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LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

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  • LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

    LE FOOTSIE SOUTENU PAR REUTERS, GLAXO ET LES MINI?RES
    Mercredi 26 juillet 2006 (Agence France-Presse)

    Londres -- La Bourse de Londres ?tait en hausse mercredi matin dans un march? sans grand relief, soutenue par les r?sultats de Reuters et Northern Rock, ainsi que par le groupe pharmaceutique GlaxoSmithKline.

    A 09H30 GMT, l'indice Footsie-100 des principales valeurs gagnait 23,40 points, soit 0,40% par rapport ? la cl?ture de mardi, ? 5.874,60 points.

    Le groupe de m?dias et services financiers Reuters progressait de 2,25% ? 386 pence apr?s avoir relev? sa pr?vision de croissance annuelle pour son chiffre d'affaires, de 5 ? 6% ? taux de change constants.

    La maison de courtage a relev? son avis sur le titre de "neutre" ? "surperformance", estimant que la hausse des pr?visions signait le succ?s de la strat?gie "Core Plus", lanc?e par le groupe il y a un an, qui vise ? investir dans les ?conomies ?mergentes, en particulier en Chine et en Inde, o? le march? de l'information financi?re et des ?changes ?lectroniques est en plein boom.

    La huiti?me banque britannique, Northern Rock, avan?ait de 2,05% ? 1.068 pence apr?s avoir annonc? une hausse de 13% de son b?n?fice imposable au premier semestre. La maison de courtage Teather and Greenwood est pass?e ? l'achat sur le titre.

    Le g?ant pharmaceutique GlaxoSmithKline ?tait en hausse de 1,31% ? 1.550 pence apr?s avoir fait ?tat de tests positifs pour son vaccin contre la grippe aviaire. Le groupe publie ses r?sultats semestriels jeudi.


    Aux mini?res, Xstrata gagnait 2,87% ? 2.082 pence alors que le minist?re canadien de l'Industrie a autoris? son acquisition ?ventuelle de Falconbridge. Antofagasta profitait quant ? lui de la hausse des prix du cuivre et prenait 0,82% ? 400,25 pence.

    La baisse la plus significative revenait ? l'op?rateur de t?l?phonie mobile Vodafone, qui c?dait 1,08% ? 114,50 pence.

    Yell (pages jaunes) et ICAP (courtage) reculaient apr?s avoir pay? leur dividende.

    REUTERS
    NORTHERN ROCK
    GLAXOSMITHKLINE
    XSTRATA
    FALCONBRIDGE
    VODAFONE
    ICAP

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    Last edited by Lyro; July 27, 2006, 03:18 PM. Reason: Corrig? l'erreur dans le titre

  • #2
    LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

    SANOFI-AVENTIS REL?VE SES PR?VISIONS 2006
    APR?S UN BON PREMIER TRIMESTRE

    2 ao?t 2006 (Agence France-Presse)

    Paris -- Le num?ro trois mondial de la pharmacie, le fran?ais Sanofi-Aventis, a r?alis? une bonne performance semestrielle, tir?e par son activit? vaccins, ce qui l'incite ? relever ses pr?visions pour l'ensemble de 2006, selon des chiffres parus mercredi.

    Sur l'ensemble des six premiers mois de l'ann?e, son b?n?fice net a atteint 3,964 millions d'euros, en hausse de 33,6%. Son chiffre d'affaires s'est ?lev? ? 14,116 milliards d'euros, en progression de 7,7% (apr?s impact des variations mon?taires et de p?rim?tre).

    Fort de ces r?sultats, le groupe table d?sormais sur une croissance de son b?n?fice net par action ajust? pour l'ensemble de 2006, de l'ordre de 12%, contre 10% auparavant.

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    • #3
      LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

      BOURSE D'AMSTERDAM: L'AEX CL?TURE EN HAUSSE
      DE 0,56% ? 473,58 POINTS

      4 septembre 2006 (Agence France-Presse)

      Amsterdam -- La Bourse d'Amsterdam a cl?tur? en hausse de 0,56% lundi, l'indice AEX des principales valeurs s'?tablissant ? 473,58 points contre 470,93 points vendredi soir.

      Entra?n?s par les bons r?sultats trimestriels du petit groupe de travail temporaire USG, Randstad et Vedior ont gagn? respectivement 2,71% ? 44,03 euros et 1,08% ? 15 euros.

      Le num?ro un mondial des fournitures de bureau pour professionnels, Buhrmann a pris 1,76% ? 10,99 euros.

