?

    R?ponse. Non, absolument. Les mascarillas sont utiles dans des cas, et inutiles dans d'autres. Par exemple, si ? ? quelqu'un le moquea le nez ou a toux, il est bon, et jusqu'? moral, qui porte. Quand on visitera des h?pitaux, ou quelqu'un de ta famille est malade, utiliser mascarilla peut il ?tre tr?s ad?quat. Mais dans d'autres circonstances, ils ne manquent pas. Je ne veux pas envoyer un message de duquel utiliser mascarillas il est inad?quat. Les individus doivent ?tre capables de prendre la meilleure d?cision.

    P. est pass?es un peu plus d'une semaine depuis qu'on d?couvrirait le nouveau virus de la grippe. Dans une ?chelle de d'un ? ? dix, comment est de de pr?occup?e ?

    R. Est difficiles ? quantifier, mais il y a quelque chose qu'il faut ?clairer. Chaque fois que nous voyons un nouveau virus que cause un bourgeon, les autorit?s sanitaires doivent ?tre tr?s pr?occup?es. ET c'est pourquoi, tous les pays avec lesquels j'ai parl?, et ?videmment l'OMS, nous nous prenons cette situation tr?s dans s?rieux. Parce que chaque nouvelle maladie est, par d?finition, impredecible. Il donne des surprises, et les devons d?montrer notre d?termination ? prendre des mesures pour que la vie des personnes soit prot?g?e.

    P. il Y a des critiques qui disent que l'OMS, les Gouvernements et y compris les moyens de communication ont sobreactuado cette crise. Qu'on exag?re ce que, pour l'instant, n'est pas plus qu'une grippe. Nouvelle, mais appartenant ? une famille de virus avec laquelle les hommes ont coexist? pendant presque 3.000 ann?es.

    R. Cela est compr?hensibles. Pourvu qu'il y ait un bourgeon d'une nouvelle maladie il y a deux groupes de commentaires. Quelques ils disent qu'il est fait tr?s peu et tr?s tard. ET d'autres personnes disent qu'il est exag?r?.

    P. ET, Qu'est-ce que juges-tu ?

    R. nous avons appris du SARS
    [syndrome aigu respiratoire gr?ve, aussi appel? au principe pneumonie asiatique] en 2003 et du H5N1 [qui cause la grippe pr?parer] durant les derni?res ann?es, que tous les deux sont des menaces pour les gens. F?jese dans le H5N1 : il a d?montr? qu'il a une capacit? l?tale de de 50%, c'est-?-dire, que la moiti? des personnes qu'ils sont infect?s, ils meurent. ET le SARS s'est rapidement d?velopp? par le monde et a caus? une peur ?norme, afflige, et aussi des dommages ?conomiques tr?s importants. C'est pourquoi je dis que chaque nouvelle maladie doit ?tre trait?e avec ?nergie et que nous ne devons jamais lui donner terrain. Parce qu'il est vrai qu'? l'heure actuelle, ce virus est l?ger dans la majorit? des pays, mais nous n'avons pas encore vu tout le spectre de la maladie. Quand nous aurons seulement quelques cas, nous ne pouvons pas dire quelle direction va prendre.

    P. Ni ?tre risqu? pr?dire ?

    R. Maintenant que nous voyons d?j? un nombre de cas au Mexique et aux Etats-Unis, nous faisons face nous ? ? beaucoup l?gers, quelques de graves et m?me ? quelques d?c?s. Nous sommes dans une phase tr?s pr?coce de cette nouvelle maladie, et c'est pourquoi ce qui dis est que notre obligation est de maintenir l'attention, ne pas lui perdre oeil et ne pas laisser que nous s'?chappe rien. Si nous prenons la pand?mie de de 1918, il a aussi commenc? comme une maladie tr?s l?g?re, et a eu une p?riode de calme o? il paraissait qu'il ?tait eu ?loign?. Mais il est retourn? et a caus? millions de de morts et malades. ET ceci est quelque chose que je veux souligner : les virus de la grippe sont tr?s impredecibles, tr?s tramposos. Nous ne devons pas se confier. Durant les derni?res ann?es nous avons fait beaucoup de pr?paration. Nous sommes ? des kilom?tres ? distance dont nous ?tions il y a cinq ans, mais aussi il nous reste un grand moment parcourir.

