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RBS et Lloyds face à une enquête criminelle par rapport au scandale des taux concertés
Royal Bank of Scotland et Lloyds ont été accusés de truquage des marchés financiers dans systématiquement un scandale international en pleine expansion qui a détruit des milliards de la valeur des actions dans les plus grandes banques britanniques.
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La position de M. Diamond apparaît de plus en plus fragile. Vince Cable, le Secrétaire d'affaires, a dit qu'il pourrait être interdit de gestion d'une entreprise britannique à la suite d'enquêtes réglementaires. Photo: REUTERS
Par Robert Winnett22:00 BST le 28 juin 2012Commenter
Bob Diamond, le directeur général de Barclay, est sous pression pour démissionner après que la banque a admis qu'il avait comploté pour fixer les taux d'intérêt mondiaux avec David Cameron, le Premier ministre, en disant qu'il devrait assumer la responsabilité.
Le scandale menace désormais d'engloutir financé par les contribuables Lloyds et RBS, qui selon des documents judiciaires obtenus par le Daily Telegraph ont également été accusé d'avoir régulièrement de distorsion de base de données financières utilisées pour fixer les taux d'intérêt.
Comme les banques britanniques face des milliards potentiels d'enquêtes criminelles ont été rayées de leur valeur, avec des parts de Barclays chute de 15,5%. Prix de l'action RBS a plongé de plus de 10 pour cent hier, essuyant plus de £ 2,000,000,000 large de la valeur de la participation des contribuables à la banque.
Les dirigeants de HSBC sont également à l'étude aux côtés basés à Londres les sociétés financières pour leur rôle dans le scandale, qui est estimée à coûté aux consommateurs, les investisseurs et les entreprises £ 30 milliards.
La position de M. Diamond apparaît de plus en plus fragile. Vince Cable, le Secrétaire d'affaires, a dit qu'il pourrait être interdit de gestion d'une entreprise britannique à la suite d'enquêtes réglementaires.
David Cameron a suggéré que M. Diamant devrait démissionner, affirmant que «les gens doivent assumer la responsabilité pour les actions" et que ce processus doit aller "tout le chemin vers le sommet».
Le scandale de plus en plus, qui a des implications internationales, mais en grande partie a eu lieu dans la ville de Londres, a conduit à des appels pour le Premier Ministre à établir une enquête publique sur les banques.
Downing Street avait d'abord tenté de rejeter la situation comme une «affaire réglementaire" mais les ministres hier en file d'attente pour condamner Barclays et d'autres banques, comme il est apparu que:
* Le Serious Fraud Office a entamé des discussions avec les régulateurs sur le potentiel enquêtes criminelles sur des cadres supérieurs Barclay et autres banquiers.
* George Osborne a déclaré que le scandale était un «acte d'accusation choquant de la culture dans les banques comme Barclays», comme il s'est engagé à renforcer la loi pour faire des poursuites pénales possibles.
* Un dénonciateur Barclays a accusé le gouvernement de ne pas aborder le scandale qu'il a d'abord exposé plus de quatre ans.
* Un ex-trader de la Royal Bank of Scotland a fait valoir qu'il était "pratique courante" chez les cadres supérieurs de faire des demandes de fixer le taux Libor - et que la haute direction était au courant de la tactique.
* Une analyse indépendante a présenté devant les tribunaux américains ont estimé que le scandale a peut-être coûté 45 milliards de dollars (£ 30 milliards) au cours de la crise financière seul. La plupart des pertes ont pu être supportés par les fonds de pension et autres investisseurs.
* Aîné financiers a mis en garde que la position de la Ville comme un lieu digne de confiance pour faire des affaires était menacée par l'action de l'banquiers de Londres.
Plus tôt cette semaine, Barclays a reçu une amende d'enregistrement £ 290 000 000 après avoir admis que ses opérateurs et les gestionnaires à plusieurs reprises "faux rapports" afin de pousser Libor et taux d'intérêt d'autres mesures plus ou moins élevé que son taux réel.
Les manipulations ont contribué à accroître les profits des négociants et initialement protégée Barclays réputation.