      Parmi les valeurs de l'industrie alimentaire, Heineken a gagn? 1,49% ? 36,84 euros et Unilever 1,40% ? 18,85 euros.

      Le groupe pharmaceutique et chimique Akzo Nobel a pris 0,92% ? 45,90 euros, apr?s avoir obtenu en fin de semaine derni?re le feu vert de Bruxelles pour son vaccin v?t?rinaire contre la grippe aviaire.

      La s?ance a ?galement ?t? en hausse pour les financi?res, ING prenant 0,85% ? 34,57 euros, ABN Amro 0,67% ? 22,38 euros, Fortis 0,62% ? 30,67 euuros et Aegon 0,14% ? 14,11 euros.

      Parmi les valeurs en baisse figuraient ASML, sp?cialiste des syst?mes de lithographie pour l'industrie des microprocesseurs, qui a perdu 0,06% ? 16,96 euros, et surtout Getronics, fournisseur de services informatiques, en baisse de 1,05% ? 5,65 euros.

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      • #4
        LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

        DELTA PLUS GROUP: L'EFFET GRIPPE AVIAIRE DOPE LES COMPTES
        Par F. Berthon (Cercle Finance)
        4 octobre 2006

        Au vu de la progression de 6,5% enregistrée par l'action Delta Plus Group au cours des dix dernières séances, les excellents résultats semestriels du fabricant d'équipements de protection individuelle étaient semble-t-il largement anticipés par les investisseurs. Le titre a tout de même gagné près de 3% en début de séance ce mercredi, avant de perdre la majeure partie de son avance (+0,3% à 40E à mi-séance). Le gain dépasse 21% depuis le début de l'année.

        Le vif intérêt manifesté par les investisseurs pour le titre remonte à février dernier, dans un contexte spéculatif lié à l'extension de l'épidémie de grippe aviaire. La valeur a ainsi touché un sommet de 45,6E au cours de la séance du 28 février 2006 après la découverte du virus H5N1 sur des cygnes dans des pays de l'Union Européenne (Grèce, Italie, Allemagne). Des cas ont ensuite été décelés en France. Après plusieurs mois d'accalmie, les autorités françaises demeurent en alerte en ce début de saison de migration automnale des oiseaux. Celle-ci débute vers la mi-septembre et se termine en principe autour de la mi-décembre.

        Le positionnement spécifique de Delta plus Group sur la fabrication de produits entrant dans le cadre des mesures de prévention contre la grippe aviaire se répercute logiquement sur les performances financières du groupe depuis le début de cette année.

        Les résultats semestriels publiés mercredi par Delta Plus montrent en effet que le risque de propagation d'une pandémie issue de la grippe aviaire a tiré à la hausse le chiffre d'affaires qui s'établit à 70,717 millions d'euros au premier semestre 2006, en croissance de 36,1%. L'activité exceptionnelle liée à ces circonstances particulières, s'est révélée particulièrement rentable pour le groupe dont le résultat opérationnel a bondi de 82,3%, portant le taux de marge à 9,6%.

        Le résultat net part du groupe s'élève à 3,513 millions d'euros, en forte progression de 36,17% comparativement à un résultat de 2,570 millions d'euros au premier semestre 2005. Le bénéfice par action atteint 2,34E.

        Doté de structure de production plus flexibles que celles de certains de ses concurrents, Delta Plus Group a en en effet su mobiliser ses sous-traitants fabricants de masques respiratoires (FFP2), pour répondre rapidement aux besoins dans le domaines des mesures préventives contre la grippe aviaire. Une commande ferme de 41 millions de masques (représentant plus de 10 millions d'euros) a été enregistrée, dont les livraisons, qui ont commencé en décembre 2005, se sont échelonnées sur le premier semestre 2006.

        Delta Plus Group a d'ailleurs renforcé en début d'année ses capacités de production de masques respiratoire FFP2 avec l'acquisition le 16 mars 2006 de la société espagnole Nueva Sibol. Outre le fait qu'elle permet à Delta Plus Group de développer sa propre gamme d'articles de Protection de la Tête, cette acquisition a offert à Delta Plus Group le contrôle d'une unité de production de masques FFP2 localisée au pays basque espagnol.

        Les marchés d'équipements de Protection Respiratoire liés au risque de pandémie de grippe aviaire figuraient parmi les principaux arguments qui permettaient au groupe de viser un chiffre d'affaires supérieur à 140 mlsE en 2006, contre 112,51 mlsE en 2005. A présent, le groupe indique d'une part que l'objectif de chiffre d'affaires se trouve confirmé au-delà de 140 millions d'euros et d'autre part que le taux de marge opérationnelle devrait dépasser les 9%, contre 8,4% à fin 2005.