    P. Para?t que la situation dans les derniers jours s'est stabilis?es. Il suit l'?gouttement nouveaux cas et de nouveaux pays, mais dans les r?gles qui paraissaient pr??tablies. Ils n'ont pas encore d?tect? ? peine de cas dans les pays du sud, en enlevant les quatre de la Nouvelle Z?lande. ? ? qu'est du ?

    R. Personne a la r?ponse ? ? ceci, mais n'est pas irrationnelles dire que peut devoir se ? auquel le virus n'est pas encore arriv? ? ces pays ou ? auxquels, s'il est arriv?, il n'a pas ?t? d?tect?. Mais nous ne devons pas oublier que dans les pays de l'h?misph?re Sud entre l'hiver, et celle-ci est une gare dans laquelle on produit des bouts de grippe saisonni?re. ET nous devons ?tre tr?s soigneux. Personne ne peut pr?dire ni dire maintenant ce qu'il va passer quand les pays du Sud auront des bouts de grippe, et celle-ci nouvelle arrivez - et lui il va faire sans lieu ? des doutes. Personne le sait. Parce que dans le Nord nous avons vu peu de cas, cas l?gers, mais nous ne pouvons pas fermer nos yeux. Le monde est tellement reli? que nous savons qu'il va passer quelque chose, mais pas celui qui.

    P. Dit qu'elle va arriver au Sud, mais jusqu'? pr?sent, hors du Mexique, cette grippe est comport?e, surtout, comme une maladie de touristes. Hors du Mexique il n'y a presque pas une transmission entre des personnes.

    R. Nous les avons aux Etats-Unis et au Canada. Il est celui du gar?on espagnol qui a ?t? infect? parce que sa fianc?e avait voyag? au Mexique. ET nous les avons aussi vus au Royaume-Uni et autres pays o? il y a eu des contagions entre des membres d'une m?me famille ou entre des amis. Les gens informent d?j? qu'ils ont les sympt?mes de la maladie m?me s'ils n'ont pas voyag? au Mexique. Il est vrai que dans un petit nombre, mais c'est pourquoi je dis que nous n'avons pas encore vu toute la situation ni avons un tableau complet de de ce qu'il passe. La situation ?volue et le virus change.

    P. Vous qui a ?t? le principe responsable du D?partement de Sant? de Hong Kong, croit que l'activit? des autorit?s en d?cr?tant la quarantaine pour tous les locataires d'un h?tel parce qu'il y a-t-il un cas de la nouvelle grippe est-il fourni ?

    R. Chaque pays est un cas et prend ses d?cisions propres. Dans le cas de la Nouvelle Z?lande il a ?t? mis aussi en quarantaine aux compagnons des personnes qui il y a r?sultat infect?es. Hong Kong est une Communaut? qui a une tr?s ?lev?e densit? de population, et est un noeud international des communications. Si ? ces personnes qui ont ?t? en contact avec cet homme qui ?tait infect? il les laisse voyager sans plus, et tout va bien, personne ne va protester. Mais s'il arrive quelque chose, les gens vont commencer ? critiquer aux autorit?s et ? dire que Hong Kong n'a pas fait ce qu'il devait faire. Souvent les gens sont tr?s faciles pour critiquer qu'on a agi trop t?t, trop tard, qu'on a ?t? tr?s strict ou on a ?t? tr?s n?gligent. Mais nous devons comprendre la pression que souffre chaque pays, chaque autorit? sanitaire, et je crois que Hong Kong a agi d'une mani?re rapide et ad?quate aux caract?ristiques de la ville.

    P. ne auront pas pes?es trop les critiques re?ues quand ?tiez-elle et on a-t-il accus? l? de dissimuler les cas de SARS ?

    R. Les personnes qui ?taient l? quand le SARS seront extr?mement conscientes et prudentes. Le Canada, qui a ?t? aussi affect?, a tr?s agi rapidement. L'a aussi ?t? Hong Kong, et le r?sultat est qu'ils sont beaucoup meilleur pr?par?s et sont beaucoup plus diligents au moment d'informer ? l'OMS de leurs possibles cas. Nous avons appris que le meilleur est la transparence.