/.../
RBS et Lloyds face à une enquête criminelle par rapport au scandale des taux concertés
Royal Bank of Scotland et Lloyds ont été accusés de truquage des marchés financiers dans systématiquement un scandale international en pleine expansion qui a détruit des milliards de la valeur des actions dans les plus grandes banques britanniques.
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La position de M. Diamond apparaît de plus en plus fragile. Vince Cable, le Secrétaire d'affaires, a dit qu'il pourrait être interdit de gestion d'une entreprise britannique à la suite d'enquêtes réglementaires. Photo: REUTERS
Par Robert Winnett22:00 BST le 28 juin 2012Commenter
Bob Diamond, le directeur général de Barclay, est sous pression pour démissionner après que la banque a admis qu'il avait comploté pour fixer les taux d'intérêt mondiaux avec David Cameron, le Premier ministre, en disant qu'il devrait assumer la responsabilité.
Le scandale menace désormais d'engloutir financé par les contribuables Lloyds et RBS, qui selon des documents judiciaires obtenus par le Daily Telegraph ont également été accusé d'avoir régulièrement de distorsion de base de données financières utilisées pour fixer les taux d'intérêt.
Comme les banques britanniques face des milliards potentiels d'enquêtes criminelles ont été rayées de leur valeur, avec des parts de Barclays chute de 15,5%. Prix de l'action RBS a plongé de plus de 10 pour cent hier, essuyant plus de £ 2,000,000,000 large de la valeur de la participation des contribuables à la banque.
Les dirigeants de HSBC sont également à l'étude aux côtés basés à Londres les sociétés financières pour leur rôle dans le scandale, qui est estimée à coûté aux consommateurs, les investisseurs et les entreprises £ 30 milliards.
La position de M. Diamond apparaît de plus en plus fragile. Vince Cable, le Secrétaire d'affaires, a dit qu'il pourrait être interdit de gestion d'une entreprise britannique à la suite d'enquêtes réglementaires.
David Cameron a suggéré que M. Diamant devrait démissionner, affirmant que «les gens doivent assumer la responsabilité pour les actions" et que ce processus doit aller "tout le chemin vers le sommet».
Le scandale de plus en plus, qui a des implications internationales, mais en grande partie a eu lieu dans la ville de Londres, a conduit à des appels pour le Premier Ministre à établir une enquête publique sur les banques.
Downing Street avait d'abord tenté de rejeter la situation comme une «affaire réglementaire" mais les ministres hier en file d'attente pour condamner Barclays et d'autres banques, comme il est apparu que:
* Le Serious Fraud Office a entamé des discussions avec les régulateurs sur le potentiel enquêtes criminelles sur des cadres supérieurs Barclay et autres banquiers.
* George Osborne a déclaré que le scandale était un «acte d'accusation choquant de la culture dans les banques comme Barclays», comme il s'est engagé à renforcer la loi pour faire des poursuites pénales possibles.
* Un dénonciateur Barclays a accusé le gouvernement de ne pas aborder le scandale qu'il a d'abord exposé plus de quatre ans.
* Un ex-trader de la Royal Bank of Scotland a fait valoir qu'il était "pratique courante" chez les cadres supérieurs de faire des demandes de fixer le taux Libor - et que la haute direction était au courant de la tactique.
* Une analyse indépendante a présenté devant les tribunaux américains ont estimé que le scandale a peut-être coûté 45 milliards de dollars (£ 30 milliards) au cours de la crise financière seul. La plupart des pertes ont pu être supportés par les fonds de pension et autres investisseurs.
* Aîné financiers a mis en garde que la position de la Ville comme un lieu digne de confiance pour faire des affaires était menacée par l'action de l'banquiers de Londres.
Plus tôt cette semaine, Barclays a reçu une amende d'enregistrement £ 290 000 000 après avoir admis que ses opérateurs et les gestionnaires à plusieurs reprises "faux rapports" afin de pousser Libor et taux d'intérêt d'autres mesures plus ou moins élevé que son taux réel.
Les manipulations ont contribué à accroître les profits des négociants et initialement protégée Barclays réputation.
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