        En outre, Delta Plus Group s'estime d'ores et déjà en mesure d'anticiper un niveau d'activité supérieur à 140 millions d'euros en 2007 avec un maintien de la rentabilité, en dépit de l'absence prévue de ventes exceptionnelles de masques.

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        • #5
          LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

          DELTA PLUS GROUP: VERS UNE PAUSE EN 2007
          Par Denis Lantoine (BoursoRama)
          4 octobre 2006

          Vente partielle
          Delta Plus Group enregistre une forte hausse de son chiffre d'affaires et de ses résultats au premier semestre. De bon augure pour l'ensemble de l'exercice, avant une pause prévue l'année prochaine.

          Bons résultats semestriels de la part de Delta Plus Groupe, qui se montre par ailleurs très confiant dans ses perspectives pour 2007. Le spécialiste des équipements de protection individuelle annonce ainsi, pour les six premiers mois de l'année, un résultat net, part du groupe, de 3,51 millions d'euros, en hausse de 36,7%. Le bénéfice opérationnel courant a, dans le même temps, augmenté de 82,3%, à 6,79 millions, tandis que le chiffre d'affaires a progressé de 36,1%, à 70,71 millions. A noter que près de 25 points de cette hausse sont issus de la vente de masques liée au risque de propagation de la grippe aviaire. La moindre performance sur le plan du résultat net provient pour sa part essentiellement de l'absence d'éléments exceptionnels, qui contribuaient au premier semestre 2005 à hauteur de 1 million d'euros.

          Compte tenu de ce bon début d'année, Delta Plus Group confirme son objectif de réaliser au moins 140 millions d'euros de facturations cette année, contre 112,5 millions en 2005. La marge opérationnelle devrait dépasser 9%, contre 8,4% à fin 2005. Elle sera néanmoins inférieure au niveau de 9,6% établi au premier semestre. L'exercice 2007 n'enregistrera pas les ventes exceptionnelles de masques enregistrées cette année, mais le groupe se montre pour autant confiant. Il envisage ainsi d'ores et déjà un chiffre d'affaires supérieur à 140 millions d'euros. La rentabilité sera maintenue. Nous tablons dans une première approche sur un volume de facturations globalement stable, autour de 142 millions d'euros, et sur un bénéfice net lui aussi stable, à 5,5 millions d'euros.

          Delta Plus va réaliser un bon exercice 2006, avant une année de transition prévue l'année prochaine, tant en termes de croissance que de bénéfices. A plus de 40 euros, nos estimations 2006 et 2007 sont déjà valorisées près de 12 fois. On préférera prendre une partie de ses bénéfices, quitte à se repositionner dans quelques temps pour jouer l'horizon 2008.

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          • #6
            LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

            DELTA PLUS GROUP: DES COMPTES SEMESTRIELS APPR?CI?S
            Par B.A. (Boursier.com)
            4 octobre 2006

            D?but de s?ance remarqu? pour le titre Delta Plus Group, qui progresse de presque 2% ? 40,65 Euros, alors que le groupe a confirm? son objectif annuel de chiffre d'affaires "au-del? de 140 Millions d'Euros", et a indiqu? que son taux de marge op?rationnelle devrait d?passer les 9 %, contre 8,4 % ? fin 2005.

            Concernant le premier semestre, Delta Plus Groupe affiche une progression de 36,7% de son r?sultat net part du groupe, ? 3,51 Millions d'Euros, contre 2,57 ME au premier semestre 2005. Le r?sultat op?rationnel courant passe de 3,73 ME ? 6,80 ME, soit 82,3% de mieux.

            Le chiffre d'affaires augmente pour sa part de 36,1 %, ? 70,72 ME, dont 24,9 % dus aux ventes de masques li?es au risque de propagation d'une pand?mie issue de la grippe aviaire.

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            • #7
              LA BOURSE: La corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

              LDC: "LA GRIPPE AVIAIRE REL?VE DU PASS?"
              8 d?cembre 2006 (Capital.fr)

              Ldc est le num?ro un fran?ais de la production, du conditionnement et de la commercialisation de produits de volailles. Les produits du groupe sont principalement vendus sous les marques Le Gaulois et Lou?. Pour les six premiers mois de son exercice, le groupe a enregistr? un r?sultat op?rationnel courant de 21,5 millions d?euros contre 32,7 millions un an plus t?t. Sur la m?me p?riode, le b?n?fice net passe de 24,4 millions ? 14 millions d?euros. Andr? Delion, directeur administratif et financier du groupe r?pond ? nos questions.

