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<TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=305 align=center border=0><TBODY><TR vAlign=top><TD class=stitrebleupale colSpan=2>Grippe A - H?pitaux On se pr?pare au pire
</TD></TR><TR><TD class=auteur>Mathieu Turbide
Le Journal de Montr?al
04/05/2009 05h56 </TD><TD align=right>
</TD></TR></TBODY></TABLE>
Les h?pitaux de Montr?al se tiennent pr?ts ? am?nager des salles de quarantaine pour pouvoir soigner les cas de grippe A (H1N1) dans l'?ventualit? d'une pand?mie.
<!-- InfinitTcDebutEncart --><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=168 align=right border=0><TBODY><TR><TD>
</TD><TD bgColor=#000000></TD><TD width=10></TD><TD class=encart vAlign=top align=left width="100%">
Consultez notre dossier sur la grippe A/H1N1
</TD></TR></TBODY></TABLE><!-- InfinitTcFinEncart -->
Selon ce qu'a appris Le Journal, des h?pitaux ont demand? ? leurs employ?s de demeurer disponibles 24 heures sur 24 au cours des prochaines semaines afin de pouvoir rapidement am?nager des salles de quarantaine pour accueillir d'?ventuels patients atteints de la grippe.
Le Centre universitaire de sant? McGill (CUSM), qui regroupe les h?pitaux Royal-Victoria, General et Children's, aurait notamment besoin de r?am?nager des salles pour se conformer aux exigences de son plan de pand?mie.
?Advenant que le nombre de cas ? traiter deviendrait plus important, il faut que les h?pitaux pr?voient avoir suffisamment de place pour traiter les gens et les mettre en observation. Les h?pitaux devront donc, dans certains cas, utiliser des locaux qui ne sont pas pr?vus pour cela et qu'il faudra transformer pour cet usage. Cela signifie qu'il faudra faire des divisions, par exemple?, a indiqu? Chantal Huot, porte- parole de l'Agence de la sant? et des services sociaux de Montr?al.
Selon Mme Huot, tous les h?pitaux du Qu?bec ont d? faire cet exercice. ?Il faut qu'ils trouvent des espaces. Certains de ces locaux sont consid?r?s comme des sites non traditionnels de soins. ?a peut ?tre dans les locaux de l'h?pital ou m?me ? l'ext?rieur, comme dans des espaces ? bureaux ou dans des h?tels?, a-t-elle expliqu?.
Actuellement, au Qu?bec, une seule personne a ?t? mise en quarantaine. Il s'agissait d'une femme qui revenait d'un voyage au Mexique et qui pr?sentait les sympt?mes de la grippe A (H1N1). Sa quarantaine a ?t? de courte dur?e puisque des tests ont montr? qu'elle n'avait pas contract? le virus.
Les m?decins inquiets
Par ailleurs, si le nombre de cas atteint les proportions d'une pand?mie, les m?decins canadiens pr?viennent qu'ils ne seront peut-?tre pas capables de faire face ? la situation seuls.
? Toronto, le Dr Val Rachlis, qui fait partie du comit? de planification en cas de pand?mie, soutient que la possibilit? que les m?decins de famille se retrouvent d?bord?s par une pand?mie fait l'objet de discussions depuis cinq ans. Cela a toujours fait partie des sc?narios envisag?s, assure-t-il. Dans de telles circonstances, le plan en cas de pand?mie pr?voit l'ouverture de cliniques sp?ciales, o? seraient centralis?s les cas de grippe.
</TD></TR><TR><TD class=auteur>Mathieu Turbide
Le Journal de Montr?al
04/05/2009 05h56 </TD><TD align=right>
</TD></TR></TBODY></TABLE>Les h?pitaux de Montr?al se tiennent pr?ts ? am?nager des salles de quarantaine pour pouvoir soigner les cas de grippe A (H1N1) dans l'?ventualit? d'une pand?mie.
<!-- InfinitTcDebutEncart --><TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=168 align=right border=0><TBODY><TR><TD>
</TD><TD bgColor=#000000></TD><TD width=10></TD><TD class=encart vAlign=top align=left width="100%">Consultez notre dossier sur la grippe A/H1N1
</TD></TR></TBODY></TABLE><!-- InfinitTcFinEncart -->
Selon ce qu'a appris Le Journal, des h?pitaux ont demand? ? leurs employ?s de demeurer disponibles 24 heures sur 24 au cours des prochaines semaines afin de pouvoir rapidement am?nager des salles de quarantaine pour accueillir d'?ventuels patients atteints de la grippe.
Le Centre universitaire de sant? McGill (CUSM), qui regroupe les h?pitaux Royal-Victoria, General et Children's, aurait notamment besoin de r?am?nager des salles pour se conformer aux exigences de son plan de pand?mie.
?Advenant que le nombre de cas ? traiter deviendrait plus important, il faut que les h?pitaux pr?voient avoir suffisamment de place pour traiter les gens et les mettre en observation. Les h?pitaux devront donc, dans certains cas, utiliser des locaux qui ne sont pas pr?vus pour cela et qu'il faudra transformer pour cet usage. Cela signifie qu'il faudra faire des divisions, par exemple?, a indiqu? Chantal Huot, porte- parole de l'Agence de la sant? et des services sociaux de Montr?al.
Selon Mme Huot, tous les h?pitaux du Qu?bec ont d? faire cet exercice. ?Il faut qu'ils trouvent des espaces. Certains de ces locaux sont consid?r?s comme des sites non traditionnels de soins. ?a peut ?tre dans les locaux de l'h?pital ou m?me ? l'ext?rieur, comme dans des espaces ? bureaux ou dans des h?tels?, a-t-elle expliqu?.
Actuellement, au Qu?bec, une seule personne a ?t? mise en quarantaine. Il s'agissait d'une femme qui revenait d'un voyage au Mexique et qui pr?sentait les sympt?mes de la grippe A (H1N1). Sa quarantaine a ?t? de courte dur?e puisque des tests ont montr? qu'elle n'avait pas contract? le virus.
Les m?decins inquiets
Par ailleurs, si le nombre de cas atteint les proportions d'une pand?mie, les m?decins canadiens pr?viennent qu'ils ne seront peut-?tre pas capables de faire face ? la situation seuls.
? Toronto, le Dr Val Rachlis, qui fait partie du comit? de planification en cas de pand?mie, soutient que la possibilit? que les m?decins de famille se retrouvent d?bord?s par une pand?mie fait l'objet de discussions depuis cinq ans. Cela a toujours fait partie des sc?narios envisag?s, assure-t-il. Dans de telles circonstances, le plan en cas de pand?mie pr?voit l'ouverture de cliniques sp?ciales, o? seraient centralis?s les cas de grippe.