    P. Croit-il qu'aient-ils ?t? moins critiqu?s si n'?taient-ils pas rapidement pass?s tellement du niveau d'alerte 3 ? aux 5 ? N'a pas pu cela envoyer un message tr?s alarmiste ?

    R. ? l'heure actuelle, nous sommes encore en phase 5. ET beaucoup de gens ont beaucoup d'id?es erron?es sur ce qu'il signifiera le niveau 6, quand il sera d?cr?t?. Beaucoup ils croient qu'il y aura alors ?norm?ment de patients et que tous mourront, et que tous les pays seront touch?s. ET cela n'est pas ainsi, parce que la caract?ristique de cette maladie est qu'elle va par des lames. La phase 6 ne veut pas dire que tous les pays on affectera ? la fois, ni que toutes les personnes rendront malades et mourront. Ni m?me dans les pays qui ont des bourgeons tout le personnes seront infect?es. Donc nous ne devions pas transmettre des messages erron?s qui causent de la peur, de la pr?occupation ou de l'anxi?t?. Nous ne devons pas interf?rer de mani?re inutile dans la vie des gens.

    P. Quelle sera la diff?rence de la phase 6 avec ce qui est actuelle ?

    R. L'?tat pand?mique est un avertissement, un signal ? toutes les autorit?s sanitaires du monde pour qu'ils entament des activit?s, ils augmentent la surveillance et prennent des mesures pour prot?ger ? leur population. Le niveau 6 ne veut pas dire, absolument, que nous nous approchons ? la fin du monde. Il est important de clarifier ceci, parce que si non, quand nous annoncerons le niveau 6, nous causerons une panique inutile.

    P. Quel est le terme moyen ?

    R. Cela ne veut pas dire que nous nous ne le prenions pas dans s?rieux. Il est que les gens sont mis bien nerveux et il est pr?occup?, parce que quand ils seront mis nerveux et ils sont pr?occup?s, ils sont plus veill?s.

    P. en Parlant de messages alarmistes, Qu'est-ce que para?t l'annonce du Centre de Contr?le de Maladies de l'UE dont 40% de la population sera infect? par le virus ?

    R. Dans l'OMS nous ne sommes pas pour faire des adivinaciones. Apr?s 30 ann?es j'ai une certaine exp?rience avec des virus ?mergents et je peux lui dire que chacun est diff?rent. Il est trop t?t pour faire des pr?visions.

    P. pr?occupe-t-il que le virus soit arriv? au sud-est asiatique et puisse-t-il recombinar avec d'autres, comme celui de la grippe pr?parer ?

    R. ?videmment. Les virus de la grippe sont dissolus, et toute occasion qu'ils ont pour se m?langer avec d'autres et ?changer des g?nes, de la profiteront. C'est pourquoi nous sommes tellement en suspens du sud-est asiatique et de l'h?misph?re Sud en g?n?ral. Il ne faut pas donner au H1N1 l'occasion de se m?langer avec d'autres virus. C'est pourquoi nous sommes en alerte.

    P. on compare toujours cette possible pand?mie avec ce qui est pr?c?dentes. Apr?s ce qu'il m'a dite, a sens ?

    R. La derni?re pand?mie s'est produite il y a 40 ans. Nous n'avions alors tant de population plus grande, ni VIH, ni tant de diab?te, hypertension ou cancer. Jusqu'? pr?sent, le virus s'av?re lisse, mais faut avoir des soins par si on arrive ? des populations avec les caract?ristiques que je viens de mentionner. Il y a maintenant davantage de tuberculoses, davantage de malaria. Nous ne savons pas ce qu'il peut r?sulter de sa combinaison avec ces maladies. ET cela n'affecte pas seulement les pays africains. Dans le Nord il y a aussi diab?te et hypertension. C'est une maladie nouvelle qui m?rite toute notre attention.

    P. il Y a-t-il d'autres groupes qui sont clairement de risque ?

    R. Dans ce cas nous voyons beaucoup des jeunes adultes infect?s, quand ce qui est normal sera que la grippe infecte ? de plus grands et enfants. C'est pourquoi nous devons surveiller. C'est un mod?le semblable ? ? celui de la grippe de de 1918, qui a commenc? par des jeunes. Ce que nous ne savons pas est s'il va changer. Peut-?tre dans un mois est virus disparaissez, restez peut-?tre comme il est ou il soit aggrav? peut-?tre.