              Capital.fr: Ldc vient de publier des r?sultats semestriels en nette baisse mais le titre a bondi de 7% jeudi dernier. Comment expliquez-vous ce paradoxe?
              Andr? Delion: La baisse des r?sultats a ?t? moins forte que les anticipations du march?. Le consensus des analystes tablait sur un recul plus important. Nous avions fait preuve de prudence ces derniers mois car la grippe aviaire nous avait co?t? 15 millions d?euros au deuxi?me semestre de l?exercice pr?c?dent. En juin, nous avions indiqu? tabler sur un co?t compris entre 12 et 15 millions d?euros pour le semestre. Finalement, la grippe aviaire nous a co?t? 10 millions d?euros d?o? une baisse des r?sultats plus mod?r?e. Nous consid?rons d?sormais que la grippe aviaire rel?ve du pass?. Ldc a d?montr? sa capacit? ? affronter cette crise. A partir du moment o? nous redonnons une meilleure visibilit? aux investisseurs, il n?est pas anormal que le titre soit r??valu?.

              Capital.fr: La mont?e en puissance des produits ?labor?s et du p?le traiteur permet d?am?liorer la marge brute. Y- a t-il encore un potentiel de progression pour cette branche?
              Andr? Delion: La croissance du p?le traiteur a ?t? de 27% en volume et de 28% en valeur. A p?rim?tre constant, hors acquisition de Agis, la progression est de 11% en volume et 10% en valeur. Hormis l?activit? sandwichs qui a ?t? p?nalis?e par un d?r?f?rencement temporaire, nos activit?s pizzas, plats cuisin?s, cr?pes et galettes sont en croissance. Nous avons proc?d? ? la r?organisation commerciale d?Agis et nous travaillons actuellement ? sa r?organisation industrielle. Il nous reste donc encore des gains de productivit? ? r?aliser dans ce p?le.

              Capital.fr: Vous disposez d?une situation financi?re tr?s saine. Des projets d?acquisition dans le p?le traiteur?

              Andr? Delion: Le p?le traiteur doit repr?senter 20% ? 25% de notre chiffre d?affaires d?ici cinq ans. Cela passe in?vitablement par des acquisitions. Notre objectif est de conforter nos positions sur les segments actuels d?activit?. Avec 368 millions d?euros de capitaux propres et une tr?sorerie exc?dentaire de 66 millions d?euros, nous pouvons ais?ment mobiliser 200 millions d?euros. Nous sommes n?anmoins s?lectifs. Seules les possibilit?s de croissance externe qui portent sur un v?ritable projet nous int?ressent. Cela demande parfois du temps?

              Dans la volaille, nous continuerons ? privil?gier les soci?t?s qui ont une activit? de produits ?labor?s et/ou qui peuvent renforcer une famille dans notre gamme.

              Capital.fr: Comment se pr?sente le deuxi?me semestre et quels sont vos objectifs de r?sultat net sur l?ann?e?
              Andr? Delion: Dans l?activit? volailles, nous commen?ons ? retrouver un effet de base positif. Le mois de septembre enregistre une croissance de 1,4% en volume. Au vu de la reprise de la consommation, nous tablons pour l?ensemble de l?exercice sur une stabilit? du r?sultat op?rationnel pour ce p?le.

              ? l?international, nous avons enregistr? une perte de 2,1 millions d?euros au premier semestre en raison de mauvais r?sultats en Espagne et d?un premier trimestre tr?s difficile en Pologne. Les produits ?labor?s progressent fortement en Pologne (+8,2% en volumes sur six mois). L?un dans l?autre, nous devrions d?gager un r?sultat net l?g?rement n?gatif (0,5 million d?euros) sur l?exercice.
              Les ventes du p?le traiteur devraient progresser de 12% cette ann?e, et le r?sultat op?rationnel au m?me rythme. Au final, pour l?exercice en cours, le r?sultat op?rationnel courant devrait s??tablir ? 57 millions d?euros en retrait de 4% et le r?sultat net avoisinera 37 millions d?euros.

              Capital.fr: Dans quelle mesure la hausse des prix des c?r?ales peut peser sur les comptes 2007/2008?
              Andr? Delion : Nous avons effectivement enregistr? une flamb?e des prix des c?r?ales. Bien qu?il soit difficile de pr?voir l?avenir en la mati?re, nous anticipons un retour ? des prix plus bas, sans revenir n?anmoins sur les plus bas niveaux. Ce ph?nom?ne touche l?ensemble de la profession. L?impact pourrait ?tre de l?ordre de 5% du prix du vif. Nous verrons si nous pouvons r?percuter cette hausse sur le prix de vente, ou la compenser par des gains de productivit? suite ? un programme d?investissements revu ? la hausse (49 M?).

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              • #8
                Impact de la grippe aviaire sur le groupe fran?ais LDC


                Actualit? - Entreprise France

                Ldc : "la grippe aviaire rel?ve du pass?"

                Capital.fr [08/12/2006 12:36]


                Ldc est le num?ro un fran?ais de la production, du conditionnement et de la commercialisation de produits de volailles. Les produits du groupe sont principalement vendus sous les marques Le Gaulois et Lou?. Pour les six premiers mois de son exercice, le groupe a enregistr? un r?sultat op?rationnel courant de 21,5 millions d?euros contre 32,7 millions un an plus t?t. Sur la m?me p?riode, le b?n?fice net passe de 24,4 millions ? 14 millions d?euros. Andr? Delion, directeur administratif et financier du groupe r?pond ? nos questions.


                Capital.fr : Ldc vient de publier des r?sultats semestriels en nette baisse mais le titre a bondi de 7% jeudi dernier. Comment expliquez-vous ce paradoxe?

                Andr? Delion : La baisse des r?sultats a ?t? moins forte que les anticipations du march?. Le consensus des analystes tablait sur un recul plus important. Nous avions fait preuve de prudence ces derniers mois car la grippe aviaire nous avait co?t? 15 millions d?euros au deuxi?me semestre de l?exercice pr?c?dent. En juin, nous avions indiqu? tabler sur un co?t compris entre 12 et 15 millions d?euros pour le semestre. Finalement, la grippe aviaire nous a co?t? 10 millions d?euros d?o? une baisse des r?sultats plus mod?r?e. Nous consid?rons d?sormais que la grippe aviaire rel?ve du pass?. Ldc a d?montr? sa capacit? ? affronter cette crise. A partir du moment o? nous redonnons une meilleure visibilit? aux investisseurs, il n?est pas anormal que le titre soit r??valu?.

                Capital.fr : La mont?e en puissance des produits ?labor?s et du p?le traiteur permet d?am?liorer la marge brute. Y- a t-il encore un potentiel de progression pour cette branche ?

                Andr? Delion : La croissance du p?le traiteur a ?t? de 27% en volume et de 28 % en valeur. A p?rim?tre constant, hors acquisition de Agis, la progression est de 11% en volume et 10 % en valeur. Hormis l?activit? sandwichs qui a ?t? p?nalis?e par un d?r?f?rencement temporaire, nos activit?s pizzas, plats cuisin?s, cr?pes et galettes sont en croissance. Nous avons proc?d? ? la r?organisation commerciale d?Agis et nous travaillons actuellement ? sa r?organisation industrielle. Il nous reste donc encore des gains de productivit? ? r?aliser dans ce p?le.

                Capital.fr : Vous disposez d?une situation financi?re tr?s saine. Des projets d?acquisition dans le p?le traiteur ?

                Andr? Delion : Le p?le traiteur doit repr?senter 20% ? 25% de notre chiffre d?affaires d?ici cinq ans. Cela passe in?vitablement par des acquisitions. Notre objectif est de conforter nos positions sur les segments actuels d?activit?. Avec 368 millions d?euros de capitaux propres et une tr?sorerie exc?dentaire de 66 millions d?euros, nous pouvons ais?ment mobiliser 200 millions d?euros. Nous sommes n?anmoins s?lectifs. Seules les possibilit?s de croissance externe qui portent sur un v?ritable projet nous int?ressent. Cela demande parfois du temps?
                Dans la volaille, nous continuerons ? privil?gier les soci?t?s qui ont une activit? de produits ?labor?s et/ou qui peuvent renforcer une famille dans notre gamme.

                Capital.fr : Comment se pr?sente le deuxi?me semestre et quels sont vos objectifs de r?sultat net sur l?ann?e?