    P Quels des trois possibilit?s para?t plus possible ?

    R. je lui ai d?j? dit que je ne fais pas de pr?visions.

    P. Finalement, vous avez ? sa famille ? Hong Kong. A conseill? que restent-ils en maison ou utilisent-ils mascarillas ?

    R. Avec mon mari et mon fils je ne parle pas de de ceci. Il faut ?tre coh?rent. S'ils veulent savoir ce qu'ils doivent faire, ils peuvent voir ce que je dis dans les moyens de communication ou consulter la page de l'OMS dans Internet.

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    • #3
      Re: L'OMS pr?te ? passer au niveau 6 de son alerte

      Grippe porcine: le niveau 6 d'alerte ne serait "pas la fin du monde"

      MADRID - L'?ventuel passage au niveau 6 maximal d'alerte pand?mique pour faire face ? la grippe porcine ne serait "pas la fin du monde", a affirm? la directrice g?n?rale de l'Organisation mondiale de la sant? (OMS), Margaret Chan, dans un entretien publi? lundi par le journal El Pais.
      "Le niveau 6 ne veut pas dire, absolument pas dire, que nous nous approchions de la fin du monde. Il est important d'?tre clair sur ce point car sinon, si nous annon?ons le niveau 6, nous provoquerons une vague de panique superflue", a d?clar? M. Chan au journal espagnol.

      La semaine derni?re, l'OMS a ?lev? son niveau d'alerte en phase 5 sur une ?chelle de six, appelant mercredi soir les pays ? se pr?parer ? une pand?mie "imminente" de grippe porcine, qu'elle a baptis?e grippe A(H1N1).
      "La phase 6 ne veut pas dire que tous les pays seraient touch?s ? la fois, ni que toutes les personnes malades vont mourir. Ni m?me que dans les pays touch?s par le virus toutes les personnes seront contamin?es", a insist? la directrice g?n?rale de l'OMS.

      Pour l'instant "nous sommes dans une phase tr?s pr?coce de cette nouvelle maladie" et "notre obligation est de maintenir toute l'attention, de toujours ouvrir l'oeil et de ne rien laisser ?chapper", a-t-elle ajout?.
      L'OMS chiffrait lundi ? 985 le nombre de cas de grippe porcine confirm?s dans 20 pays, comprenant 590 cas au Mexique dont 25 mortels, ainsi que 226 cas aux Etats-Unis dont un mort, selon un bilan diffus? sur son site internet.

      Mme Chan a par ailleurs estim? que la d?cision des autorit?s de Hong Kong de placer en quarantaine 300 personnes se trouvant dans un h?tel o? le premier cas av?r? de grippe porcine du pays avait s?journ? avait ?t? "rapide et ad?quate par rapport aux caract?ristiques de la ville".
      "Hong Kong est une communaut? avec une tr?s forte densit? de population, c'est un noeud de communications internationales", a soulign? Mme Chan, ancienne directrice du d?partement de la Sant? de Hong Kong.

      (?AFP / 04 mai 2009 13h15)

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      • #4
        Re: Le niveau 6 d'alerte ne serait &quot;pas la fin du monde&quot; (Chan)

        Cr&#233;dits: Extrapolation

        Traduction automatique

        Le chef d'OMS avertit que le niveau H1N1 alerte peut atteindre 6

        Rapport&#233; : 13:30 P.M. - May/04/09


        (IsraelNN.com) L'organisation mondiale de la sant&#233; Margaret principal Chan a indiqu&#233; lundi que l'OMS peut &#233;lever le niveau alerte du ’ s d'organisation pour la grippe H1N1 &#224; 6, signifiant une pand&#233;mie compl&#232;te. Elle a averti qu'une deuxi&#232;me vague de la grippe peut heurter &#224; travers le monde.

        Le nombre de cas confirm&#233;s de H1N1 autour du monde a approch&#233; 1.000 de lundi, et le nombre de d&#233;c&#232;s confirm&#233;es &#233;lev&#233;es &#224; 23, avec le Mexique a frapp&#233; le plus dur. L'Isra&#235;l a eu quatre cas confirm&#233;s du virus.

        Real time news brief - WHO Chief Warns H1N1 Alert Level May Rise to 6 - Israel National News flashes around the clock are waiting for you on the site

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