                Andr? Delion : Dans l?activit? volailles, nous commen?ons ? retrouver un effet de base positif. Le mois de septembre enregistre une croissance de 1,4% en volume. Au vu de la reprise de la consommation, nous tablons pour l?ensemble de l?exercice sur une stabilit? du r?sultat op?rationnel pour ce p?le.
                A l?international, nous avons enregistr? une perte de 2,1 millions d?euros au premier semestre en raison de mauvais r?sultats en Espagne et d?un premier trimestre tr?s difficile en Pologne. Les produits ?labor?s progressent fortement en Pologne (+8,2% en volumes sur six mois). L?un dans l?autre, nous devrions d?gager un r?sultat net l?g?rement n?gatif (0,5 million d?euros) sur l?exercice.
                Les ventes du p?le traiteur devraient progresser de 12% cette ann?e, et le r?sultat op?rationnel au m?me rythme. Au final, pour l?exercice en cours, le r?sultat op?rationnel courant devrait s??tablir ? 57 millions d?euros en retrait de 4% et le r?sultat net avoisinera 37 millions d?euros.

                Capital.fr : Dans quelle mesure la hausse des prix des c?r?ales peut peser sur les comptes 2007/2008?

                Andr? Delion : Nous avons effectivement enregistr? une flamb?e des prix des c?r?ales. Bien qu?il soit difficile de pr?voir l?avenir en la mati?re, nous anticipons un retour ? des prix plus bas, sans revenir n?anmoins sur les plus bas niveaux. Ce ph?nom?ne touche l?ensemble de la profession. L?impact pourrait ?tre de l?ordre de 5% du prix du vif. Nous verrons si nous pouvons r?percuter cette hausse sur le prix de vente, ou la compenser par des gains de productivit? suite ? un programme d?investissements revu ? la hausse (49 M?).

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                • #9
                  LA BOURSE: impact de la grippe aviaire sur les valeurs avicoles

                  BOURSORAMA du 16/12/2006

                  DUC
                  La soci?t? Duc a annonc? la validation de son plan de reprise du site Volaven, filiale du groupe CECAB, par le Tribunal de Commerce de Quimper. Le plan porte sur la reprise des actifs de l'usine de d?coupe de dinde et de fabrication de produits ?labor?s situ?e dans le Finist?re. Le groupe renforce ainsi ses implantations, portant au nombre de trois ses usines de production industrielle. Duc a surmont? la fragilisation du march? par la crise de la grippe aviaire et enregistre de nouveau des profits d'exploitation, pr?voyant un chiffre d'affaires 2006 de 100 millions d'euros hors ce rachat.

                  Le cours de l'action AYVENS (ex ALD) ALD en temps réel sur Boursorama : historique de la cotation sur Euronext Paris, graphique, actualités, consensus des analystes et informations boursières

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                  • #10
                    Re: LA BOURSE: impact de la grippe aviaire sur les valeurs avicoles

                    <TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width=400 border=0><TBODY><FORM action=http://www.altavista.com/web/results method=get><TR><TD class=s bgColor=white>hmm, someone could buy puts of a turkey producer and then infect the turkeys

                    DUKE The Duc company announced the validation of its plan of resumption of the Volaven site, subsidiary of group CECAB, by the Commercial court of Quimper. The plan relates to the resumption of the credits of the factory of cutting of turkey and manufacture of elaborate products located in Finist?re. The group reinforces its establishments thus, carrying its factories of industrial production three. Duke overcame the embrittlement of the market by the crisis of the influenza aviaire and records profits of exploitation again, envisaging a sales turnover 2006 of 100 million euros out this repurchase.
                    </TD></TR><TR><TD class=s>
                    ?
                    </TD></TR></FORM></TBODY></TABLE>
                    I'm interested in expert panflu damage estimates
                    my current links: http://bit.ly/hFI7H ILI-charts: http://bit.ly/CcRgT

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                    • #11
                      BACOU DALLOZ en Bourse

                      Bacou Dalloz : croissance organique record


                      15/01/2007 - 19h07




                      (Boursier.com) - Le groupe Bacou Dalloz annonce aujourd'hui son chiffre d'affaires consolid? estim? des activit?s poursuivies pour l'ann?e 2006 qui s'?l?ve ? 737 Millions d'Euros, contre 686 Millions d'Euros pour la m?me p?riode de 2005, soit une progression totale de 7,4%. A taux de change et p?rim?tre constants, la hausse du chiffre d'affaires est de 7,7% sur l'ann?e 2006 et de 7,6% sur le quatri?me trimestre.
                      Epicon, soci?t? br?silienne acquise en d?cembre 2006 par le Groupe contribue ? hauteur de 0,2 Million d'Euros aux ventes de l'ann?e 2006. Ces chiffres n'incluent pas la contribution de Sunoptics, filiale dont la cession a ?t? annonc?e le 13 septembre 2006

                      Les ventes du quatri?me trimestre 2006 sur la zone Am?riques sont rest?es ? un niveau presque ?quivalent ? celui de la m?me p?riode 2005, les bonnes performances en antichute, en oculaire et en auditif ayant compens? la baisse anticip?e des ventes en respiratoire et en v?tements li?e ? la baisse des fonds gouvernementaux am?ricains pour les pompiers.

                      En revanche, la situation en EMEA et en Asie a ?t? meilleure que pr?vue dans tous les segments. Le Groupe a en particulier livr? des quantit?s importantes de syst?mes autonomes respiratoires en Europe de l'Est et en Asie. Par ailleurs, les ventes des nouveaux produits en antichute se sont av?r?es sup?rieures aux attentes. Ainsi, la croissance organique de l'activit? protection de la t?te a ?t? tr?s soutenue au quatri?me trimestre (9%) et r?sulte d'une progression dans chacun des segments au niveau mondial. L'activit? de protection du corps d?gage une croissance organique de 6,1% au quatri?me trimestre. Les segments chaussures et antichute affichent des croissances significatives tandis que les ventes de gants restent en l?g?re baisse, principalement aux Etats-Unis. Le segment v?tements affiche ?galement une baisse en raison notamment de la baisse des fonds pour les pompiers aux Etats-Unis.

                      Satisfait de son ann?e 2006, Bacou Dalloz anticipe donc un r?sultat op?rationnel courant pour 2006 sup?rieur ? ses attentes initiales, conduisant ? une marge op?rationnelle autour de 14% ? taux de change comparable.

                      En 2007, Bacou Dalloz ne b?n?ficiera pas de ventes de masques respiratoires jetables au niveau exceptionnel enregistr? en 2006, notamment en raison de l'?talement des ventes li?es au plan gouvernemental de lutte contre la grippe aviaire. Le groupe annonce son intention de r?duire des ventes consid?r?es comme peu profitables dans certaines activit?s de protection du corps. Ces ?l?ments conduisent Bacou-Dalloz ? anticiper une croissance organique des ventes en 2007 plus faible que celle affich?e en 2006.

                      T.M.
                      ?2007 Boursier.com

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                      • #12
                        LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

                        LA MENACE DE LA GRIPPE AVIAIRE EST DE RETOUR
                        Par C.C. (Investir.fr)
                        5 f?vrier 2007

                        ? peine la grippe aviaire a-t-elle fait son retour en Europe (deux foyers ont ?t? d?couverts, en Hongrie la semaine derni?re et en Angleterre vendredi), que d?j? les investisseurs retrouvent leurs vieux r?flexes: vendre les groupes sp?cialis?s dans l'?levage du poulet, qui pourraient logiquement p?tir, comme l'ann?e derni?re, d'une ?pizootie, surtout si elle gagne la France, pour acheter les soci?t?s qui, elles profiteraient, des mesures de pr?vention qui pourraient ?tre mises en place.

                        Ainsi, le producteur de poulets LDC l?che 5,5% ? 72,95 euros, tandis que son concurrent Duc est pour le moment attendu en baisse de 0,38% ? 10,55 euros. Parmi les gagnants, le fabricant de masques Bacou-Dalloz avance de 1,50% ? 98,35 euros et son concurrent Delta Plus Group, qui vient de s'implanter en Grande-Bretagne, 3,46% ? 40,35 euros.

                        Source

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                        • #13
                          LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

                          BACOU-DALLOZ DOP? PAR L'EFFET GRIPPE AVIAIRE
                          Par V.G. (Boursorama, d'apr?s AOF)
                          5 f?vrier 2007

                          Bacou-Dalloz gagne 1,60% ? 98,45 euros sur des sp?culations de nouvelles commandes d'?quipements de protection contre la grippe aviaire. 159 000 dindes ont ?t? abattues dans un ?levage en Grande-Bretagne apr?s la d?couverte du virus H5N1, rapporte "Le Figaro".

                          Dans le sillage de cette d?couverte, l'expert charg? de la grippe aviaire ? l'Organisation mondiale de la sant? a estim? que l'Europe devait se tenir pr?te ? affronter d'autres foyers ?pid?miques cet hiver, ajoute le quotidien. En France, le ministre de l'Agriculture et de la P?che, Dominique Bussereau, a saisi l'Agence fran?aise de s?curit? sanitaire des aliments pour une ?valuation des risques.

                          Bacou-Dalloz a d?j? profit? en 2006 de l'effet grippe aviaire. Le groupe a r?alis? sur la p?riode un chiffre d'affaires consolid? de 737 millions d'euros, contre 686 millions d'euros un an plus t?t, soit une hausse de 7,4%. En Bourse, le titre a bondi de 39,4% en 2006 et affiche un recul de 2,9% sur 2007.

                          Activit? de la soci?t?
                          Leader mondial des ?quipements de protection individuelle (EPI), Bacou-Dalloz, n? de la fusion en novembre 2001 des soci?t?s Bacou et Christian Dalloz, est un groupe industriel sans ?quivalent sur son march?.
                          Assurant lui-m?me la conception et la fabrication de ses produits, il propose une offre compl?te pour la s?curit? de l'homme au travail : la protection de la t?te, l'antichute et la protection du corps (gants, v?tements, chaussures). Il est ainsi num?ro un mondial de la protection oculaire, de la protection antichute, le num?ro deux mondial de la protection auditive et le num?ro trois mondial du gant ? usage industriel.

                          Forces et faiblesses de la valeur
                          Les points forts de la valeur
                          - Le groupe est engag? dans une politique de r?duction de sa dette et de son besoin en fonds de roulement, afin de renforcer sa solidit? financi?re et renouer avec la croissance externe.
                          - 2005 a ?t? l'ann?e du retour ? la croissance organique. Celle-ci s'est poursuivie en 2006 et est attendue par les analystes en 2007 et en 2008..
                          -Bacou Dalloz profite des peurs croissantes en mati?re d'hygi?ne et de s?curit?.
                          -Le groupe a d?velopp? et relanc? des segments nouveaux (gants protecteurs au x Etats-Unis, par exemple) et a continu? d'innover dans les segments d?j? dynamiques (dans l'antichute par exemple).
                          - Les efforts de r?duction des co?ts vont se poursuivre en 2007 avec une prduction dans des pays avec une main d'oeuvre plus bon march?.
                          -Le groupe s'est recentr? sur ses produits les plus rentables et va poursuivre ce recentrage. Les analystes parlent de cessions prochaines d'activit?s non-strat?giques.

                          Les points faibles de la valeur
                          - Le groupe p?tit de l'augmentation des co?ts de transport (qui absorbent 4 % de son chiffre d'affaires) et de certaines mati?res premi?res, dans le sillage du prix du p?trole.
                          - Le groupe est confront? ? la concurrence chinoise sur le bas et le milieu de gamme, pour un quart de son activit?.

                          Comment suivre la valeur

                          - Bacou-Dalloz ?volue sur un march? cyclique, qui d?pend de la conjoncture ?conomique et du niveau du taux de ch?mage, dans la mesure o? les augmentations d'effectifs dans les entreprises lui sont favorables. Ainsi, les principaux march?s du groupe: l'industrie, le BTP et les t?l?communications, sont ? suivre.
                          - Le secteur des ?quipements de protection individuelle est tr?s morcel?. Bacou Dalloz, en tant que leader mondial, contr?le moins de 10 % d'un march? sur lequel des regroupements sont ? pr?voir.
                          - Les performances du groupe sont sensibles ? la faiblesse du dollar. La moiti? des ventes ?tant factur?es dans cette devise.

                          Source

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                          • #14
                            LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

                            BACOU DALLOZ: DOP? AU VIRUS H5N1
                            5 f?vrier 2007 (Avis d'experts, Finance, Voil?.fr)

                            Bacou Dalloz est tr?s bien orient? actuellement ? la bourse de Paris. L'action gagne 1,65% ? 98,50 euros apr?s qu'un nouveau cas de grippe aviaire a ?t? d?tect? en Grande-Bretagne. Le retour du virus H5N1 sous une forme hautement pathog?ne profite en effet au fabricant d'?quipements de protection individuelle.

                            Source

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                            • #15
                              LA BOURSE - Corde sensible des titres en rapport avec la grippe aviaire

                              LDC: CM-CIC SECURITIES NE CROIT PAS EN L'INCIDENCE DE LA GRIPPE AVIAIRE
                              6 f&#233;vrier 2007 (Capital.fr, d'apr&#232;s AOF)

                              CM-CIC Securities reste &#224; l'Achat sur le titre Ldc (LOUP) avec un objectif de cours de 100 euros. En d&#233;pit de la d&#233;couverte d'un nouveau cas de grippe aviaire en Europe et du rel&#232;vement des mesures de s&#233;curit&#233; en France, les ventes de Ldc (LOUP) ne s'en trouvent pas alt&#233;r&#233;es, affichant m&#234;me une progression.

                              Selon le broker, les consommateur seraient apais&#233;s face &#224; la menace de la grippe aviaire et la mutation de Ldc (LOUP) en direction des produits transform&#233;s minimiserait l'impact sur les ventes de la maladie animale.

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